En grammaire nouvelle ou moderne, certains grammairiens distinguent les déterminants indéfinis (un, une, des), les déterminants quantitatifs (chaque, plusieurs, quelques, etc.) et les déterminants négatifs (aucun, de, nul, pas un).
les déterminants (démonstratifs, possessifs, indéfinis, interrogatifs, exclamatifs, relatifs, numéraux cardinaux).
On distingue les déterminants articles : le, la, les (articles définis) ; un, une, des (articles indéfinis) ; du, de la, des (articles partitifs).
Ces quatre champs sont : les caractéristiques individuelles; • les milieux de vie; • les systèmes; • le contexte global.
Les déterminants sont des mots qui précèdent les noms et qui font partie du groupe nominal. Par exemple, « mon cartable », « mon » est le déterminant. Grâce aux déterminants, on peut connaître le genre féminin ou masculin, et le nombre singulier ou pluriel des noms.
Les déterminants accompagnent un nom tandis que les pronoms remplacent un nom. Les pronoms démonstratifs celui, celle sont utilisés pour isoler une personne ou une chose d'un groupe. Exemple : Je parle de celui du milieu.
Le déterminant est un mot qui précède un nom et détermine son sens. Il existe deux types de déterminants : Les articles, qui peuvent être indéfinis, définis ou partitifs. Les autres déterminants, qui peuvent être démonstratifs, possessifs, numéraux cardinaux, indéfinis, interrogatifs, exclamatifs ou relatifs.
Les déterminants démonstratifs indiquent précisément une idée, une personne, un objet que l'on voit ou dont on a déjà parlé : ce, cet, cette, ces. Lorsque le déterminant démonstratif est devant un nom masculin qui commence par une voyelle, on doit utiliser cet : ex : cet ananas.
des déterminants masculins ; Exemples : le, un, mon, ton, son, ce, etc.
Les déterminants relatifs sont : lequel, laquelle, lesquels, lesquelles, duquel, de laquelle, desquels, desquelles, auquel, à laquelle, auxquels, auxquelles. Les déterminants relatifs ont une situation particulière dans notre langue, en raison de son évolution.
Le déterminant partitif est un type de déterminant utilisé devant un nom non comptable (eau, farine, sucre, etc.). De la et du sont des déterminants partitifs. Le déterminant partitif est une sorte de déterminant servant à introduire un nom désignant une réalité non comptable.
Le déterminant précise, éclaire ou restreint le sens du déterminé, autrement dit il l'actualise, contribuant à sa réalisation dans la phrase. Quant aux classes de mots qu'il comprend, le terme a un sens restreint, un sens plus large et un sens encore plus large.
Parmi les déterminants, les plus courants sont les articles. Il existe principalement deux sortes d'articles : les articles définis (le, la, l', les) ; les articles indéfinis (un, une, des).
Le mot tout peut être déterminant (ou adjectif), adverbe, nom ou pronom. Selon le cas, les règles d'accord varient.
Le déterminant possessif comprend deux formes au féminin singulier à toutes les personnes du singulier. Les formes ma, ta et sa s'emploient devant un mot qui commence par une consonne et les formes mon, ton et son s'emploient devant un mot qui commence par une voyelle ou un h muet.
1. Élément linguistique qui en détermine un autre (par opposition au déterminé). 2. Membre d'une classe de morphèmes grammaticaux qui se placent devant le nom pour l'introduire dans le discours, tout en lui apportant diverses spécifications.
Le déterminant complexe résulte de la combinaison de deux déterminants quantifiants ou d'un déterminant quantifiant et d'un déterminant référent. Certains déterminants établissent un lien avec un GN déjà désigné dans le texte ; on dit alors qu'ils ont une valeur de reprise et on les surnomme déterminants référents.
Stress, revenu, éducation, relations sociales, environnement, travail, bagage génétique… tout ceci – et bien d'autres choses – influence notre état de santé. On appelle ces facteurs « déterminants de la santé ».
Un déterminant est un ensemble de facteurs influençant la santé et/ou le bien-être social d'un individu ou d'un groupe de population.
Les études montrent que les conditions de vie et la situation sociale, comme entre autres le genre, l'ethnicité, l'orientation sexuelle et affective, le revenu ou le niveau d'éducation, sont fondamentales en termes de santé (24%) – beaucoup plus, contrairement aux idées reçues, que les soins médicaux (11%).