Le médecin peut généralement diagnostiquer la neuropathie à partir de l'ensemble des symptômes et d'un examen neurologique. Une électromyographie, une technique qui permet de mesurer l'activité électrique des muscles, peut fournir des données complémentaires à propos de la neuropathie.
Une sensation de picotements, d'engourdissement, une douleur avec sensation de brûlure et une perte du sens de vibration et de position (incapacité de déterminer la position des bras et des jambes dans l'espace) sont les symptômes les plus classiques.
Le médecin fonde le diagnostic sur les résultats de l'électromyographie, des études de conduction nerveuse et des analyses de sang et d'urine. Si le traitement du trouble sous-jacent ne soulage pas les symptômes, la kinésithérapie, des médicaments et d'autres mesures peuvent être utiles.
Le neurologue est un médecin spécialiste de toutes les pathologies touchant le système nerveux, en particulier les maladies atteignant le système nerveux central que ce soit au niveau du cerveau ou de la moelle épinière.
Causes : quelle maladie donne des douleurs neuropathiques ? La cause la plus répandue est la sciatique qui comprime le nerf du même nom, situé à la base de la colonne vertébrale. Mais de nombreuses autres maladies peuvent générer ce type de douleur.
Il s'agit d'un trouble grave, étant donné qu'une infection ou une blessure peut survenir à un pied sans que la personne touchée puisse la ressentir. En plus des picotements et de l'engourdissement, les personnes qui souffrent d'une polyneuropathie chronique éprouvent des sensations de brûlure ou des élancements.
En première intention, la prescription en monothérapie d'un antidépresseur tricyclique (exemple : amitriptyline 25—150mg/j) ou d'un antiépileptique gabapentinoïde (gabapentine 1200—3600 mg/j ou prégabaline 150—600mg/j) est recommandée dans le traitement de la douleur neuropathique.
La douleur neuropathique (encore appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c'est-à-dire touchant le cerveau, la moelle èpinière ou les nerfs. La douleur est mixte quand elle associe ces deux mécanismes (nociceptif et neuropathique)
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
L'examen neurologique commence par l'observation attentive du comportement du patient à son entrée dans la salle de consultation pendant l'interrogatoire. Le patient doit être aidé aussi peu que possible afin que les difficultés de fonctionnement apparaissent.
La neuropathie est une atteinte d'un ou de l'ensemble des nerfs du système nerveux périphérique. A l'origine de paresthésies (fourmillements, picotements...), elle peut conduire à la paralysie. Les causes sont nombreuses : diabète, éthylisme chronique ou insuffisance rénale.
La clinique Mayo suggère de prendre des analgésiques anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pour soulager vos symptômes bénins. D'autres médicaments comme les anticonvulsivants et les antidépresseurs peuvent être prescrits pour minimiser la douleur névralgique.
La VITAMINE B3 prévient la neuropathie périphérique induite par la chimio. C'est peut-être un espoir pour les patients qui souffrent de douleur « nerveuse » ou neuropathique en raison de leur chimiothérapie.
La vitamine B12 (méthylcobalamine) est utilisé pour régénérer les neurones et la gaine de myéline qui protège les nerfs. Elle est bénéfique dans le traitement et la prévention des troubles neurologiques et, des neuro-pathies périphériques.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
Troubles de l'appareil locomoteur : arthrite ou arthrose, blessure ou pathologie des membres inférieurs, déformations des pieds, troubles musculaires ou neuromusculaires. Troubles de l'équilibre, souvent causés par des maladies de l'oreille interne, ou par certaines des affections neurologiques citées plus haut.
Le diagnostic d'une maladie neuromusculaire repose sur un interrogatoire médical, un examen clinique et des examens complémentaires (analyses biologiques, immunologiques, électro- myogramme, imagerie, étude de muscle (biopsie))...
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
La douleur neuropathique, quasi-systématique et caractéristique dans la fibromyalgie est définie par l'International Association for the Study of Pain (IASP -2006) selon 3 caractéristiques : la maladie sous-jacente, le site de la lésion (c'est-à-dire une lésion nerveuse périphérique ou de la moelle épinière) et le ...
Quels effets secondaires et indésirables de la gabapentine ? Sa prise peut être responsable de : Fatigue. Insomnie.
"Pour tout ce qui est névralgie, en particulier les migraines, l'huile essentielle de camomille romaine est assez utilisée. C'est une plante très proche de la partenelle. Il ne faut jamais l'utiliser en usage interne sauf indication médicale. Pour les huiles essentielles, je conseille plutôt un usage externe.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
Les feuilles du cassis renferment des antioxydants appelés "flavonoïdes". Ce sont des anti-inflammatoires naturels puissants. "Le cassis est un super-aliment qui est capable de soulager les rhumatismes, comme l'arthrite et l'arthrose", indique Philippe Chavanne.
Des chercheurs de l'université de Colombie britannique au Canada viennent de montrer l'efficacité d'un certain type de paracétamol (l'acétaminophène) pour traiter l'anxiété, l'angoisse. En fait, la zone du cerveau qui répond à la douleur physique est, également, celle qui répond à la douleur émotionnelle.