Les adolescents (14-17 ans) ont quant à eux besoin de dormir 8 à 10 heures par nuit. Les adultes (26-64 ans), entre 7 et 9 heures et les personnes âgées de 65 ans et plus affichent pour leur part des besoins quelque peu plus élevés: de 7 à 8 heures de sommeil journalières sont préconisées par les chercheurs.
de 6 à 13 ans : 9 à 11 heures. de 14 à 17 ans : 8 à 10 heures. de 18 à 64 ans : 7 à 9 heures. à partir de 65 ans : 7 à 8 heures.
La plupart des Français commencent le travail entre 8 et 10 heures. Pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30.
Selon une étude publiée dans le European Heart Journal, l'heure du coucher peut jouer un rôle sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, aller au lit entre 22h et 23h serait associé à un risque plus faible de développer une maladie cardiaque, et ce par rapport à ceux qui se couchent plus tôt, ou plus tard.
"Les couche-tôt ont tendance à manger des aliments plus sains", explique la psychologue Kristin Aschbacher qui a mené l'étude. Les personnes qui se couchent entre 19 heures et 23 heures mangeaient ainsi davantage de légumes, de fruits, de glucides riches en fibres et de protéines maigres.
On a coutume de dire que les heures avant minuit sont les plus réparatrices, même si cela n'a jamais été scientifiquement prouvé. Disons qu'une heure de coucher tardive est souvent facteur de réduction du temps de sommeil. La majorité des Français commencent leur travail entre 8 et 10 heures du matin.
Une sieste compensatrice d'une à deux heures pendant la journée permet de compléter la nuit et de palier à ces « dettes de sommeil ». Afin d'optimiser le temps de vos siestes compensatrices, mettez toutes les chances de votre côté : Ne surchargez pas votre emploi du temps, réservez-vous du temps pour dormir.
Sommeil : non, les heures avant minuit ne comptent pas double.
Pour se lever à 7h, il faut se coucher soit à 1h du matin, soit à 23h30, soit à 22h. Pour se lever à 6h30, il faut se coucher à minuit et demi, à 23h ou à 21h30.
Dormir plus longtemps vous aide tout d'abord à mieux combattre la fatigue. Vous serez ensuite bien plus actif dans votre vie de tous les jours, que ce soit au travail ou à la maison. Mieux dormir aide aussi à chasser la douleur, que celle-ci soit chronique ou aiguë.
Se coucher tard et dormir peu augmente le risque cardiovasculaire, favorise les troubles de la mémoire et de l'attention, bouleverse l'équilibre du microbiote intestinal...
Mettez-vous au lit lorsque vous êtes fatigué.
Si vous êtes fatigué(e), mais si vous n'arrivez pas à vous endormir après 20 minutes au lit, levez-vous et faites une activité apaisante ou ennuyeuse (évitez les appareils électroniques, les exercices, le travail, la nourriture, etc.)
Le matin, pour être de bonne humeur dans la journée, il est déconseillé de commencer sa journée dans la précipitation. Ainsi, mieux vaut ajouter 15 ou 30 minutes de plus à votre planning pour prendre du temps le matin, en vous levant à 7h30.
Le principe de sa méthode est donc d'inspirer doucement par le nez, la bouche fermée, tout en comptant jusqu'à 4 dans sa tête, de retenir sa respiration pendant 7 secondes et d'expirer par la bouche en comptant jusqu'à 8. Le tout à répéter 3 fois pour faciliter l'endormissement.
Prévenir la fatigue du réveil : le moment de se coucher
Il faut seulement veiller à respecter votre besoin de sommeil, variables d'une personne à l'autre. Par exemple, si 7 heures de sommeil vous suffisent et que vous devez vous lever à 6 heures, couchez-vous vers 22h45-23 heures.
Rester éveillé ou travailler la nuit peut déséquilibrer votre horloge biologique et menacer votre santé. Pour bien commencer la journée, il faut s'exposer rapidement à la lumière (naturelle si possible). Si vous avez du mal à vous réveiller, ouvrez grands les rideaux ou sortez dehors si le soleil est levé.
Les causes de fatigue au réveil peuvent être multiples, d'ordre psychologique ou organique. Souvent, l'hygiène de vie est en cause, la fatigue étant due à : La mauvaise hygiène de sommeil, consécutive à des horaires de coucher et de lever très irréguliers.
L'étude a montré que les personnes qui s'endorment entre 22 et 23 heures ont moins de risque de développer une maladie cardiovasculaire. Celles qui s'endorment après minuit ont un risque accru de 25%. Et même celles qui s'endorment tôt, avant 22 heures, ont un risque augmenté de 24%.
Le sommeil avant minuit est plus réparateur
Durant ce sommeil lent-profond, le cerveau ralentit son activité. Contrairement au sommeil paradoxal et aux autres phases du sommeil lent, cette troisième phase est bien moins active.
Parmi les généralités existantes sur le sujet, il en est effectivement une qui affirme que les heures avant minuit sont les plus importantes. Les heures seraient les plus régénératrices pour le corps et s'endormir pendant ce créneau serait l'ultime moyen d'assurer l'énergie du lendemain.
Cette pénible sensation est due à un réveil contraint en plein milieu d'un cycle de sommeil. « Quand on fait une sieste trop longue la journée, surtout si on n'a pas assez dormi avant, on peut traverser un petit épisode de sommeil lent profond, l'épisode où le cerveau est ralenti.
Comme nous l'avons indiqué plus haut dans notre analyse des cycles de sommeil, les siestes de 10 à 20 minutes sont beaucoup plus efficaces et réparatrices que les siestes de 5 ou de 30 minutes. Contrairement aux siestes plus longues, ces courtes siestes ne causent pas de somnolence post-éveil.
L'insomnie est un manque ou une mauvaise qualité de sommeil qui retentit le lendemain sur les activités diurnes physiques, psychiques et sociales. Les principales causes de l'insomnie chez l'adulte sont le stress, l'anxiété et la dépression.