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Le responsable se nomme le scolyte, un insecte grand de quelques millimètres qui s'installe dans le tronc des arbres. Cette année, deux insectes de la famille des scolytes touchent une partie de la forêt aindinoise.
Ces arbres sont déjà morts, dévorés par de petits insectes: les scolytes. Ces coléoptères de 2 mm, inféodés à l'épicéa, creusent des galeries sous l'écorce des résineux, et empêchent la sève de circuler.
L'écoulement de la résine attire les scolytes en vol. Un élagage doit s'effectuer en hiver et pas plus tard qu'au mois de février. Abattre les arbres ravagés, les écorcer sur place puis broyer les branches et écorces pour détruire les larves et nymphes.
Les arbres sont le plus souvent écorcés avec une écorceuse. Les écorçoirs peuvent aussi être utilisés, mais uniquement pour éradiquer les larves. Une écor- ceuse est nécessaire pour lutter efficacement contre la pré- sence de bostryches adultes. Dans la mesure du possible, les troncs devraient être entièrement écorcés.
Un scolyte est un petit insecte qui vient pondre ses œufs, qui deviendront des larves sous l'écorce des arbres, en l'occurrence dans cet article il s'agit des épicéas du Grand Est. Après la ponte, les adultes meurent ou s'envolent vers un autre site de ponte.
La présence de poussière de forage brune à la base du tronc est également un signe d'infestation par les scolytes. Les arbres concernés présentent également souvent des signes tels que des branches, des troncs et des rameaux dépéris et perdent leurs feuilles prématurément.
L'eau savonneuse : l'eau savonneuse peut être à base de savon noir. Elle permet de nettoyer le miellat déposé sur les feuilles. Le marc de café : déposé aux pieds de vos plantes, il fera fuir à la fois des pucerons et des fourmis. L'ail : l'odeur de l'ail est un répulsif naturel.
Par exemple, vous pouvez planter des herbes, comme la menthe ou la lavande, autour de vos arbres. L'odeur fera fuir les mouches, les pucerons et autres nuisibles. La glu arboricole est un aussi bon moyen pour protéger le tronc des arbres des insectes. Elle les attire et les bloque grâce à son effet gluant.
Symptômes. La maladie se manifeste par l'apparition de rameaux courts et trapus, hérissés de petites aiguilles. C'est la concentration de ces rameaux courts qui leur donne une allure de balai de sorcière. Dès l'automne, des renflements se forment partout où l'arbre a été infecté le printemps précédent.
Ils sont plus communément nommés "défoliateurs". Ceux-ci sont essentiellement des larves de lépidoptères (chenilles), d'hyménoptères (fausses chenilles) ou de coléoptères (chrysomèles). Des coléoptères adultes (hannetons, charançons, chrysomèles…) sont aussi phyllophages.
Les campagnols enlèvent souvent des bandes d'écorce autour des arbres, généralement dans les 30 centimètres à partir du sol.
Sapins : ils rougissent dans le Grand Est
Autre résineux impacté par la sécheresse : le sapin. En région Grand Est, c'est surtout le sapin pectiné qui a été touché par des rougissements, puis à la sortie de l'hiver 2018-2019, des mortalités importantes ont été enregistrées.
Les producteurs de sapins de la région Grand Est constatent qu'ils meurent de soif et sèchent littéralement sur pied. En cause, le réchauffement climatique qui provoque des épisodes de sécheresse dévastateurs.
S'il est vert et légèrement humide, le diagnostic s'avère positif. En revanche, s'il est brun et sec, l'arbre est considéré comme mort. Un autre indicateur : la présence de fourmis ou de sciure de bois ou de champignons à la base du tronc peut indiquer une décomposition de l'arbre.
Le vinaigre blanc est très utilisé contre les pucerons, c'est un remède de grand-mère courant dont les recettes s'adaptent aux diverses espèces. Pour autant, il est préférable de le remplacer par d'autres moyens de lutte, à la fois plus efficaces et plus propres pour l'environnement.
Astuce 5 pour éviter les pucerons : le marc de café
Il est particulièrement efficace pour lutter contre les pucerons ou les fourmis. Si vous le préparez en utilisant des capsules, ouvrez-les pour le récupérer, ça marche aussi !
Des petits insectes noirs se sont multipliés dans de nombreux jardins, ces derniers temps. Il s'agit d'altises, des « mini-coléoptères ». Et leur recrudescence s'explique par un ensemble de facteurs, dont la météo.
Placez votre sapin loin des sources de chaleur, comme les chauffages ou la cheminée. Il est aussi préférable de ne pas surchauffer la pièce et de l'aérer régulièrement. Évitez les zones de forts passages, les frottements pourraient à la longue endommager les branches et faire tomber les aiguilles prématurément.
Si votre sapin devient marron, cela peut indiquer un manque d'eau ou une infestation par des parasites. Il est conseillé d'augmenter l'arrosage et de contrôler régulièrement la présence de parasites.
araignées rouges ou acariens rouges : ils vont se nourrir de la sève de l'arbuste ce qui va entrainer une décoloration des ramilles, puis leur dessèchement. phytophthora : pourriture brune du collet et des racines qui rend le conifère roux.
Environ 300 espèces différentes d'ennemis naturels les tiennent en échec, coléoptères prédateurs et guêpes parasitoïdes notamment. La plupart vivent – à l'image de leur proie – de façon discrète sous l'écorce et y régulent les populations de coléoptères.
On observe notamment des petits trous à la surface du bois, de la sciure qui se dépose sur la surface des meubles et sur le sol. Ces insectes dévoreurs de bois sont friands de bois d'aubier dont les meubles anciens sont souvent composés, mais également de bois de poutres et de charpentes.
Ces insectes, dont la taille varie entre deux et sept millimètres, sont naturellement présents dans notre écosystème. Le typographe est le scolyte commettant les plus gros dégâts dans les forêts d'épicéas, notamment dans le Grand Est.