En musique, on appelle bourdon une ou plusieurs cordes ou anches qui vibrent toujours sur la même note ou forment un accord continu (vielle à roue, harmonium, cornemuse, violon hardanger, etc.), avec la tonique ou la dominante de la gamme utilisée dans le morceau interprété.
Par exemple, avec le violon, en insistant sur une corde jouée à vide, ou avec la flûte, quand l'instrumentiste fait entendre un son de gorge en même temps qu'il souffle. Par ailleurs, le bourdon apparaît dans la musique contemporaine à travers quelques instruments à vent comme le saxophone et la clarinette.
Elles sont toutes constituées sur la base d'un hautbois à doigté plus ou moins complexe, équipé d'une anche double, et d'un ou plusieurs bourdons, produisant une note tenue, à l'aide d'une anche simple − traditionnellement en roseau − emboutie dans un tuyau à coulisse réglable.
On y voit des joueurs d'Aulos, ancêtre des cornemuses. Ce sont alors des clarinettes et des hautbois primitifs composées de tuyaux en roseau ou en bois percés munis d'une anche simple ou double.
La harpe celtique (clàrsach en gaélique écossais) était considéré comme l'instrument national écossais avant l'apparition de la cornemuse au XV e siècle.
En musique, on appelle bourdon une ou plusieurs cordes ou anches qui vibrent toujours sur la même note ou forment un accord continu (vielle à roue, harmonium, cornemuse, violon hardanger, etc.), avec la tonique ou la dominante de la gamme utilisée dans le morceau interprété.
Ils ne piquent que par autodéfense quand ils se sentent menacés ou quand on dérange leur ruche. Lors d'une piqûre, le bourdon injecte une petite quantité de venin par le biais de son dard. Seuls les bourdons femelles (reine et ouvrières) possèdent un dard, les bourdons mâles (faux-bourdons) n'en ont pas.
Même s'ils ne font pas de miel à partir du pollen qu'ils récoltent, les bourdons sont donc d'excellents pollinisateurs. Ils représentent un complément important aux abeilles, puisque leur très longue langue leur permet de butiner des fleurs inaccessibles pour les abeilles.
Prédateurs. L'un de ses prédateurs dans le milieu naturel est la bondrée apivore. Des campagnols pillent ses nids. Il est également parasité par des acariens.
La reine, le plus gros insecte de la colonie, mesure entre 13 et 32 mm de long. Les ouvrières (femelles sexuées ou non) mesurent entre 7 et 18 mm de long.
Comme pour les abeilles, le dard se décroche ainsi que la poche à venin et le bourdon meurt.
L'abeille charpentière (Xylocopa violacea), aussi appelée xylocope violet ou bourdon noir, fait partie des hyménoptères, un ordre d'animal qui se caractérise par la présence de quatre ailes (par opposition aux diptères - les mouches au sens large - qui n'en possèdent que deux).
Le faux bourdon (abeille mâle) est incapable de se nourrir seul ; il doit donc quémander sa nourriture aux ouvrières (abeilles femelles). En cas de problème alimentaire dans la colonie, les faux bourdons sont les premiers sacrifiés.
Le bourdon mâle ne pique pas ; il est dépourvu de dard. En revanche, la femelle, elle, pique. Cependant, les bourdons sont très peu agressifs et leur piqûre -certes douloureuse- est extrêmement rare, à moins de tenter de les saisir à la main ou de menacer leur colonie.
Ces insectes forment des sociétés organisées dont les individus sont divisés en trois castes. La reine est le plus gros insecte de la colonie et mesure entre 13 et 32 mm de long. Les ouvrières ont une taille variant entre 7 et 18 mm.
Le plus grand insecte, en taille et surface, est l'Atlas (Attacus atlas), un papillon nocturne originaire des forêts d'Inde. Ses ailes mesurent jusqu'à 30 cm de large et couvrent 400 centimètres carrés, soit deux fois la taille d'un boitier DVD.
Les piqûres de ce "xylocope" aux ailes bleues, de son petit nom latin, sont rares. Il faut donc laisser l'abeille bleue faire tranquillement son miel dans notre environnement.
Il peut s'agir d'un arbre creux, d'un ancien terrier dans le sol, ou encore d'une fissure dans un mur, d'une soupente de toit, voire d'un nichoir à oiseaux… Le va-et-vient des ouvrières à l'aube et au crépuscule est une façon de repérer l'emplacement du nid.
Les chercheurs ont observé que les bourdons sont tous rentrés au nid quelques heures avant minuit, et ne sont donc pas restés actifs en permanence. «Nous avons constaté que les bourdons ne tirent pas naturellement parti d'une journée continue, ce qui suggère que la 'pause nocturne' a quelque avantage», explique M.
Pourquoi le bourdon pique-t-il ? Les bourdons piquent dans deux principaux cas : quand ils se sentent menacés ; quand on s'approche trop près de leur nid ou de son environnement immédiat.
En mars, la reine bourdon cherche une cavité pour installer sa nouvelle colonie, cela peut être dans un ancien terrier dans le sol, dans un trou dans un arbre, dans la soupente du toit, dans une fissure dans le mur de façade et même dans un nichoir à oiseaux.
Mais le taon ne se contente pas de mordre les animaux (eh oui, il ne pique pas mais mord bel et bien). Les humains sont également très exposés aux risques de morsures de taon, entraînant rougeurs, gonflements, douleurs et parfois même des réactions allergiques.
La guêpe est plus agressive que l'abeille et peut piquer plusieurs fois à intervalles rapprochées. Son dard est rétractable et lisse, il ne s'accroche pas quand il pénètre dans la peau, il n'y a donc aucun risque de mort après la piqûre. Seule la femelle pique car son dard fait partie de son appareil de reproduction.
Millenium bell - Ce bourdon se situe à Newport, Ky, USA, il est plus communément appelé World Peace Bell. Il pèse 33285 kg et fait 3,70 mètres de diamètre, 3,65 mètres de haut.