Il peut s'agir d'un traitement à base d'antihistaminiques (Nausicalm, Nautamine, Mercalm...) sous forme de comprimés ou de sirops. Ils conviennent aussi pour le mal des transports. Respectez la posologie, ainsi que la durée du traitement.
1. Vous êtes anxieux ou stressé, c'est normal la plupart des passagers le sont. Il est recommandé de prévoir un sédatif léger : valériane, passiflore, Sériane®, Sédatif PC®…
Si le recours à ces derniers est indispensable (départ en urgence par exemple), on prescrit classiquement une benzodiazépine type alprazolam, qui agit assez rapidement (30 min-1 h) et reste active pendant 6-8 heures, permettant aux patients de « passer le cap » sur des vols à moyen-courrier.
Se relaxer
Explorer le lieu vous aidera à mieux appréhender le vol. A bord de l'avion avant le décollage, focalisez vous sur votre respiration uniquement en faisant abstraction du reste. Revêtez des vêtements amples, fluides pour le plus grand confort.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Le Kava Kawa, l'anxiolytique naturel le plus fort
Cet anxiolytique naturel et surement le plus fort, réduit l'insomnie et le stress, c'est un tranquillisant musculaire.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Bruits bizarres, sensations étranges, trous d'air, turbulences, secousses : un passager sur quatre est angoissé à l'idée de prendre l'avion. Chacun y va de sa petite peur, et même les plus habitués peuvent être stressés.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
Il est possible de diminuer son niveau d'anxiété grâce à des techniques de relaxation comme la cohérence cardiaque, qui est un exercice de respiration antistress, ou la méditation. L'aromathérapie peut aussi aider, avec des huiles essentielles permettant de se sentir mieux.
Retenir son souffle. Pour un retour à la normal, essayez de boucher votre nez avec vos doigts et d'expirer tout en gardant la bouche fermée. La pression créée par le souffle devrait déboucher vos tympans et atténuer les douleurs. On préconise toutefois d'y aller avec la manière douce et d'éviter de souffler trop fort.
Utilisez un vaporisateur nasal qui contient un décongestionnant une demi-heure avant le vol.
Effectuez la manœuvre de Valsalva : Bouchez votre bouche et votre nez, puis soufflez délicatement par le nez, en veillant à ne pas souffler trop fort. Imaginez souffler sur une bougie sans l'éteindre. Vous pouvez essayer d'avaler à plusieurs reprises, comme si vous avaliez de la salive.
Oui. Il suffit de présenter l'ordonnance médicale correspondante qui doit être à votre nom. En soute, vous pouvez le transporter sans restriction mais il est recommandé de garder en bagage cabine tous les médicaments requis dans le cadre d'un traitement médical. Cet article vous a-t-il été utile ?
Impossible d'avoir le vertige en avion
En effet, lorsque vous êtes en avion, vos pieds sont également dans le vide, cela correspond à ce que perçoivent vos yeux. Il n'y a plus de dissonance entre les informations et donc plus de sensation de déséquilibre.
La pression de l'air dans la cabine est inférieure à celle régnant au niveau de la mer. Lorsque la pression de la cabine diminue en vol, le gaz commence à se dilater. Par conséquent, vous pouvez ressentir de la pression dans votre estomac ou votre système digestif. Les gaz et les ballonnements sont courants.
La compression est bénéfique en avion pour éviter les pieds enflés. Il vous suffit de porter des chaussettes de compression de qualité médicale durant le voyage. Vous ressentirez immédiatement la différence.
Ces phases occupent environ 4 % du temps de vol moyen et durent deux fois plus longtemps que le décollage et la montée initiale. Mais 49 % des accidents mortels se produisent dans cette courte fenêtre, ce qui fait de la descente finale et de l'atterrissage les moments les plus mortels d'un vol classique.
Les personnes souffrant de peur de l'avion ou aérophobie ressentent une anxiété anticipatoire à partir du moment où un voyage en avion est planifié. Cette anxiété anticipatoire s'accroit au fur et à mesure que la date du voyage s'approche pour devenir intense dans les quelques heures précédant le vol.
L'océan Atlantique Nord est une zone de plus en plus perturbée. Une étude publiée dans Geophysical Research Letters explique que le nombre de turbulences enregistrées dans l'atmosphère n'a fait que progresser en l'espace de 40 ans, de 1979 à 2020.
La valériane : l'anxiolytique naturel le plus connu
Elle peut nous aider à : Lutter contre les troubles du sommeil liés au stress ; Soulager les symptômes du stress, de l'anxiété et de la nervosité.
Quel magnésium contre le stress et l'anxiété ? Une supplémentation en magnésium peut aussi s'avérer utile ! Différentes formes de magnésium sont disponibles. Outre le magnésium issu des aliments, on peut avoir recours au magnésium marin, citrate de magnésium, bisglycinate de magnésium ou carbonate de magnésium.