Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®)
Prenez des respirations lentes et profondes pour vous détendre. Reposez votre tête contre le dos de votre siège et gardez-la aussi immobile que possible. Une dose de GRAVOLTMvous aidera à soulager les nausées, les vomissements et les étourdissements causés par le mal de l'air.
Le mal des transports commence par une sensation de malaise et un manque d'appétit. Puis surviennent des nausées, souvent accompagnées d'une transpiration abondante, de vertiges et d'une salivation plus ou moins importante. Des vomissements surviennent jusqu'à ce que l'estomac soit vide, et même au-delà.
Le mal des transports se caractérise par une série de troubles (nausées, vertiges, etc.) apparaissant lors d'un voyage en bateau, en avion ou en voiture. Cette affection est due au contraste entre le mouvement enregistré par les yeux, et l'immobilité du corps perçue par l'oreille interne.
Le mal de l'air est une sensation induite par les voyages aériens, il s'agit d'une forme spécifique de cinétose, considérée comme une réponse normale pour les individus en bonne santé. C'est essentiellement la même que le mal de voiture mais transposée en avion.
Comprimé : Adulte : 2 comprimés 3 fois par jour, à prendre la veille et le jour du voyage. 2 comprimés dès l'apparition des symptômes pendant le voyage, à renouveler si nécessaire.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
Chez l'adulte: - 2 comprimés à sucer 3 fois par jour la veille et le jour du voyage. - 2 comprimés à sucer dès l'apparition des symptômes. Renouveler la prise si nécessaire.
Le mal des transports
Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool. Votre médecin pourra également vous prescrire un traitement préventif contre le mal des transports.
- Ne pas consommer alcool, tabac, café avant et pendant le trajet. Eviter également les aliments gras et/ou épicés pendant le transport. - Si possible conduisez car cela permet d'anticiper les virages et d'être donc moins malade. Attention ne conduire que si aucun médicament ne perturbant la vigilance n'a été pris.
La Métopimazine (Vogalib®), en vente libre en pharmacie, permet de limiter les vomissements. Les antihistaminiques dans la prévention des naupathies sont également efficaces : Diphenhydrate ou Nautamine ; Dimenhydrinate (Nausicalm).
Ce médicament homéopathique conviendra dès le plus jeune âge, soit 18 mois. À partir de 6 ans, il faudra prendre du Mercalm ½ heure avant le départ, mais il y a des effets sédatifs. Il se prend comme le Mercalm et possède les mêmes effets sédatifs, mais convient aux enfants à partir de deux ans.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Le gingembre est le remède anti-nauséeux par excellence. Il se consomme frais, en infusion ou en gélules au moins une heure avant le départ, puis toutes les trois heures si le trajet est long.
Le vogalib fait partie des médicaments antiémétiques appartenant à la classe des phénothiazines. Il a pour action de normaliser la contraction musculaire au niveau de l'estomac et de l'œsophage. Son usage est indiqué pour soulager les nausées et les vomissements sans fièvre.
Mangez légèrement avant de partir, et évitez l'alcool. Pendant le voyage il est préférable de regarder le paysage et d'éviter la lecture. Si vous vous sentez mal (étourdissements, accélération du pouls et de la respiration), allongez-vous et fermez les yeux. Respirez profondément et laissez votre corps se détendre.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Certains peuvent avoir une phobie de l'avion, mais cela n'a plus rien à voir avec le vertige. En conclusion, avoir le vertige ne doit pas être un frein pour voler, c'est même plutôt un excellent moyen de surmonter son appréhension naturelle et en sortir grandi !
La baisse de la pression aérienne dans l'avion entraîne une production accrue de gaz digestifs, à l'origine des flatulences. Selon les médecins, il ne faut pas tenter de les retenir car cela peut être mauvais pour la santé.
COCCULINE®, comprimé orodispersible est un médicament homéopathique traditionnellement utilisé : dans les nausées et les vomissements sans fièvre.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®)
Issue de la noix vomique, Nux vomica porte très bien son nom : c'est le remède homéopathique destiné aux nausées, quelles que soient leurs causes, infectieuses, excès de boissons ou de nourriture, mal des transports, etc. Elle traite aussi l'irritabilité et la colère ainsi que les hémorroïdes.
Le nombril, également connu sous le terme ombilic (du latin umbilicus), est la cicatrice laissée par la chute du cordon ombilical, au niveau du bas de l'abdomen.
En Chine, les enfants apprennent à couvrir leur ventre, à le protéger du froid qui peut endommager notre rate et notre estomac et à toujours le garder au chaud et couvert.
En général, le cerveau finit par s'adapter à cette situation nouvelle et les signes du mal de mer disparaissent au bout de deux à trois jours : ce retour à la normale s'appelle l'amarinage. Dans quelques rares cas, l'amarinage prend beaucoup plus de temps, voire n'arrive jamais.