Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.
-> On écrit "quoique" quand on peut le remplacer par "bien que". exemple : Quoique cet exercice soit facile, il ne comprend rien. = Bien que cet exercice soit facile, il ne comprend rien. -> On écrit "quoi que" quand on peut le remplacer par "quel que soit".
Indique la concession. Synonyme : alors que, quoique, tandis que.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas.
Etymologiquement, ce mot fait référence au coeur et à des sentiments d'affection mais il est devenu assez neutre. Essayez de l'utiliser avec parcimonie car ce dernier mot permet de faire passer un dernier message. Il peut être dommage de vous priver de cette occasion de communiquer utilement", explique-t-elle.
C'est une formule passe-partout mais polie qui peut à la fois s'adresser à l'extérieur et en interne, dans une entreprise. Elle remplace les «salutations» que l'on retrouverait dans un courrier, et s'emploie pour un premier contact dans un mail.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Invariable. Pourvu que (+ subjonctif) : je le verrai, pourvu qu'il veuille bien me recevoir. Pourvu qu'il ne pleuve pas !
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Jusqu'à ce que + subjonctif. Il recula un peu jusqu'à ce qu'il eût atteint le lit. Toutefois on trouve l'indicatif dans certains textes littéraires, si le fait à exprimer est certain, et surtout s'il se rapporte au passé.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Le subjonctif exprime traditionnellement un souhait, un désir, un ordre, un doute, un conseil ou une supposition. Il s'agit d'une action non-réalisée au moment où on s'exprime. La plupart du temps, ces verbes se retrouvent dans une proposition subordonnée introduite par la conjonction que ou quoi.
Le passé du subjonctif est formé à partir des auxiliaires avoir et être conjugués au présent du subjonctif auxquels on ajoute le participe passé. Avec l'auxiliaire être, on accorde le participe passé avec le sujet.
À l'impératif, le verbe se forme sans pronom et la phrase contient généralement un point d'exclamation. On retrouve dans ce mode deux temps : le présent et le passé. L'impératif présent sert à exprimer un ordre, un souhait ou un conseil. L'impératif passé est très peu utilisé.
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée. Il est parti après que nous l'avons tous salué.
Utilisation. Le subjonctif présent exprime généralement un fait envisagé qui n'est pas encore réalisé au moment de l'énonciation. Il s'emploie dans une proposition subordonnée.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.