Commencez par chatouiller les dessous-de-bras avec le côté de vos pieds. Bougez vos pieds sur les côtes également. Vous pouvez alors commencer à chatouiller le bas du dos avec vos mains pour un effet maximal. Gardez à l'esprit que vous voulez utiliser vos quatre membres, n'hésitez pas à en faire usage dès que possible.
Selon les chercheurs de l'Institut de neurologie (University College, Londres), il est impossible de se chatouiller soi-même car notre cerveau ne tient pas compte d'une telle stimulation.
Chatouillez-le !
S'il est chatouilleux et aime être chatouillé, chatouillez-le souvent et trouvez sans cesse de nouveaux endroits où lui faire des guilis. Essayez de lui chatouiller le ventre, les côtes, etc. Grattez la plante de ses pieds du bout de votre doigt.
Une partie du cortex perçoit en effet les chatouilles et, en temps normal, une autre partie du cortex déclenche la réaction de plaisir (pas pour tout le monde), et d'éclats de rire. Mais si c'est vous qui vous chatouillez vous-même, le signal est intercepté par le cervelet, qui annule l'ordre !
La raison est simple. C'est votre cervelet qui identifie si le chatouillement perçu est provoqué par vous-même ou par une autre personne. Si vous êtes à l'origine des “guili-guilis”, votre cervelet va directement le percevoir, et faire taire la réaction du cortex somatosensoriel.
De la même manière, vous pouvez taquiner votre moitié en public sur ses tics et petites habitudes bizarres (comme ses sous-vêtements Star Wars, son doudou tout défoncé, ou son addiction au beurre de cacahouète), si au fond, ce sont des choses que vous aimez chez lui.
Attaquez-vous au niveau de ses cotes et de son ventre. Pensez à la chatouiller aux endroits ou elle sera le plus sensible. Si lorsque vous la chatouillez, vous constatez que cela ne la met pas de bonne humeur, ne poursuivez surtout pas et laissez-la tranquille.
Sur le dos, sur le haut du crâne, sous le menton… Il aime par dessus tout être gratté là où il ne peut pas le faire lui-même. De plus, ces zones fourmillent de récepteurs sensoriels qui réagissent aux moindres caresses.
C'est le moine bénédictin et théoricien italien Guido d'Arezzo (990-1033) qui est à l'origine de cette invention.
D'après certains scientifiques, il existe des parties plus chatouilleuses, comme étant les parties les plus vulnérables (abdomen, gorge) et qu'il pourrait s'agir d'une réaction protectrice. »
Certaines personnes peuvent être chatouilleuses sur certaines parties du corps uniquement, comme les pieds mais pas les aisselles. D'autres personnes sont plus sensibles au toucher, et cette sensibilité de la peau pourrait jouer un rôle dans le caractère chatouilleux.
Quand on chatouille prolongé dans une zone spécifique (par exemple, les pieds), notre corps perd le contrôle de lui-même, entrant dans un état de tension, anxiété et stress causée par la fatigue et une sensation insupportable qui peut devenir douloureuse.
Le chatouillement est l'excitation de la peau par des attouchements légers et répétés, ou de la zone du diaphragme, produisant une sensation agréable ou désagréable et pouvant entraîner un rire convulsif.
En général, un homme troublé par une femme cherchera toujours à se rendre utile et serviable. Mais le signe le plus révélateur ce sera surtout l'écoute ! En effet, si cet homme éprouve bel et bien de l'attirance à votre égard, il essayera de capter votre attention par tous les moyens.
La femme parfaite est entreprenante et cool
Saviez-vous que 94% des hommes aiment que l'autre fasse le premier pas ? Alors on met sa timidité de côté et on se lance. Surtout qu'on ne risque pas grand chose même si on est un peu maladroite : le sens de l'humour est un atout qui fait fondre plus d'1 homme sur 3 !
La principale zone érogène est le gland, puisque c'est l'endroit le plus riche en capteurs sensoriels. La stimulation de cette partie du sexe masculin augmente l'excitation sexuelle. Les testicules, la tige du pénis, ainsi que l'arrière du scrotum font aussi partie des zones particulièrement érogènes chez l'homme.
Les hommes n'aiment pas les filles trop possessives ou trop jalouses. Tu cherches, tu cherches, avant même qu'il est fait, quoi que se soit. Et pire en cherchant, tu risques de trouver un message, que tu pourrais mal interpréter. Et tu lui aura enlevé toute envie de se justifier, voire même de continuer avec toi.
Une peur plutôt insolite parmi tant d'autres. Pour certaines personnes, rien que d'imaginer se faire chatouiller est angoissant et effrayant. Elles en ont même une peur bleue. La crainte extrême de se faire chatouiller à l'aide d'une plume a d'ailleurs son propre nom : il s'agit de la ptéronophobie.
Sous l'effet des chatouilles, les terminaisons nerveuses de l'épiderme envoient un signal électrique au cerveau. Cette information active la zone du cortex cérébral responsable des réactions émotives et qui contrôle les expressions sonores et faciales (= gloussements ridicules + visage déformé).
Lorsque l'on se chatouille soi-même, c'est différent. L'une des parties du cerveau, la partie antérieure, qui contrôle la motricité, va anticiper le geste. « Elle va envoyer un message d'atténuation sensorielle à la deuxième partie du cerveau, la partie postérieure, qui perçoit le stimulus », détaille Pierre Lemarquis.