La maladie de Parkinson résulte de la dégénérescence de la partie du cerveau qui permet de coordonner les mouvements. Souvent, le symptôme le plus évident est un tremblement qui se produit lorsque les muscles sont détendus.
Au cours de son évolution, la maladie de Parkinson (MP) s'accompagne de complications motrices : les fluctuations motrices et les dyskinésies. On observe également des complications non motrices : les fluctuations non motrices, le trouble du contrôle des impulsions et les addictions comportementales.
La maladie de Parkinson est une maladie neurologique dégénérative, les neurones dopaminergiques (situés dans la substance noire du cerveau) sont touchés et dégénèrent ; puis disparaissent progressivement. La fonction de ces neurones est de fabriquer et de libérer la dopamine.
C'est la « douleur centrale Parkinsonienne ». Cette douleur est plus difficile à identifier. Elle peut ressembler à une compression, des picotements, des engourdissements, des brûlures, des vibrations, des douleurs lancinantes touchant préférentiellement le coté le plus affecté par la maladie.
La maladie de Parkinson se caractérise généralement par des troubles moteurs et des troubles cognitifs. Cette maladie neurodégénérative peut également être responsable de manifestations corporelles douloureuses. Les douleurs sont très variées et ressenties différemment d'un patient à l'autre.
De nombreux facteurs liés au Parkinson contribuent à la perte de poids. Les mouvements involontaires (soit les tremblements) brûlent énormément d'énergie. Les symptômes de dépression sont présents dans la maladie de Parkinson et peuvent entraîner une diminution de l'appétit et une perte de poids.
La fatigue est un symptôme extrêmement fréquent chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Elle présente beaucoup de similitudes avec l'apathie, comme un manque d'énergie, d'intérêt et de motivation.
Plus de 50% des personnes ayant la maladie de Parkinson souffrent d'insomnie chronique. Il s'agit surtout de longues périodes de réveil la nuit (en moyenne, le tiers de la nuit) et de réveils trop matinaux.
La lévodopa (ou L-dopa) est transformée en dopamine dans le cerveau. Elle est le traitement de référence de la maladie de Parkinson, celui qui possède le meilleur rapport efficacité/effets indésirables.
La raideur musculaire survient en général après un effort de trop longue durée ou trop intensif des muscles. Les entraînements sportifs représentent dès lors la cause la plus courante. Elle peut également se produire si vous êtes tendu ou si vous restez dans la même position pendant un long moment.
Les principaux symptômes de la maladie de Parkinson sont les tremblements, la lenteur des mouvements et la raideur musculaire. D'autres troubles comme un état dépressif, une fatigue, des troubles digestifs... peuvent être associés.
Faire attention à son alimentation
Un premier conseil sera de privilégier les aliments riches en tyrosine, un acide aminé qui stimule la production de dopamine. On en trouve dans les bananes, le chocolat, les avocats, les graines de sésame et de citrouilles, les amandes, ou encore les œufs et les fromages.
La fatigabilité et la difficulté de concentration
Les signes les plus souvent constatés sont discrets ; il s'agit de fatigabilité et de difficulté à se concentrer ou d'une baisse de rendement dans la réalisation des tâches quotidiennes.
Le stade final de la maladie de Parkinson se caractérise par une incapacité à se déplacer sans aide. La personne est alitée ou ne peut se déplacer qu'en fauteuil roulant. Le patient ne peut pas se lever d'une chaise ou sortir du lit sans aide.
La Levodopa ou L-dopa, précurseur de la dopamine, médicament le plus utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson. Cela signifie qu'il se transforme en dopamine dans le cerveau. "Il est généralement assez bien supporté.
Première étude sur la maladie de Parkinson couvrant l'ensemble du territoire français (Outre-mer inclus). Fin 2015, 160 000 patients parkinsoniens traités, avec environ 25 000 nouveaux cas par an ; 17% des nouveaux cas étaient âgés de moins de 65 ans. Les hommes sont atteints 1,5 fois plus que les femmes.
Vous pouvez, par exemple, consommer plus de céréales, du pain à grains entiers, des légumineuses, des fruits et des légumes. Exposez-vous au soleil, en vous protégeant, et mangez des aliments riches en calcium. Le calcium est important pour la santé de vos os et permet de réduire votre risque de fracture.
Des chercheurs affirment qu'une alimentation riche en antioxydants, notamment en vitamines C et E, permettrait de réduire le risque de maladie de Parkinson grâce à leurs effets bénéfiques contre les dommages causés par cette pathologie sur le système nerveux.
Les exercices en aérobie à haute intensité, comme par exemple 60 minutes de travail intense sur une bicyclette ou un tapis roulant, peuvent également avoir des effets importants sur le métabolisme, et favoriser les performances cognitives, ainsi que l'absorption et l'utilisation de médicaments comme la L-DOPA.
Ces parkinsoniens ont une espérance de vie d'un peu plus d'une dizaine d'années (13 à 14 ans). Le traitement à la dopamine permet d'obtenir un résultat plus que satisfaisant dans le prolongement de l'espérance de vie des patients. Certains ont atteint une durée de vie supérieure à la moyenne globale.
En 2022, pour la première fois en région Centre-Val de Loire, le Centre Hospitalier Jacques Cœur a mis en place la duodopathérapie (opération est réalisée par les services de neurologie et de gastro-entérologie), un nouveau traitement contre la maladie de Parkinson.
Les effets secondaires de la médication, les changements cognitifs, la dépression, les hallucinations ou le délire sont des éléments qui peuvent provoquer des comportements agressifs.
En effet, « contrairement à la maladie d'Alzheimer, les troubles cognitifs s'accompagnent ici de problèmes moteurs. » Plus légers que dans la maladie de Parkinson, ils se manifestent souvent par une certaine raideur, un ralentissement moteur ou des chutes. Autres symptôme spécifique : des modifications cardiaques.
Résultat : les scientifiques se sont aperçus que le trouble lié à la consommation d'alcool chez les hommes et les femmes était associé à un risque plus élevé de maladie d'Alzheimer et de Parkinson.