D'autres diront que la « méchanceté gratuite » est liée au désir de se faire remarquer ou de provoquer les autres (sous-entendant que les personnes qui sont la proie de ces désirs n'ont pas de raison de se faire remarquer ou de provoquer.)
Cette volonté de faire du mal peut être due à des traumatismes liés au passé, à une volonté de revanche, ou au fait de vouloir montrer qu'on a l'ascendant sur l'autre. Il y a toujours une raison derrière un acte de méchanceté, aussi saugrenue ou incompréhensible soit-elle.
Peut-être que les personnes qui s'attirent des relations toxiques dans leur vie ont tout simplement besoin d'apprendre à s'aimer davantage et mieux, à cesser de vouloir sauver tout le monde, à garder l'ego humble et discret et surtout à prendre soin d'elles, comme elles voudraient tant que quelqu'un le fasse pour elles ...
La « méchanceté gratuite » est une expression que nous entendons souvent et qui désigne un comportement dont nous ne comprenons pas la logique. Les personnes qui ne comprennent pas les causes d'un comportement ont vite fait de dire que ce comportement est « gratuit » donc qu'il s'exprime « pour rien ».
La meilleure réponse que l'on puisse donner à ce type de personnes consiste à leur donner une leçon de bonté. Il s'agit là de la réaction la plus juste et la plus respectueuse que l'on puisse avoir face à ce type de comportement.
adjectif et nom. Qui fait délibérément du mal ou cherche à en faire, le plus souvent de façon ouverte et agressive (opposé à bon). ➙ cruel, dur, malfaisant, malin (I), malveillant, mauvais (III, 2) ; familier rosse, vache ; régional chien, cochon.
La méchanceté réactive est la plus répandue, résultat de déceptions, de chagrins et de rancunes, qui ébranle et modifie momentanément la personnalité jusqu'à parfois amener certaines personnes à être incapables de résister à l'emprise du mal.
Qui fait intentionnellement du mal à autrui, qui cherche à nuire : Un méchant homme. Il est méchant avec les animaux. 2. Qui manifeste la volonté de nuire, la malveillance : Une remarque méchante.
brutal, calomnieux, cruel, dur, féroce, haineux, hargneux, malfaisant, malintentionné, malveillant, mauvais, odieux, pervers, sadique, sauvage, vindicatif, virulent. – Familier : rosse, teigneux, vache, vilain.
1. Caractère de quelqu'un de méchant, volonté de nuire, de faire du mal : Agir par pure méchanceté. 2. Caractère méchant, malveillant d'un acte, d'un propos : J'ai été surpris par la méchanceté de sa remarque.
La meilleure façon de se calmer est parfois d'aller faire un tour. Si quelqu'un vous agace en particulier et que vous êtes sur le point de vous effondrer, écartez-vous, allez faire un tour, prenez une pause ou bien allez aux toilettes.
Les Français interrogés expliquent qu'ils sont majoritairement prêts à râler souvent (55%) ou à facilement critiquer (53%). Il y a aussi d'autres moyens d'être méchant. C'est par exemple la provocation pour 36% des sondés, la moquerie gratuite (33%) et la médisance (31%).
2/ La méchanceté pour masquer sa jalousie
Il ne s'en remet pas, et veut se venger en vous faisant du mal ou en vous sermonnant méchamment. Les hommes peuvent aussi être méchants par envie : il voit que tout vous réussit et que vous êtes d'humeur joyeuse en permanence, ce qui a le don de l'agacer au plus haut point.
“Le mot toxique vient du latin 'toxicum' qui veut dire 'poison'. Les personnes toxiques sont tout simplement des personnes qui nous empoisonnent la vie !”, résume Christophe Médici. La personne toxique peut être un conjoint, un collègue de travail, un ami, un membre de la famille ou un interlocuteur virtuel.
Parce que les personnes investissent beaucoup d'énergie émotionnelle dans ces liens. Nous avons besoin de ce soutien quotidien, car l'affection prend racine, l'amour crée des liens et construit le tissu de la confiance. Cela nous permet de nous sentir en sécurité et validés dans nos relations.
Il l'explique par le fonctionnement du cerveau : "Nous avons trois cerveaux : le cerveau reptilien, celui de l'instinct, là où va se jouer la méchanceté. Le cerveau limbique, celui de l'émotion, et le cerveau néocortical, celui de la raison qui réprime nos instincts.
Être une bonne personne ne veut pas dire que vous ne commettez jamais d'erreur, explique Lisa Grushcow – il s'agit plutôt de trouver la meilleure façon de réagir quand ça vous arrive. La bonté n'est pas un trait inné immuable, mais plutôt quelque chose qui peut être évalué, recalibré et amélioré au fil du temps.