De même, on peut interpréter la pensée du théologien protestant et philosophe de la religion, Paul Tillich, comme un débat constructif à propos de la position de Nietzsche. Jaspers cherche à dépasser Nietzsche avec sa « foi philosophique », Tillich, de la même façon, avec sa nouvelle formulation de la foi religieuse.
Sur la base de cette démonstration, il soutient que l'acte d'accusation est contradictoire : il déclare que Socrate ne croit pas aux dieux, mais croit aux dieux (27a).
Dieu, d'après Platon, est toujours et partout l'organisateur du monde et celui qui lui conserve son éternelle jeunesse ; c'est la cause immédiate de la nature, le principe auquel est directement suspendue la chaîne des mouvements cosmiques ; et ce principe, il le représente comme un être qui « se meut lui-même » .
Dieu est celui qui se détermine lui-même par lui-même, celui dont l'être n'est que relation de soi à soi. On ne saurait signifier d'une manière plus positive l'Ipséité absolue. Alors que l'immortalité nie la mort, l'éternité demeure libre de toute condition. Dieu n'est pas immortel.
Nietzsche ne dit pas : « il n'y a pas de Dieu ». Il ne dit pas davantage : « je ne crois pas en Dieu ». Il dit : « Dieu est mort » ; il n'a plus de signification, il a disparu de la conscience des hommes. Et pour Nietzsche il en est bien ainsi, car ce n'est que de la sorte que l'homme peut vraiment devenir libre.
Nom propre
(Religion) Nom de Dieu en hébreu, dans la Bible en français courant, parfois rendu par Yahweh , Yahvé ou Iavhé. Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur, Comme ayant retrouvé leurs régions natales, Autour de Jéhovah se rangèrent en chœur, (…)
Bien qu'elle ait été contestée, l'identification de l'Idée ou Forme du Bien à Dieu est généralement admise. Cependant Platon ne l'affirme nulle part. Et l'on a souvent remarqué que, sauf dans les Lois, Platon parle plus volontiers du Divin que de Dieu.
Cependant, selon Freud, les idées religieuses sont des illusions, des créations qui représentent la réalisation des désirs les plus anciens de l'humanité : protection et amour. Les hommes cèdent à l'illusion de l'existence objective de ce qu'ils ont produit.
Socrate cherche donc à montrer que les vertus morales particulières (par exemple : la justice, le courage, la tempérance, la piété, la sagesse) convergent toutes dans la vertu qui est une (en général), et, au-delà d'elle, en ce pour quoi la vertu est vertueuse ou l'excellence excellente, en vue de faire le bien.
Considéré comme le père fondateur de la philosophie occidentale, Socrate a examiné tous les aspects de la vie antique, à son propre détriment. Socrate fut condamné à mort en 399 av. J.
1Dans un passage de son traité Sur la nature des dieux (I 34, 93), Cicéron présente Socrate comme le “ père de la philosophie ”. Or suivant une autre tradition, bien établie, le premier philosophe fut en réalité Thalès de Milet, dont la naissance précède de plus d'un siècle celle de Socrate.
Platon développe une réflexion sur les Idées communément appelée théorie des Formes ou théorie des Idées dans laquelle la réalité sensible est considérée comme un ensemble d'objets participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est, selon le contexte, tantôt le Bien, tantôt le Beau.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
La croyance n'est pas un acte volontaire
En conséquence, on pourrait argumenter que le pari de Pascal ne permet pas de nous motiver à croire en Dieu, car croire en Dieu n'est pas un acte volontaire.
1. Fait de croire à l'existence de quelqu'un ou de quelque chose, à la vérité d'une doctrine, d'une thèse : La croyance en Dieu, aux fantômes. 2. Ce qu'on croit ; opinion professée en matière religieuse, philosophique, politique : Respecter toutes les croyances.
La lecture rapide de cet ouvrage célèbre montre donc que Freud juge en effet fort négativement la religion puisqu'il faut aider les hommes à « grandir » en vue de ne plus prendre leurs désirs infantiles pour la réalité, c'est-à-dire se passer définitivement de la croyance en un Dieu paternel protecteur.
Marx en concluait que la religion était l' « opium du peuple », c'est-à-dire une sorte de drogue, un paradis artificiel empêchant l'individu de se tourner vers les vé- ritables responsables de l'injustice sociale.
Le philosophe de la religion, comme critique de la raison, dénonce les prétentions de l'un et l'arbitraire de l'autre. La critique de la religion rappelle ensuite au théologien qu'il porte et transmet l'Evangile dans des vases de terre.
Socrate (en grec ancien : Σωκράτης / Sōkrátēs /sɔːkrátɛːs/) est un philosophe grec du V e siècle av. J. -C. (né vers -470/469, mort en -399).
Et Socrate but la cigüe...
Condamné à mort ! Le verdict du procès condamne Socrate à boire la ciguë et marque l'avènement de la philosophie.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Jésus, en grec Ἰησοῦς / Iēsoûs, vient de Yehoshua (hébreu : יהושע), à travers sa forme abrégée Yeshua (hébreu : ישוע). Yeshua signifie « Sauveur » et Yehoshua est un nom théophore qui signifie : « Dieu (YHWH) sauve ».