Les poissons les plus couramment servis en sashimi sont le thon, le saumon, la dorade, le maquereau et la limande. Dans la région d'Osaka, on sert également le fugu (poisson-bulle), toxique s'il n'est pas parfaitement préparé.
C'est délicieux, le poisson cru, ainsi préparé en tartare, est très frais et parfumé grâce notamment à l'huile d'argan ; les petites billes de fromage croustillent et fondent sous la dent, c'est extra.
Mais demandez bien à votre poissonnier de le préparer devant vous!" Autres alternatives, le colin, "en vapeur ou à peine doré, c'est délicieux et il y en a beaucoup en mer", ou le lieu jaune, qui peut également être savouré cru.
Pour faire des recettes de sushi, on peut choisir parmi les trois espèces existantes à savoir la daurade royale, la daurade rose ou encore la daurade grise. La chair des daurades est moins grasse et elle est très riche en acides gras oméga 3 qui sont réputés par ses bienfaits sur la santé cardio-vasculaire.
Les rouleaux sont découpés en petits tronçons avant d'être servis. Le sashimi ne ressemble en rien au sushi. Il s'agit d'un plat japonais composé uniquement de tranches de poisson cru. Toute la finesse du sashimi est dans la découpe de la chair des poissons.
Le riz rond japonais se trouve dans les épiceries asiatiques. C'est un riz spécial, riche en amidon, qui devient un peu collant lorsqu'il est réussi. La cuisson du riz est peut-être l'étape la plus difficile pour faire des sushis ou des makis.
Les sashimi se mangent avec des baguettes japonaises que vous trempez avec de la sauce soja et un peu de wasabi. Vous trouverez aussi du daikon, des feuilles de shiso, chou blanc, carotte, concombre, du gari…
Les sashimis ne sont d'ailleurs pas toujours des tranches de poisson : il peut s'agir également de tranches de crustacés ou de coquillages, tels que la crevette et la coquille Saint-Jacques. Les poissons les plus couramment servis en sashimi sont le thon, le saumon, la dorade, le maquereau et la limande.
Les meilleurs saumons viennent d'Ecosse, d'Irlande et de France. Le saumon de Norvège est un peu plus controversé en raison de son élevage intensif même si des efforts commencent à être réalisés. Choisir un saumon d'élevage est préférable car le saumon sauvage est rare et protégé.
Pour confectionner vos sushis, pensez au coeur de saumon frais de votre poissonnier Grand Frais ! Vendu en barquette d'environ 250g, sans peau et sans arêtes, il est prêt à cuisiner… et à déguster !
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix.
Un poisson pour les petits budgets
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Saumon, maquereau, hareng, thon, sardines, anchois, merlu, cabillaud, morue… qu'ils soient salés ou fumés, lorsque ces poissons ne sont pas cuits, ils présentent un risque sanitaire. Les anisakidés, par exemple, peuvent être présents dans plus d'une centaine d'espèces différentes.
Par précaution, il vaut mieux les congeler avant de les consommer cru, au minimum 24h à -20°C. En procédant ainsi, on tue en principe les parasites (y compris les œufs) – attention, ce n'est pas garanti à 100% mais cela réduit considérablement les risques d'attraper une parasitose.
Le plus connu est l'anisakis. Trois à six heures après la consommation de poisson infesté, il provoque des douleurs gastriques violentes parfois associées à des nausées et des vomissements. Pour éviter ces inconvénients il suffit de congeler le poisson avant de le consommer cru, 7 jours à -20°C ou 15 heures à -35°C.
Cela s'explique par la pollution des océans, et donc par la contamination de l'alimentation des saumons. Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Cru, en tartare ou en sashimis
Finement tranché en sashimis, à l'aide d'un couteau bien aiguisé, il peut être dégusté tel quel avec un simple jus de citron et un peu de fleur de sel.
Sushis, ceviche ou encore tartare de saumon : autant de recettes délicieuses ! Mais manger du poisson cru comporte des risques pour la santé.
Les poissons les plus adaptés à une consommation crue sont : le saumon, la daurade, le bar et le thon. Il faut les choisir en fonction de la saison durant laquelle ils sont le plus savoureux. Il est important de préciser que la fraîcheur du poisson est primordiale.
De nombreuses variétés vous attendent : du cabillaud, du merlan, du lieu noir, de l'eglefin, de la dorade sébaste, du saumon et du loup de mer.
Prenez toujours le temps d'examiner le poisson cru pour vous assurer qu'il est encore bon avant de le cuisiner. Ne mangez pas les restes de saumon qui n'ont pas été réfrigérés correctement ou qui ont plus de 2 jours. Assurez-vous que le poisson est complètement cuit avant de le déguster.
Aussi la qualité du sashimi varie selon la partie du poisson utilisée. Dans le thon par exemple, les parties les plus prisées sont l'o-toro et le chu-toro, plus grasses, prélevées sur la partie inférieure du poisson alors que l'akami (viande rouge), plus populaire, provient de son dos.
Le sashimi saumon se marie parfaitement avec du vin blanc sec plutôt « jeune » comme un bon Saint-Véran chasselas, un Fiefs Vendéens Vix blanc, un Pouilly-Vinzelles, un Pouilly-Loché ou encore un Côtes de Bourg, Bourg et Bourgeais blanc.