La lettre Y est la sixième voyelle de notre alphabet. Mais, phonétiquement, on peut la considérer comme une voyelle ou comme une semi-consonne, cela dépend de son environnement. En position initiale et devant une consonne, le y joue son rôle de voyelle : ysopet, ypérite.
(Lettre) Appelé i grec en raison de l'emprunt de la lettre upsilon dans l'alphabet grec ancien où il dénote tout d'abord le son \y\ (u français) absent du latin avant de se prononcer — en latin comme en grec — \i\. (Pronom personnel 1) Du latin hic (« ceci ») ; a évincé l'ancien français iv , du latin ibi (« ici »).
- Lorsque 'ill' est précédé de 'qu' ou 'gu' : on a le son /j/ dans "quille", "coquille" (comme dans "fille") et le son /il/ dans "tranquille". Lorsque 'Y' est placé entre deux voyelles, on fait, généralement, comme s'il y avait deux 'i' écrits. L'un se lie à la voyelle qui précède et l'autre à la voyelle qui suit.
le Y se prononce \j\ : maya, Fayard, mayonnaise… mais influence le son du A dans certains cas, AY se prononçant alors \ɛj\ : ayant, paye, crayon…
"Y" peut remplacer un complément de lieu introduit par les prépositions dans, en, sous, sur, devant...
Cette lettre se prononce u ( ύψιλον). Pour des historiens philologues, cette lettre est vraisemblablement passée dans l'alphabet latin pour dénoter le son u absent du latin. Dans le latin tardif, et dans notre Moyen Âge, elle a finit par se prononcer i, la graphie y devenant une forme alternative de notre i.
C'est la neuvième lettre de l'alphabet grec, la plus petite de toutes, qui correspond au « i » de notre alphabet.
Richelet signale en 1680 que la « lettre qu'on appelle y [i] grec » est « presque aujourd'hui bannie de la Langue Françoise ». Adobe stock. Son pied symboliserait l'enfance, et sa fourche le choix à faire entre le vice et la vertu.
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
Dans ce sens strict, c'est l'alphabet grec, issu du phénicien, qui serait le premier alphabet. L'alphabet latin, le plus largement employé de nos jours, provient directement du grec (via Cumes et les étrusques).
L'alphabet français est composé au total de 26 lettres : a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y et z. Ce dernier est issu de l'alphabet latin moderne et ces lettres sont rangées dans l'ordre dit alphabétique.
Les origines de l'alphabet
Ce sont les phéniciens installés dans l'actuel Liban qui ont conçu les lettres du premier alphabet, au XIIIe siècle av. J. -C. Il comprenait 22 consonnes.
Le pronom y représente le plus souvent des noms de choses ou d'animaux. Il correspond généralement à un complément introduit par à : je vais à la poste, j'y vais ; il n'a pas répondu à ma question, il n'y a pas répondu. (Mais on dit, avec un complément nom de personne : il a répondu à son client, il lui a répondu.)
Le pronom y remplace un complément de lieu. Ce complément de lieu (le lieu où l'on est, le lieu où l'on va) est généralement précédé d'une préposition comme “à”, “dans“, “chez“, “sous“, “en” etc. Il répond à la question “où ?” et peut être remplacé par le pronom “y”.
la lettre y après une consonne est strictement équivalente à la lettre i. 2. la lettre y après une voyelle à valeur de double i et de ce fait participe à deux syllabes.
NB : notez que depuis la réforme de 2010 faite par l'Académie royale de la langue espagnole, l'alphabet espagnol ne compte plus officiellement que27 lettres, les lettres CH et LL n'étant plus considérées comme des lettres à part entière.
Le Ñ, ñ, egne, ou ene tilde (en espagnol la eñe, nom féminin) est une consonne utilisée en aragonais, asturien, basque, breton, espagnol, galicien, guarani, hassanya, karone, portugais tagalog, wamey, wolof, etc.