aspect de peau d'orange d'une partie d'un sein ; douleur mammaire localisée ; ganglions palpables au niveau des aisselles ; écoulement verdâtre ou coloré de sang par le mamelon.
Le cancer du sein est souvent indolore dans ses premiers stades, mais il peut provoquer un gonflement de l'aisselle, du sein ou de la clavicule. Si vous ressentez une douleur ou une grosseur mammaire, prenez rendez-vous avec votre médecin.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Le cancer du sein
Son premier signe palpable peut justement être une masse solide, indolore et bien distincte du reste du tissu mammaire. Elle s'accompagne parfois d'un gonflement des ganglions des aisselles, d'un changement dans l'aspect de la peau du sein ou du mamelon ou encore d'écoulements.
masse à l'aisselle (creux axillaire); changement de la taille ou de la forme du sein; changements mamelonnaires, comme un mamelon qui commence soudainement à pointer vers l'intérieur (mamelon inversé); écoulement du mamelon sans qu'on le comprime ou qui est teinté de sang.
Une tumeur du sein est rarement d'emblée douloureuse. Cela dépendra ensuite du type et du stade du cancer du sein.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
C'est une multiplication de cellules normales du sein. Elle peut être responsable d'une modification de la consistance de certaines parties du sein. Il est plus rare que l'hyperplasie soit responsable d'un nodule. Parfois, les cellules en phase de multiplication peuvent ressembler à des cellules cancéreuses.
Une humeur agressive, une irritabilité ou une humeur changeante et instable. Une perte d'intérêt et de plaisir (plus rien ne l'intéresse, abandon d'études, etc.) Des signaux d'anxiété : nervosité, agitation, crises d'angoisse, hypervigilance, etc.
Les cancers du sein à un stade précoce d'évolution au moment du diagnostic (cancers in situ ou peu étendus) présentent un taux de survie de plus de 90%. Les cancers plus évolués, mais sans métastases, présentent un taux de survie de 80%. En cas de cancers métastatiques, le taux de survie descend à 25%.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Les résultats de leur étude ont été publiés dans la revue Journal of Clinical Oncology (JCO). La fatigue est l'une des principales séquelles liées au cancer du sein.
Les différents cancers du sein
Le cancer du sein hormonodépendant. Le cancer du sein triple négatif. Le cancer du sein HER2 surexprimé
Environ 10% des cas de cancer du sein se manifestent chez les femmes âgées de moins de 35 ans et près de 20% avant 50 ans. Le cancer du sein se développe le plus souvent autour de 60 ans. Près de 50% des cancers du sein sont diagnostiqués entre 50 et 69 ans et environ 28% sont diagnostiqués après 69 ans.
Quand consulter un médecin
Les femmes qui présentent une douleur sévère, une rougeur ou un gonflement peuvent avoir une infection mammaire et doivent consulter un médecin dans les deux jours.
Les principaux symptômes d'un cancer du sein qui s'est propagé aux os sont les suivants : Douleur – en particulier dans le dos, les bras ou les jambes, souvent décrite comme un « rongement » qui se produit au repos ou pendant le sommeil, et qui peut s'aggraver en position allongée, en particulier la nuit.
Un cancer du sein est HER2 positif quand les cellules cancéreuses fabriquent trop de copies (surexpression) du gène HER2. Un cancer du sein HER2 positif est plus agressif qu'un cancer du sein HER2 négatif. Cela signifie qu'il est plus susceptible de se développer, de se propager et de réapparaître après le traitement.
La présence d'une petite boule indolore ou d'un gonflement plus dur que le reste est souvent une indication d'un cancer du sein. Beaucoup de personnes pensent: «je n'ai pas mal, je me sens bien, donc tout va bien». Il est possible que vous ayez mal, mais c'est rarement un signe précoce de cancer du sein.
Le cancer du sein est associé à un bon pronostic
87% des personnes sont en vie 5 ans après le diagnostic et 76% dix ans après (chiffres Inca 2018). En France, l'âge médian au moment du diagnostic est de 63 ans.
Le cancer du poumon, le cancer de l'ovaire, le cancer colorectal, les cancers du col utérin ainsi que le cancer du sein, peuvent tous passer inaperçus par les patients jusqu'à ce qu'ils soient très avancés, au stade 3 ou 4. Ces tumeurs sont souvent définies comme les cancers de «stade tardif».
Chez les femmes traitées pour un cancer du sein, la prise de poids au décours du traitement (chimiothérapie ou hormonothérapie) est fréquente. Elle concerne près d'une patiente sur deux. Elle est en moyenne de 3 kg, dépasse 5 kg pour un tiers des patientes et persiste dans le temps.
Une méta-analyse de 2012 a révélé qu'un taux de CRP élevé était associé à une augmentation de 33 % du développement de cancers du poumon, sur la base de 10 études portant sur 1 918 cancers du poumon.
En présence d'une hémoptysie (crachat sanglant) ou de symptômes pulmonaires ou généraux persistant anormalement, un bilan est nécessaire pour rechercher un éventuel cancer bronchopulmonaire. Le diagnostic est confirmé par l'analyse de fragments de tumeur prélevés par biopsie lors d'une fibroscopie bronchique.