Loi n°3 : La tension aux bornes d'un ensemble de dipôles branchés en série est égale à la somme des tensions aux bornes de chaque dipôle : c'est la loi d'additivité de la tension. Loi n°4 : Les tensions aux bornes de dipôles branchés en dérivation sont égales : c'est la loi d'unicité de la tension.
Loi d'Ohm (U = R x I)
C'est la loi fondamentale de l'électricité qui porte le nom de Georg Simon Ohm ,qui s'exprime ainsi : La tension aux bornes d'un conducteur ohmique est égale au produit de la résistance de ce conducteur ohmique par l'intensité du courant qui le traverse.
Loi d'unicité : Dans un circuit en série, l'intensité du courant électrique est la même en tout point. Tous les dipôles du circuit sont parcourus par un courant électrique de même intensité. La loi d'unicité est vérifiée quel que soit l'ordre de branchement des dipôles.
L'intensité obéit à la loi d'additivité : Dans un circuit en dérivation l'intensité dans la branche principale est égale à la somme des intensités de toutes les branches dérivées.
Loi n°3 : La tension aux bornes d'un ensemble de dipôles branchés en série est égale à la somme des tensions aux bornes de chaque dipôle : c'est la loi d'additivité de la tension. Loi n°4 : Les tensions aux bornes de dipôles branchés en dérivation sont égales : c'est la loi d'unicité de la tension.
Le courant électrique est un déplacement d'électrons. Pour les faire se déplacer, il faut un générateur de courant qui va créer un déséquilibre de charge (différence de potentiel) afin d'attirer et de repousser les électrons. Ce déséquilibre de charge est appelé « tension électrique ».
La somme algébrique des intensités des courants dans les conducteurs orientés vers un nœud est égale à la somme algébrique des intensités des courants dans les conducteurs orientés à partir du nœud.
La loi des mailles est utilisée dans le domaine électrique pour établir une relation mathématique concernant les tensions au sein d'une maille d'un circuit électrique.
Définition. Dans un circuit avec dérivations, la somme des intensités des courants qui arrivent en un nœud est égale à la somme des intensités des courants qui repartent de ce nœud. C'est la loi d'additivité des intensités.
Les premiers concepts considérant l'électricité comme un fluide se déplaçant datent de la fin du 18ème grâce aux travaux de Benjamin Franklin, Luigi Galvani et Henry Cavendish.
Celui que l'on considère comme "l'inventeur" de l'électricité s'appelle Thomas Alva Edison. C'est lui qui a inventé la première ampoule électrique et qui a inauguré les premières centrales électriques.
Il existe deux types de circuits électriques : le circuit en série qui possède une seule maille (ou boucle) ; le circuit en dérivation qui possède plusieurs mailles (ou boucles).
Elle est devenue indispensable à tout ce qui fait notre vie quotidienne : se nourrir, se chauffer, s'éclairer, se laver, soigner, communiquer, se déplacer, fabriquer...
En un noeud d'un réseau, la somme des intensités des courants qui arrivent est égale à la somme des intensités des courants qui repartent.
Loi des nœuds (ou première loi de Kirchhoff)
Un noeud est un point d'un circuit où plus de deux fils se rejoignent. La loi des nœuds stipule que la somme des intensités de courant électrique (I) qui entre dans un nœud doit être égale à la somme des intensités de courant qui sort de ce nœud.
La loi de Pouillet applicable aux résistances
Elle se note ainsi : [ R = frac{ rho l} { s } ] avec : ρ : résistivité du conducteur ; l : longueur du conducteur ; s : aire de la section du conducteur.
Maille = ensemble de branches formant une boucle fermée en ne passant pas deux fois par le même noeud.
1. Élément constitutif de toute surface textile comportant un réseau plus ou moins lâche de fils entrelacés (tricots, tulles, filets, notamment) ; trou formé par chaque boucle : Poisson qui passe à travers les mailles. 2. Boucle de fil reliée à d'autres boucles pour former un tricot.
En somme, les ampères mesurent la quantité d'électricité dans un courant (intensité). Les volts, eux, mesurent la force de cette électricité.
La puissance en watts correspond à la puissance réelle utilisée par l'équipement. Quant aux volt-ampères, ils correspondent à la puissance « apparente » et sont le produit de la tension appliquée à l'équipement multipliée par l'intensité du courant utilisé par l'équipement.
Le courant alternatif jugé le plus dangereux
En effet, en milieu sec, le seuil de dangerosité, c'est-à-dire la tension de contact maximale pour 5 secondes, commence à 50 V pour le courant alternatif contre 120 V pour le courant continu.