Quatre formes de discours La forme du discours (= tout texte écrit ou dit à l'oral) dépend de l'intention de l'auteur : raconter, décrire, expliquer ou convaincre. On distingue quatre principales formes de discours : narrative, descriptive, explicative et argumentative.
Il y a cinq types de discours: narratif, descriptif, argumentatif, explicatif, injonctif. : présence de repères temporels (indicateurs temporels et connecteurs temporels) - verbes d'action- passé simple ou présent.
La rhétorique classique distingue trois grands genres de discours: le discours judiciaire, le discours délibératif et le discours démonstratif. Le terme de genre ne doit pas être ici confondu avec celui qui désigne les genres littéraires (roman, théâtre, poésie...).
Pour communiquer, on peut utiliser différents types de discours qui correspondent à différentes intentions : le discours narratif pour raconter ; le discours descriptif pour décrire ; le discours explicatif pour expliquer ; le discours argumentatif pour convaincre.
Discours indirect : Elle lui dit qu'elle ne partirait pas de là, le lendemain. Discours indirect libre : Elle se fâcha. Non ! Elle ne partirait pas de là, le lendemain !
J. -C., cet orateur hors pair bien plus intéressé par le verbe que par l'épée a formulé les cinq préceptes indispensables dans l'élaboration du discours rhétorique : l'inventio, la dispositio, l'elocutio, l'actio et la memoria.
Si vous voulez analyser le discours d'un orateur, pour comprendre complètement le contexte, vous devrez étudier la raison pour laquelle il a choisi de parler de ce sujet, quel est le public et le lieu dans lequel il parle. On peut prédire le déséquilibre de pouvoir entre les gens en les observant parler entre eux.
On distingue six formes principales de discours : narratif, descriptif, argumentatif, informatif, explicatif, injonctif. ∎ On définit la forme de discours selon l'intention, le but de celui qui parle ou écrit.
Un discours est un texte prononcé devant un public. Celui qui parle est désigné sous le nom d'orateur et ceux qui écoutent constituent l'auditoire. Le plus souvent, le discours a pour but de convaincre et/ou de persuader.
LINGUISTIQUE. La Grammaire générale et raisonnée de Port-Royal distingue neuf parties du discours : le nom, le pronom, le verbe, l'adjectif, l'article, l'adverbe, la préposition, la conjonction et l'interjection.
(Aristote). » Ces définitions mettent en évidence les trois composantes de base qui font qu'il y a rhétorique : un orateur, un auditoire et un langage.
Le discours dominant n'est que l'outil d'une politique performative « qui contribue à sa propre réalisation parce que ceux qui la produisent ont intérêt à sa vérité et qu'ils ont les moyens de la rendre vraie 1 ».
La disposition (dispositio) : la bonne organisation de votre discours. Le style (elocutio) : la rédaction de votre discours, le niveau de langue et les figures de rhétorique employées. L'action (actio) : la gestuelle et la prononciation du discours. La mémoire (memoria) : l'apprentissage du discours.
3. Structurer son discours. Un bon discours doit avoir une structure claire et logique. Vous pouvez structurer votre discours en trois parties : l'introduction, le corps du discours et la conclusion (comprenant le potentiel appel à l'action).
Pathos, ethos, logos. Selon la tradition aristotélicienne (c'est-à-dire qui vient d'Aristote) l'art de la parole peut s'inscrire dans trois registres possibles, qu'il définit dans la Rhétorique, : le pathos, l'ethos et le logos. Ces trois modalités sont chacune directement liées à une fonction précise de la rhétorique.
Le temps de base du discours est le présent, accompagné surtout du passé composé et du futur simple ou périphrastique (Je vais vous raconter comment...) ; on peut y trouver tous les autres temps sauf le passé simple. Le discours ne perd jamais le contact avec le temps de référence que constitue l'énonciation.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
On a le choix entre le discours direct et le discours indirect. Quand on rapporte les paroles comme elles ont été prononcées, en faisant référence à la situation d'énonciation d'origine, on produit du discours direct. Celui-ci se caractérise par une ponctuation particulière : deux-points, guillemets, tirets.
Pour être considéré comme tel, l'énoncé doit contenir au moins un trait sémantique du « dire » et une information sur le contenu du message. Par exemple : il lui a parlé toute la semaine n'est pas du discours narrativisé : on n'a pas d'information sur ce qu'il lui a dit pendant toute cette semaine.