Parmi les outils d'audit utilisés en amont de la mission, les plus courants sont les QPC (questionnaire de prise de connaissance), les QCI (questionnaire de contrôle interne), les TAR (tableau d'attribution des responsabilités), les plans d'échantillonnage.
Globalement il existe 6 assertions : exhaustivité, réalité, propriété, correcte évaluation, séparation des exercices, correcte imputation. Pour valider ces assertions, l'auditeur va mettre en œuvre des procédures d'audit.
Il existe trois types d'audits principaux: Première partie (réalisé en interne), Deuxième partie (par un consultant, un client) et tierce partie (organisme de certification ou accrédité, indépendant).
La première étape consiste donc à déterminer un objectif. De manière générale, l'audit interne s'appuie sur quatre objectifs principaux : vérifier la conformité à un référentiel et détecter les non-conformités ; analyser l'efficacité du système ; identifier les points d'amélioration ; capitaliser sur les points forts.
Un audit peut être ordonné dans le but de vérifier que l'entreprise respecte des règles ou des normes en vigueur. Un audit peut également être déclenché afin de réaliser un état des lieux d'un service ou d'un département complet d'une entreprise.
Un plan d'audit est un système d'objectifs, de portée, de calendrier et d'activités d'audit qui seront réalisés par les auditeurs. Un plan d'audit, également connu sous le nom de programme d'audit, sert de guide pour la réalisation de différents types d'audits dans une entreprise.
Une stratégie d'audit qui combine des procédures et des objectifs liés tant aux systèmes qu'aux résultats réduira le risque de parvenir à une conclusion erronée, fournira une meilleure assurance et permettra aux auditeurs de donner une image plus complète de la situation.
L'audit est perçu comme un outil d'amélioration continue, car il permet de faire le point sur l'existant afin d'en dégager les points faibles ou non conformes (suivant les référentiels d'audit).
(1) La convention de l'entité ; (2) La convention de l'unité monétaire ; (3) La convention de l'indépendance ou séparation des exercices ; (4) La convention du coût historique ; (5) La convention de réalisation du revenu ; (6) La convention de rattachement des charges aux produits ; (7) La convention de l'objectivité ; ...
La construction d'une grille passe notamment par les étapes suivantes : La définition du processus à évaluer. Le processus doit pouvoir être décrit par un logigramme (une finalité unique, une page). Si ce n'est pas le cas, il convient de scinder le processus considéré en plusieurs sous-processus.
Un audit est une démarche qui consiste à s'assurer de la mise en œuvre effective de dispositions conformément aux exigences du Référentiel national (32 indicateurs) par un prestataire d'action concourant au développement des compétences (formation, apprentissage, accompagnement VAE ou bilan de compétences).
L'audit opérationnel analyse toutes les actions de l'entreprise et évalue la façon dont les objectifs sont atteints. Plus encore, l'auditeur opérationnel s'attachera à obtenir la vision réelle du fonctionnement d'une entreprise, plutôt que d'estimer l'image de cette entreprise par sa comptabilité.