Voici les différents statuts d'entreprises que vous pouvez utiliser pour créer votre activité : entreprise individuelle, EIRL, SARL et EURL, SAS et SASU, SA et SNC. Dans ce dossier , nous n'abordons pas les sociétés civiles et les sociétés d'exercice libéral.
Pour trouver le statut juridique qui vous correspond le mieux, de nombreux critères sont à prendre en compte : nature de votre activité, présence d'associés, montant du capital, investissements… Un choix déterminant qui aura des conséquences fiscales et sociales sur votre activité et votre vie personnelle.
Une société dispose de la personnalité juridique. Cela signifie qu'elle existe en tant que personne, comme un particulier par exemple. On parle de « personne morale« . Grâce à cette caractéristique, une société dispose de son propre patrimoine, distinct de celui de ses membres.
D'une manière générale, si la forme juridique est celle que revêt l'entreprise comme la SA, la SARL, l'EURL… le statut juridique d'une entreprise renvoie aux règles et aux obligations (fiscales, juridiques, sociales…) découlant de cette forme.
Si vous souhaitez exercer seul, les formes juridiques d'entreprises les plus appropriées sont les EURL, SARL, la micro entreprise ou la SASU. A l'inverse si vous travaillez avec des associés, les formes juridiques les plus appropriées seront les SAS ou les SARL.
Le statut juridique d'une entreprise permet de choisir la structure juridique, la forme juridique que prendra votre activité économique. De ce statut dépendent les règles applicables qui encadrent cette activité.
L'entreprise individuelle, contrairement à la société, n'entraine pas la création d'une autre personnalité juridique. Elle est rattachée à votre personne, c'est pourquoi une personne ne peut pas posséder plusieurs entreprises individuelles (1 individu = 1 entreprise individuelle).
Les entreprises individuelles (micro-entreprise ou auto-entreprise, EIRL) gérées par une seule personne ; Les très petites entreprises (TPE), qui comptent moins de 10 salariés ; Les petites et moyennes entreprises (PME), qui comptent entre 10 et 499 salariés ; Les grandes entreprises, qui comptent plus de 500 salariés.
Choisir une structure juridique est indispensable pour permettre à votre entreprise d'exercer son activité économique de façon légale.
Les statuts sont rédigés lors de la création de l'association, de ce fait, ils doivent être signés par au moins deux de ses membres fondateurs. Cela peut être le président, le secrétaire, le trésorier ou tout simplement, des membres du conseil d'administration.
Les options principales sont les suivantes : L'entreprise individuelle (EI) et l'option du régime d'auto-entrepreneur. La société unipersonnelle (SASU ou EURL). La société pluripersonelle si vous êtes au moins 2 associés (SAS, SARL, SNC).
Une entreprise individuelle est appelée aussi affaire personnelle ou entreprise en nom propre. Dans ce premier cas, l'entreprise ne forme qu'une seule et même personne avec son créateur. À l'inverse, une société est une entité complètement distincte de la personne qui la crée. On parle de “personne morale”.
Quels statuts juridiques e-commerce choisir dans ce cas ? Vous pouvez envisager l'entreprise individuelle (EI), mais cette fois au régime réel, pas au régime micro. Mais vous pouvez aussi vous tourner vers la SASU ou l'EURL. Deux formes de sociétés bien adaptées aux activités de e-commerce.
La catégorie juridique décrit le statut juridique de l'entreprise. Elle est déterminée, pour les personnes morales, à partir de la déclaration remplie lors de la création. Pour les organismes publics, la catégorie juridique est déterminée à partir du texte réglementaire à l'origine de la création.
La définition de structure juridique est la suivante : il s'agit de l'ensemble des règles qui entourent l'exercice d'une activité en entreprise. Les différentes structures juridiques d'entreprise doivent permettre à l'entrepreneur de développer son activité dans un cadre juridique adapté à sa situation particulière.
Salarié, artisan, intermittent du spectacle, pigiste, intérimaire.... les statuts professionnels posent un cadre légal qui va notamment déterminer vos conditions de travail, votre environnement professionnel, votre rémunération.
Ces dirigeants sont considérés comme des « assimilés-salariés ». Ils bénéficient de la même protection sociale que les salariés, à l'exception de l'assurance chômage.
Dans la mesure où le besoin en financement est d'une grande importance, il est recommandé d'opter pour la société anonyme (SAS) ou la société par actions simplifiée (SAS). Pour conclure, il n'y a pas de statut avantageux par excellence. En effet, chaque forme sociétaire a sa propre particularité et ses avantages.
Le choix du régime fiscal sera celui du micro-entrepreneur, soumis à l'impôt sur le revenu, avec ou sans option pour le versement libératoire, Le choix du statut social sera celui du micro-entrepreneur, qui est un travailleur non salarié (TNS) soumis au régime social du « micro-social ».
Pour débuter une activité, il peut être préférable de s'orienter vers les sociétés à responsabilité limitée (SARL, dénommée EURL si elle ne comprend qu'un associé) ou les sociétés par actions simplifiées (SAS, dénommée SASU en cas d'associé unique).
Lorsque l'on entend démarrer seul une entreprise, plusieurs options sont donc possibles. Il y a tout d'abord un choix à effectuer entre l'exercice en société unipersonnelle ou l'exercice en nom propre. Puis, en cas d'exercice en société, il faut ensuite choisir entre l'EURL et la SASU.