De manière générale, il est recommandé de toujours maintenir un taux d'humidité autour de 50 % : entre 40 et 60 %. En dessous, l'air sera trop sec. Au-dessus, il sera trop humide. Si vous êtes asthmatique, essayez même de ne pas aller au-delà de 55 % d'humidité.
Cependant, un temps chaud et humide - en particulier lorsque l'humidité dépasse 50% - est également lié à l'augmentation des symptômes de l'asthme.
De nombreux asthmatiques profitent également beaucoup du climat méditerranéen, ou d'un climat vivifiant comme sur les côtes de la mer du Nord et de la Baltique, ou encore au bord de l'Atlantique. L'air salin y réduit les mucosités visqueuses présentes dans les poumons et améliore la respiration.
Bien qu'un taux d'humidité acceptable dépende de nombreux facteurs, l'hygrométrie idéale pour une maison doit généralement être comprise entre 40 et 70 %. En dessous de 40%, vous ferez face à un air très sec. Pourront se multiplier les sensations d'irritations ou de gorge sèche ou d'yeux secs.
Les épisodes de canicule peuvent potentiellement aggraver des pathologies respiratoires existantes, comme l'asthme, la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), mais également les maladies infiltratives (aussi appelées interstitielles) telles que les fibroses pulmonaires, ou encore la mucoviscidose.
Certains lieux à climat méditerranéen peuvent convenir. Les climats secs et de montagne - sauf en haute altitude où la pression atmosphérique est moindre - sont surement parmi les plus favorables pour les personnes souffrant d'insuffisance respiratoire.
Un apport élevé en matière grasse, la consommation de gras saturés et un faible apport en fibres ont tous été associés à une inflammation des voies respiratoires et à une aggravation de la fonction pulmonaire chez les patients asthmatiques.
Il est nécessaire de maintenir une température ambiante pendant la nuit de 15 °c minimum pour éviter sa montée et avoir une sensation de maison crue. Oui un chauffage peut réduire le taux d'humidité mais si son taux est au dessus de la normale, la montée de température va transformer l'humidité par de la vapeur d'eau.
Idéalement, le pourcentage d'humidité relative (HR) d'une maison saine devrait se situer aux alentours de 50 % durant l'été et de 30 % durant l'hiver. Trop ou pas assez d'humidité peut entraîner des complications parfois importantes.
Pour une chambre d'adultes, ce taux doit se situer entre 40 et 60 %, il permettra de passer des nuits paisibles sans endommager votre lieu de vie ni votre santé. Pour une chambre d'enfant, l'humidification de la pièce doit être comprise entre 30 et 55 %.
L'inflammation des bronches que provoque l'asthme est le plus souvent soignée par la prise quotidienne de corticoïdes inhalés, c'est le traitement de fond . En cas d'exacerbation, l'inflammation très forte est traitée par des corticoïdes sous forme de comprimés.
Aérer son lieu de vie, éliminer les facteurs allergènes, ne pas fumer, pratiquer un sport d'endurance ou encore faire des exercices respiratoires peuvent vous aider à lutter en amont contre les crises respiratoires. Si vous êtes asthmatique, n'attendez pas pour consulter un professionnel de santé.
En altitude modérée (1500/2000m), la réduction de l'humidité et des polluants, la baisse de la densité de l'air devrait améliorer le fonctionnement respiratoire. Il s'y associe une diminution des phénomènes inflammatoires qui devrait profiter à ce malade.
Le grand froid peut provoquer un bronchospasme, et entraîner une décompensation respiratoire aiguë chez ces patients, comme chez l'asthmatique.
Un air intérieur humide et propice aux moisissures dans un logement peut entraîner une irritation des yeux, du nez et de la gorge, et une sensibilité accrue aux infections respiratoires. On observe aussi plus de toux et de mucosités, ainsi qu'un plus grand nombre de réactions allergiques.
L'asthme et le sport sont-ils compatibles ? La pratique d'une activité physique est tout à fait compatible, et même recommandée lorsqu'un asthme est bien contrôlé. L'asthme n'est pas une contre-indication à la pratique sportive ni au sport de haut niveau en dehors du cas particulier de la plongée sous-marine.
L'humidité, c'est à éviter !
En effet, l'humidité favorise le développement de moisissures et d'acariens(lien article acariens).
Les personnes qui habitent dans une maison où il y a des moisissures et de l'humidité sont plus susceptibles de présenter les symptômes suivants: irritation des yeux, du nez et de la gorge. toux et accumulation de mucus (mucosités) respiration sifflante et essoufflement.
Isolation des fenêtres et des portes : Des fenêtres et des portes bien isolées contribuent à maintenir une atmosphère intérieure sèche en empêchant les infiltrations d'air humide.
à 15°C on a moins de risques de moisissures qu'à 20 ! Le problème est d'abord et avant tout l'humidité absolue trop élevée en raison d'un manque de ventilation.
Des températures situées entre 20 et 25°, l'obscurité, l'humidité dans la maison, un air confiné et des lieux insuffisamment aérés sont les facteurs principaux qui favorisent le développement de champignons, moisissures, salpêtre et mérules.
Aérer régulièrement
Aérer permet de renouveler l'air vicié par l'air frais, d'évacuer l'humidité, les polluants et les mauvaises odeurs, et de réduire les risques de condensation et de moisissures. Aérer est également bénéfique pour votre santé, car il vous permet de respirer un air plus sain et plus agréable.
L'étude australienne citée précédemment a également démontré qu'une consommation de vitamine C plus élevée avait un effet protecteur contre l'asthme. Les agrumes, le kiwi, la cerise, la papaye, la fraise et le melon regorgent de vitamine C.
Est-il dangereux de prendre de la Ventoline sans être asthmatique ? Si une personne ne souffrant pas de troubles respiratoires prend de la Ventoline, le médicament peut provoquer des effets secondaires indésirables tels qu'une accélération du rythme cardiaque, des tremblements et de la nervosité.
Une hypokaliémie peut survenir suite à un surdosage en salbutamol. La kaliémie doit donc être surveillée en cas de surdosage. Des nausées, vomissements et hyperglycémie ont été rapportées, en particulier chez les enfants et lorsque le surdosage est dû à une prise de salbutamol par voie orale.