Invariable. Pourvu que (+ subjonctif) : je le verrai, pourvu qu'il veuille bien me recevoir. Pourvu qu'il ne pleuve pas !
À la différence de « avant que », la locution « après que » est obligatoirement suivie d'un temps composé de l'indicatif : ici, il s'agit d'un passé antérieur.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Locution conjonctive
Locution introduisant une condition. Note : Employé absolument au début d'une proposition ne se rattachant pas à une autre, cette locution exprime un souhait dans une proposition affirmative, ou une crainte dans une proposition négative. Elle appelle alors un subjonctif.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
1. Avec le subjonctif, indique la condition nécessaire et suffisante pour que l'action de la principale se réalise : Pourvu que vous ne fassiez pas trop de bruit, vous pourrez jouer dans le couloir. 2.
Avoir quelque chose, quelqu'un, le posséder, en être doté : Être pourvue d'un imbécile comme mari. 2. Avoir suffisamment de biens, de richesses : Il fait partie de ces gens (bien) pourvus qui ignorent la faim. 3.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
Selon la règle traditionnelle, la locution conjonctive après que demande que le verbe de la proposition subordonnée soit conjugué au mode indicatif et à un temps qui soit compatible avec celui du verbe de la proposition principale. Je le payai après qu'il eut fini. Je le payais après qu'il avait fini.
Tandis que avant que appelle le subjonctif, la conjonction après que requiert l'indicatif : « après que nous avons téléphoné ». L'emploi du subjonctif derrière après que est très répandu, mais ne correspond pas à la norme grammaticale (en tout cas pas actuellement !).
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée.
Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Qui est doté de. Synonyme : armé, doté, doué, équipé, muni, nanti, paré, riche.
« Pourvu » est le participe passé du verbe pourvoir, qui signifie donner à quelqu'un ce qui lui est necessaire.
Pourvoir quelqu'un, un groupe, en moyens, en biens ; équiper : Doter le pays d'une industrie puissante. 3. Pourvoir quelqu'un d'une qualité, d'un avantage, gratifier : La nature l'a dotée d'une beauté parfaite.
Pourvu que ça dure ! » « Pourvu que ça dure », ça veut dire : « J'espère que ça va continuer comme ça, j'espère qu'il va continuer à ne pas pleuvoir. »
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
(Grammaire) Suite de mots, figée par l'usage, pouvant être substituée à une conjonction dans une phrase pour constituer une nouvelle phrase grammaticalement correcte.
Mieux avisé, A. Lemaire, en 1862, apporta d'utiles distinctions : jusqu'à ce qu'est suivi du subjonctif quand on veut marquer le but de l'action, mais l'indicatif si l'on veut indiquer seulement " une circonstance de temps ".
Le subjonctif imparfait (ou l'imparfait du subjonctif) est un temps simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation. Le subjonctif imparfait a la même valeur que le subjonctif présent, mais il est employé dans un texte écrit au passé.
Les terminaisons du subjonctif sont les suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (sauf pour avoir et être). Elles s'ajoutent, en général, au radical du participe présent. Certains verbes du 3e groupe se conjuguent sur deux radicaux.