L'un des traitements médicaux administrés pour aider les femmes transgenres ayant un corps d'homme à réussir la transition est l'utilisation d'hormones féminines synthétiques. Ces hormones peuvent être prises par voie orale, absorbées par la peau ou injectées dans les muscles.
Pour les trans-hommes (de femme à homme), l'hormonothérapie masculinisante consiste à un traitement de testostérone. La testostérone peut se donner par injections sous la peau ou dans le muscle, par application de gel ou par solution cutanée. Parfois, d'autres traitements hormonaux peuvent être prescrits.
Opération chirurgicale.
Pour un homme souhaitant devenir une femme, l'opération consiste à créer un vagin, un clitoris et des lèvres. Elle peut également s'accompagner de la mise en place d'implants mammaires et de la réduction de la pomme d'Adam.
Dites juste “il” et “lui”, point. Si votre proche a partagé avec vous le prénom de son choix et ses pronoms, ayez la courtoisie de les utiliser. Évitez d'employer son nom légal ou le “prénom de sa vie d'avant”. Si la personne n'a pas partagé ses pronoms, demandez-lui ce qu'elle veut.
Les personnes transgenres commencent souvent par suivre un traitement hormonal. Ces traitements à l'aide d'hormones de synthèse peuvent avoir des effets importants, comme le développement de la musculature sous l'influence de la testostérone, ou le développement de la poitrine sous l'influence des œstrogènes.
Du côté du psychologue
Généralement, le médecin traitant (l'endocrinologue ou le chirurgien le cas échéant) demande un courrier de la part d'un psychologue ou psychiatre avant d'entamer les démarches de transition. La rédaction de cette attestation peut nécessiter de 2 à 10 séances en fonction des personnes.
La chirurgie transgenre ou d'affirmation de genre permet à un individu de changer de sexe. Grâce à l'intervention baptisée «vaginoplastie», un homme peut transformer son sexe en vagin. Une «phalloplastie» permet de fabriquer un phallus à une femme.
Apprendre à vivre la différence. Tout enfant doit être accepté et aimé comme il est, c'est ce qui l'aidera à avoir confiance en lui et à développer son estime personnelle. En tant que parent, il faut donc faire attention à vos comportements et à vos paroles.
Lors de l'enfance et de l'adolescence, certains enfants ressentent une discordance entre leur identité de genre et le sexe assigné à leur naissance. Pour éviter l'apparition d'un grave mal-être, il est primordial de les accompagner.
Le 1 % de la population transgenre, c'est l'écume de l'histoire. Ce qui concerne toute la population, c'est la question du genre." Une revendication que les jeunes générations ne sont pas prêtes à laisser de côté et dont les transgenres ne sont que le symbole le plus visible.
Il n'existe pas de façon unique et 'juste' de savoir si on est trans. Toutefois, certains sentiments peuvent indiquer une identité trans : Si vous n'êtes pas à l'aise quand on parle de vous en tant que garçon/fille ou homme/femme.
Ce stade se déclenche à un âge variable, souvent compris entre 10 et 12 ans. À 16 ans environ, ceux qui persistent à s'identifier comme transgenres sont éligibles aux hormones de transition, et à 18 ans certains pourront subir une opération chirurgicale de « réassignation sexuelle ».
La transition commence généralement quand les personnes se sentent à l'aise : certaines débutent avec leur famille avec qui elles sont proches, et poursuivent plus tard avec leurs amis (ou inversement). Parfois, la transition se fait à différents niveaux entre les différentes sphères de la vie.
Selon le psychiatre et sexologue David Oliver Cauldwell qui étudie le phénomène en 1947 la transidentité serait un trouble psychologique/émotionnel causé par des facteurs psychologiques et environnementaux, en raison de conflits de personnalité.
Le garçon peut également vouloir être une fille pour que son père l'aime comme il aime sa mère (c'est le Complexe d'Œdipe inversé) ; la fille peut également vouloir être un garçon pour être complémentaire à sa mère célibataire. Mais cela peut aussi répondre à un besoin d'opposition.
En général, les gens ne vivent ni ne perçoivent pas leur identité de genre selon un schéma uniforme et standardisé. Les personnes transgenres, dont l'identité de genre diffère du sexe qui leur a été assigné à la naissance, vivent de façon individuelle leur identité de genre et l'expriment de différentes façons.
Votre enfant a l'impression d'être un garçon dans un corps de fille ou une fille dans un corps de garçon: il présente peut être les signes d'une dysphorie de genre.
Affection congénitale associant des anomalies morphologiques multiples et un retard mental. Cette pathologie est caractérisée par une anémie hypochrome, un retard mental, des déformations cranio-faciales, une micromélie, un souffle cardiaque, un hypogonadisme, des caries dentaires et occasionnellement des tumeurs.
Chercher et choisir un·e médecin apte à fournir une ordonnance pour un THS. Suivi psychiatrique pour obtenir une attestation de non contre-indication (seulement si votre médecin vous le demande, ce qui arrive souvent si c'est un·e endocrinologue) Bilans sanguin et hormonal prescrits à l'issue du premier rendez-vous.
La dysphorie de genre : ce n'est pas une maladie
Ainsi, la dysphorie de genre peut désormais ne plus être considérée comme étant un trouble mental.
Le traitement hormonal consiste en deux phases: la prise d'inhibiteurs de puberté et l'administration d'hormones sexuelles du sexe opposé au sexe de naissance. L'endocrinologue analyse dans quelle phase de développement (la classification de Tanner) se trouve l'enfant et quel traitement est donc adapté.