Le vin blanc possède un goût plus frais et fruité. Pour cause, il est riche en acide citrique si on le compare au vin rouge. S'agissant de ce dernier, il est beaucoup plus puissant et est doté d'un goût plus prononcé. C'est la présence de tanins qui lui donne cet effet.
Le vin rouge a des vertus santé que le blanc ou le rosé n'ont pas. On parle souvent des antioxydants qui contribuent à la prévention de certaines maladies cardio-vasculaires.
Les vins rouges renferment donc plus de molécules colorantes que les vins blancs et avec elles, plus de polyphénols. Or, les polyphénols présentent des propriétés antioxydantes reconnues. Ils permettraient de protéger l'organisme des maladies cardiovasculaires notamment.
Si vous devez boire du vin, il semble évident que le vin rouge est nettement plus sain - ou moins mauvais - que le vin blanc. En d'autres termes, le vin rouge est le grand gagnant en matière d'effets sur la santé.
Numéro 1 des cépages de vin rouge: le Pinot Noir
Nous avons choisi de mettre le Pinot noir au sommet de ce classement des cépages de vin rouge parce qu'il constitue le cépage rouge de la majorité des vins les plus chers du monde (en Bourgogne).
Les vins moelleux constituent une proposition intéressante. Nous suggérons des Pinot Gris ou des Gewurztraminer du domaine Muré ou Trimbach. S'agissant des rouges, nous suggérons des vins peu tanniques, ronds, légers come des Beaujolais, des vins de Loire ou des Bourgognes de la Côte d'Or.
Ces domaines sont de fait considérés comme les meilleurs vins de Bordeaux, à l'instar des Premiers Grands Crus Classés Château Margaux, Château Latour, Château Mouton Rothschild, Château Lafite Rothschild et Château Haut-Brion (situé sur l'appellation Pessac-Léognan, une exception).
Quels sont les avantages du vin blanc? Comme le vin rouge, le vin blanc est bon pour le cœur . Empêche les maladies cardiovasculaires , diminue la coagulation sanguine et augmente le taux de «bon» cholestérol dans le sang. Grâce à son pouvoir antioxydant, il réduit le risque de cancer et ralentit le vieillissement.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Des études scientifiques prouveraient les bienfaits du vin rouge sur l'organisme : à condition de ne pas dépasser 1 à 2 verres par jour, la boisson contribuerait à prévenir certaines maladies cardio-vasculaires, à renforcer le système immunitaire ou encore à ralentir les symptômes de la maladie d'Alzheimer.
Lorsqu'il fait chaud, par exemple, le corps à besoin de sensations de fraîcheur : on sert donc tous les vins, blancs comme rouges, un peu plus frais à de tels moments qu'au coeur de l'hiver. La majorité des vins blancs semblent, au goût, plus vifs et légers que la plupart des vins rouges.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.
Le vin le moins calorique est le champagne. En effet, il contient seulement 80 kcal pour une flûte de 10 cl. Cela reste conséquent par rapport à d'autres boissons, mais dans l'univers du vin, c'est peu. Les vins mousseux tels que le crémant de Bourgogne ou la clairette de Die sont également assez peu caloriques.
Cependant, si tous les alcools protègent le cœur à faible dose, c'est bien le vin rouge qui concentre les vertus, car il est riche en polyphénols, des molécules antioxydantes, anti-inflammatoires et antiagrégantes (qui réduisent le risque de formation de caillots sanguins).
Avec modération…
Pour les cardiologues, le vin est l'ami de nos artères… à condition d'être consommé avec modération. En effet, n'oublions pas qu'un verre de vin apporte 100 kcal et 10 g d'alcool en moyenne et une alimentation trop riche en vin avec des excès chroniques favorise au contraire l'hypertension artérielle.
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
La surconsommation de vin, au delà des 1 à 2 verres de vin rouge par jour est responsable d'atteinte du foie, plus ou moins réversible, et pouvant aboutir au décès quand les lésions hépatiques ont fait place au cancer. Les enfants, les femmes et les asiatiques sont plus sensibles aux effets néfastes du vin.
Le glucose est la substance qui favorise le stockage des graisses dans le corps donc la prise de poids. L'auteur explique que l'alcool, en augmentant la production d'insuline dans le corps, ferait baisser simultanément le taux de glucose, contribuant ainsi à réduire le poids.
Attention au risque de dépendance
Si un verre de vin par jour n'est donc pas, en soit, mauvais pour la santé, il peut créer une dépendance qui, elle, peut devenir dangereuse. Boire un verre de vin tous les jours c'est prendre le risque de ne plus pouvoir s'en passer.
On peut penser que ces crampes sont dues aux sulfites, un additif alimentaire largement utilisé en œnologie, pour ses propriétés antiseptiques et antioxydantes. Les quantités de sulfites autorisées sont deux fois supérieures dans les vins blancs et mousseux par rapport aux rouges.
Riche en polyphénols, le vin rouge pourrait bien contribuer à repousser les maladies cardiaques. Leur rôle d'antioxydants naturels permet notamment de prévenir des maladies inflammatoires et cardiovasculaires. Le vin rouge contient également de la vitamine E protectrice des tissus des vaisseaux sanguins.
Si l'on veut rester classique et sans se tromper, on peut opter pour un vin de Bordeaux (comme un Pomerol, un Pauillac ou encore un Margaux) ou bien un Bourgogne (avec un Saint Aubin, un Côte de Nuits Saint Georges ou un Chassagne-Montrachet) et pourquoi pas un bon Côte du Rhône comme un Château-neuf-du-pape.
En moyenne donc, un vin rouge ayant obtenu la note de 3,6/5 (le catégorisant comme « un bon vin rouge ») coûterait 13,30€. Une très bonne bouteille de vin rouge, atteindrait quant à elle le prix moyen de 27,60€.