Pour braser le cuivre sur une installation classique, dans un logement, les buses de 160 ou 200 conviennent puisque le but est de rougir le cuivre. Le dard doit être un peu éloigné du cuivre pour ne pas le fondre, mais pas trop pour que la flamme reste enveloppante.
Pour ce qui concerne la brasure cuivre, vous avez le choix entre deux procédés : la brasure tendre à l'étain et la brasure forte avec des baguettes au cupro-phosphore. Pour la première, la lampe à souder est à privilégier, pour la seconde, il est préférable de passer par un chalumeau oxyacétylénique.
Les buses les plus souvent utilisées sont les suivantes : 50, 70, 100, 140, 200, 250, 315, 400, 500, 630, 800 et 1000 litres par heure. Le chalumeau oxyacétylénique est référencé selon le débit maximum qu'il est autorisé à supporter.
DIMENSIONNER UNE BUSE DE CHALUMEAU O.A
Chaque buse, en laiton, est caractérisée par un nombre gravé qui correspond au débit d'acétylène en litres par heure (l/h). Plus le chiffre est important sur la buse, plus le débit d'acétylène augmente.
Les brasures de laiton ou cuivre sont réalisées à une température de fusion allant de 700°C à 1 180°C.
Résoudre les problèmes de brasage
Si l'étain ne mouille pas correctement les parties à assembler et forme des gouttelettes, c'est que la préparation est insuffisante. Ajoutez du flux ou du décapant. Si l'étain ne pénètre pas, chauffez un peu plus le joint.
Une erreur de soudure est vite arrivée quand on essaie de faire une brasure tendre. Si votre soudure est ratée, vous pouvez refaire une autre brasure tendre pour rectifier la chose. Il arrive parfois qu'une sollicitation des jonctions de cuivre ne provoquent des fissurations des soudures.
Le choix d'une buse se fait tout d'abord en fonction de la taille de goutte, et de la couverture souhaitée. Plus les gouttes seront fines et nombreuses, meilleure sera la répartition et le nombre d'impacts sur la cible. En revanche, une pulvérisation trop fine risque d'exposer les gouttes au phénomène de dérive.
Taille : entre 35 à 60 cm avec une envergure de 115 à 130 cm ; Poids : 625 à 1400 g ; Tête : arrondie avec un bec crochu ; Pattes : de taille moyenne avec des serres.
1 LE MATÉRIEL NÉCESSAIRE POUR LE SOUDAGE AU GAZ
Alimentée par une cartouche butane ou butane/propane, elle est utilisée pour un brasage tendre. Le chalumeau aérogaz. Alimenté par une bouteille de gaz butane, propane ou butane/propane, il est utilisé pour un brasage fort. Le chalumeau oxygaz.
Le réglage de la pression pour la soudure oxyacétylénique
Le réglage de la pression de la bouteille d'oxygène doit être réglé entre 0,8 et 1,5 bar. Celui de la bouteille d'acétylène doit être compris entre 0,3 et 0,5 bar. Vous allez ensuite ouvrir les robinets de votre chalumeau.
Un ensemble « oxygène-acétylène » couvre tous les modes de soudage et de brasage puisqu'il a la plus grande puissance de chauffe. Pour le reste, en fonction de votre budget et de vos travaux, le chalumeau mono gaz ou le kit bi-gaz fait l'affaire.
La technique consiste à maintenir les pièces en contact l'une de l'autre, avant de les chauffer en utilisant une lampe à souder ou un chalumeau monogaz. Lorsque la bonne température est atteinte, le cuivre vire au rouge sombre, et la brasure fond en comblant l'intervalle séparant les deux tuyaux.
Pour une brasure forte de 700 à 750 °C, on doit prendre l'habitude de chauffer, progressivement, les pièces à assembler. Attention, le cuivre trop chauffé devient poreux. Dès la bonne température atteinte (couleur rouge sombre), on dépose le métal d'apport dans l'intervalle des raccords à souder.
Le procédé de soudage pour le cuivre le plus adapté est la soudure TIG qui est une technique particulière de la soudure à l'arc. Vous utiliserez donc la chaleur produite par un arc électrique pour réaliser votre soudure. La soudure TIG utilise une électrode en tungstène ainsi qu'un gaz inerte.
Il est donc important de compenser les pertes par frottement et si le fluide est pulvérisé dans un récipient sous pression. Le débit d'une buse donnée peut être calculé par la formule suivante : Q = Débit K = Coefficient K de la buse P = Différence de pression à la buse n = est une constante qui dépend du type de jet.
Depuis le XVIe siècle et l'expression "d'une buse on ne saurait faire un épervier", ce nom d'oiseau est utilisé pour qualifier les imbéciles. Cette réputation vient du fait qu'autrefois, les fauconniers ne parvenaient pas à dresser ce rapace, et en concluaient donc qu'il était stupide.
Choisissez la bonne buse
Equipez votre pulvérisateur de buses à fente (jet plat) dites « basse pression » ou « à large champ de pression ». Elles vous assurent une bonne qualité de couverture.
Buse Airless 117 à 517
Standards pour mats et certains velours.
Buse 1,7 à 2
Par exemple, pour appliquer du mastic pistolable, très épais, on utilisera en général une buse de 2,5. Lorsque l'on effectue des retouches sur des petites surfaces telles que les entrées de porte, il est possible d'utiliser des mini-pistolets équipés de buse 0,8 ou 1.
A faible volume (50 et 80 l/ha), seule la buse à fente classique permet d'assurer un désherbage de qualité. A 150 l/ha, les buses à injection d'air CVI et ID peuvent être utilisées alors que la TTI est à proscrire.
Avec la brasure forte, vous ne l'épandez pas sur les pièces à assembler, mais directement sur la baguette. Commencez à chauffer vos pièces et déposez une goutte de métal d'apport. Lorsqu'elle se liquéfie et se répand, c'est le signe que les pièces sont à bonne température.
La baguette de brasure GEB en alliage de cuivre et phosphore est une excellente solution pour vos brasages forts. Pour la tuyauterie de sanitaire et de chauffage central. Brasage fort du cuivre, du laiton, et du bronze. Pour les alliages d'étain et de plomb, réaliser un brasage tendre.
Chauffer avec une flamme neutre la partie la plus dense, c'est la température de la pièce brasée qui provoque la fonte de l'alliage. Eviter les périodes de chauffe trop longues provoquant coulures et oxydation importante. Ne jamais déplacer les pièces durant le brasage. Ne jamais braser de pièces oxydées.