Pas seulement du côté de l'île Saint-Louis, de la place des Vosges ou de la rue Saint-Antoine, mais de plus en plus du côté de la rue de Turenne, de la rue de Bretagne, de la rue Vieille-du-Temple... dans toutes les petites rues alentours, les petites surfaces grouillent dans des immeubles rarement pourvus d'ascenseur.
Mais de quoi sont vraiment coupables les « bourgeois bohèmes » ? C'est le « 21e arrondissement » de Paris. La ville de Montreuil (Seine-Saint- Denis), à l'est de la capitale, est devenue le symbole de la « boboïsation » des quartiers populaires de la banlieue parisienne.
Les bobos aussi sont dans l'entre-soi, mais à l'est. Le Marais a été récupéré, puis les ateliers et logements ouvriers du faubourg Saint-Antoine, de Ménilmontant, Belleville, des quartiers où n'ont longtemps vécu que des gens de milieu modeste.
Le Parisien pas si bourgeois ? Le terme «bobo », qui est une contraction du néologisme « bourgeois-bohème », forgé dans les années 2000, véhicule de nombreuses représentations sociales : le “bobo” est fréquemment associé à « l'élite”, souvent diplômée, et à un mode de vie citadin jeune et branché.
Camille Peugny considère ainsi que « le terme est devenu une caricature » désignant vaguement « une personne qui a des revenus sans qu'ils soient faramineux, plutôt diplômée, qui profite des opportunités culturelles et vote à gauche ».
Ils sont à l'image du siècle que l'on vit, mais peut-être encore plus. Ils se marient tardivement (quand ils se marient), ils vivent en familles décomposées ou recomposées avec parfois de nombreux enfants de conjoints différents. Ils tentent d'inventer de nouvelles façons de vivre, ce qui n'est pas toujours facile.
Contraction de "bourgeois-bohème", le terme "bobo" désigne de manière plutôt péjorative une catégorie socioprofessionnelle (CSP) de personnes aisées habitant les grands centres urbains et politiquement situées plutôt à gauche et sensibles à l'écologie.
Souvent plus riche de culture que d'argent, le bobo met un sacré bordel dans notre vision de la société. Il ne rentre ni dans le modèle « prolétaires contre bourgeois » ni même dans le modèle « peuple contre élites », quoi qu'en disent certains politiques (voir le point n°3).
Au plus simple : est bourgeois celui qui possède les moyens de production et donc le pouvoir économique correspondant. C'est là un des traits les plus visibles et les plus compréhensibles de la bourgeoisie pour les petits-bourgeois (et les travailleurs).
Un bobo est une personne appartenant à la bourgeoisie, sans être pour autant de la grande bourgeoisie, et ayant des idéologies bien pensantes. On le voit écologiste, idéaliste voire utopiste, ce qui peut paraître contradictoire aux yeux de certains.
Ethnonymie. Ils sont subdivisés en 3 sous-groupes: 1) les Bobo-Dioula ou Dioula musulmans et commerçants malinké venus du Mali et qui ont fondé Bobo-Dioulasso. Ils habitent cette ville.
La base du style intello bobo est l'avachi, le faux négligé, le mou : veste de tweed sans forme et sans âge, pantalon informe, pull à grosses côtes façon serpillière ou large chemise écossaise canadienne en pilou… avec bien sur son casque de moto sous le bras.
Dans le bassin parisien, le vent souffle principalement de l'ouest vers l'est. Les quartiers ouest de la ville étaient donc plus épargnés par les émanations des usines et des ateliers, et c'est ce qui a attiré la bourgeoisie au moment du développement de l'industrie.
« Gros caillou », là où se concentrent les plus riches
C'est le cas du quartier dit « Gros caillou » dans le 7ème arrondissement de Paris (entre les Invalides et la tour Eiffel) qui se situe au sommet du sommet du niveau de vie des riches selon les données de l'Insee.
1) Montmartre
Montmartre fait partie des quartiers préférés des parisiens, et ce n'est pas pour rien. Véritable bouffée d'oxygène dans la capitale, cet endroit pittoresque vous dépaysera avec ses allées pavées et fleuries et son ambiance hors du temps.
Levallois-Perret en tête du palmarès des villes où on vit le mieux en Île-de-France. Ce résultat provient du troisième classement réalisé par l'association Villes et Villages où il fait bon vivre. La commune des Hauts-de-Seine, 37e au niveau national, devance Courbevoie et Boulogne-Billancourt sur le podium.
Classe en soi et classe pour soi, elle est la seule aujourd'hui à prendre ce caractère qui fait la classe réelle, à savoir être mobilisée. » La petite bourgeoisie culturelle ou intellectuelle (professions de l'information, de l'art et des spectacles, intellectuelles – professeurs, artistes, journalistes, psychologues…)
Le bourgeois (autrefois le noble, mais l'enjeu est justement la fondation d'une noblesse de l'argent) est ce qu'il est parce qu'il est un être supérieur, et s'il est riche, cela tient à ce qu'il est « exceptionnel ». La fortune n'est que la reconnaissance de qualités innées, fondatrices de la personne.
Serre-tête et jupe-culotte. Rang de perles et foulard de soie. Chandail posé sur les épaules et petit talon de trois centimètres. Grosse broche et tailleur pied-de-poule.
«Quand les Bobos Voient Double», est né de l'envie de deux sœurs jumelles : Marine et Maud, un peu bobo, un peu branchouille et un peu intello, de partager toutes leurs envies sur le net : restos, shopping, expos, sorties, mode, ciné…
Le terme gauche caviar désigne des personnalités considérées comme éloignées des milieux populaires mais se réclamant de la gauche. Il est à rapprocher du terme bourgeois-bohème et de l'expression « Avoir le cœur à gauche, mais le portefeuille à droite ».
Pour commencer, lavez-vous bien les mains avant de nettoyer la plaie de toutes les saletés et utilisez du sérum physiologique. La seconde étape consiste à sécher la plaie avec une compresse stérile. Puis vient ensuite la séance de la désinfection, avec un antiseptique.
En 1904, le colonel Caudrelier baptise la ville Bobo-Dioulasso, ce qui, littéralement traduit du dioula, signifie la « maison des Bobo-Dioula ».
La grande bourgeoisie est dominante dans la société avec des revenus élevés. Elle est composé de banquiers, de grands négociants, des industriels, des hauts fonctionnaires ou des capitalistes. Ils vivent dans les beaux quartiers ou dans les hôtels soignés par de nombreux domestiques. Ils vénèrent l'argent.
Outre le centre historique, les quartiers bourgeois constituent dans toute ville de relative importance un repère géographique et esthétique. Si les styles peuvent être divers, ils n'en constituent pas moins des unités architecturales aisément repérables sur de vastes proportions de l'espace urbain.