Ainsi, en période de péri-ménopause, le médecin peut vous proposer de remplacer votre contraception estroprogestative : par une contraception progestative, ou par un contraceptif "barrière" afin de suivre l'évolution des règles et de pouvoir confirmer la ménopause lorsque l'arrêt des règles dure depuis une année.
Le DIU hormonal, ou système intra-utérin (SIU), connu sous le nom commercial de Mirena, est une contraception de choix pour les femmes en périménopause. Il diffuse localement 20 g de lévonorgestrel pour une durée de cinq ans.
Le stérilet Mirena au levonorgestrel (un progestatif) convient en revanche bien à cet âge de la vie. "Il diminue l'abondance des règles (jusqu'à parfois même les supprimer) ainsi que le risque de polypes et fibromes. Petit bémol, certaines femmes ont des effets secondaires gênants (prise de poids, acné, pilosité).
Le stérilet, solution classique pour les femmes de plus de 45 ans. Pour les femmes qui approchent de la ménopause, d'autres solutions que la pilule sont donc souvent choisies. La première d'entre elles, c'est le stérilet. Il est placé pour trois à cinq ans selon les modèles.
Pendant la période que l'on appelle préménopause, les follicules ovariens (qui contiennent les ovocytes) diminuent et l'action des hormones devient irrégulière. Les oestrogènes sont moins sécrétées et sont souvent insuffisantes pour provoquer une ovulation performante.
L'un des premiers symptômes de la préménopause concerne le cycle menstruel. Généralement, les cycles ont tendance à se raccourcir et les femmes peuvent constater de petites pertes de sang voir même des saignements abondants. Cela est lié au changement des hormones.
Il est conseillé par l'OMS de privilégier les méthodes de contraception dites de 2e génération (avec lévonorgestrel) mais aussi le patch et l'anneau. Dans tous les cas, l'OMS recommande aux femmes de plus de 50 ans de stopper totalement les combinés hormonaux.
Relevons que parmi ces méthodes, les plus sûres sont les pilules de 2e génération (avec lévonorgestrel), le patch et l'anneau. Et que, dans tous les cas, l'OMS recommande d'arrêter complètement les combinés hormonaux chez les femmes de plus de 50 ans.
"À 50 ans, les chances de tomber enceinte de manière naturelle sont proches de zéro. (...) Donc c'est probablement un traitement médical, un don d'ovocytes, même si on ne peut pas trop préjuger", a expliqué François Olivennes, gynécologue-obstétricien et invité d'"Il n'y en a pas deux comme elle" lundi.
Confirmer la ménopause par prise de sang
Toutefois, si la femme est toujours sous pilule contraceptive et craint de l'interrompre, ils prescrivent une prise de sang. Celle-ci permet de mesurer le taux d'hormone folliculostimulante (FSH), confirmant de façon formelle la survenue de la ménopause.
En théorie, une grossesse reste possible dès lors qu'il y a des saignements, même sporadiques. Pour les femmes de moins de 50 ans, ce n'est que s'il n'y a pas eu de menstruations pendant au moins deux ans que l'on peut renoncer à la contraception. Pour les plus de 50 ans, cette durée est réduite à un an.
La méthode Ogino-Knaus (aussi appelée méthode du calendrier)
Elle se base sur le seul calcul de la période de fertilité en se fondant sur la longueur des derniers cycles menstruels. En gros, elle consiste à ne pas avoir de rapports sexuels pendant les 5 jours précédents l'ovulation et les deux jours qui la suive.
La prise de ces comprimés ne présente pas de danger et aucun effet indésirable n'a été signalé jusqu'à présent. Ils contiennent les excipients couramment utilisés dans la fabrication des comprimés OPTIMIZETTE Gé 75 microgrammes. Le seul risque identifié pour les patientes est l'inefficacité contraceptive de la pilule.
Il contient un progestatif seul (sans estrogène associé). Il agit en bloquant l'ovulation et en modifiant la glaire cervicale. Tous les comprimés ont une composition identique. Ce contraceptif est dit microdosé car il contient une très faible dose d'hormone.
La femme devra commencer OPTIMIZETTE de préférence le jour suivant la prise du dernier comprimé actif (c'est à dire le dernier comprimé contenant des principes actifs) de son précédent COC ou le jour du retrait de l'anneau vaginal ou du patch transdermique.
L'arrêt de la pilule peut en effet se faire à tout moment, et ce, même en milieu de plaquette. Il ne faut pas la prendre par intermittence, c'est-à-dire durant quelques mois, puis de l'arrêter et la reprendre. Cela accroît les risques cardio-vasculaires et notamment l'apparition de phlébite.
La ligature des trompes n'influence pas le mécanisme hormonal féminin ni la survenue des règles. L'ovule non fécondé est absorbé par les cellules macrophages. La contraception définitive ne modifie pas le plaisir et le désir sexuel des femmes.
Le dosage de KYLEENA en lévonorgestrel (19,5 mg) est intermédiaire entre ceux de MIRENA (52 mg) et de JAYDESS (13,5 mg), les deux autres SIU au lévonorgestrel déjà disponibles. KYLEENA se distingue des autres SIU par la visibilité de son anneau d'argent à l'échographie et la couleur bleue des fils de retrait.
Des maux de tête, des douleurs abdominales et pelviennes, des pertes sanglantes, voire des inflammation des organes sexuels, sont les effets secondaires qui peuvent survenir "très fréquemment". Parmi les effets fréquents, dépression, perte de libido, migraine ou encore acné ou nausées sont recensés.
Au cours de la période qui précède la ménopause (pré-ménopause ou périménopause), la plupart des femmes commencent à ressentir des changements : règles irrégulières, premières bouffées de chaleur, irritabilité, troubles du sommeil, etc.
Cette période s'installe autour de 45 ans et peut durer de quelques mois à plusieurs années. 2 - La périménopause est la période qui englobe la fin de cette période d'irrégularité et l'année suivant l'arrêt définitif des règles. 3 - La ménopause est la période qui fait suite à l'arrêt définitif des règles.
Périménopause ou préménopause :
Cette phase de transition précède la ménopause et peut durer de deux à quatre ans. Cette période se manifeste par des symptômes variés : les règles deviennent irrégulières, les cycles se raccourcissent, les premières bouffées de chaleur, des changements d'humeur avant les menstruations.
Pendant la ménopause, il n'est pas rare de voir son ventre gonfler et de se sentir ballonnée. Et ça n'a clairement rien de réjouissant. La ménopause possède son lot de contrariétés, et notamment le ventre gonflé et les ballonnements.
l'âge : la pré-ménopause survient plutôt entre 40 et 45 ans alors que la ménopause s'installera en général à partir de 50 ans.