Le cheval a une vision dichromate, c'est-à-dire une palette allant du bleu au jaune, de longueurs d'ondes courtes à moyennes, mais ne distingue pas le rouge, ni le vert (qui lui paraissent gris).
Les chevaux ont seulement deux types de cônes, donc ils voient probablement le monde de la même manière qu'un homme qui ne peut distinguer entre le rouge et le vert. Ils peuvent facilement distinguer le rouge ou le bleu du gris, mais trouvent beaucoup plus difficile de distinguer entre le vert et le jaune.
En général, le cheval a une acuité visuelle dite moyenne (20/30 sur l'échelle de Snellen). Il faut noter qu'il est très sensible aux mouvements et repère facilement du coin de l'œil un objet qui bouge. Tout comme l'œil humain, l'œil équin contient une cornée, un cristallin et une rétine.
Le champ visuel :
L'inconvénient de la position latérale des yeux est que le bout de son nez fait écran a sa vision frontale : le cheval, selon la position de sa tête ne peut pas voir une zone allant jusqu'à 2 m devant lui.
Ces protections en filet (à ne pas confondre avec les œillères) permettent au cheval de voir, tout en empêchant les insectes volants de l'importuner en s'agglutinant au bord des yeux. Cela évite ainsi une réaction agacée du cheval lors d'un concours hippique ou d'une balade.
Pourquoi le cheval dort-il debout ? Les chevaux dorment debout pendant certaines phases de sommeil, notamment lorsqu'ils font la sieste, afin de pouvoir fuir facilement en cas de menace d'un prédateur. Les chevaux dorment allongés lorsqu'ils se sentent en sécurité, notamment lorsqu'ils sont en troupeau.
Une photophobie (sensibilité à la lumière), Un myosis (pupille serrée), Une modification de la couleur de l'œil qui tire alors vers le rouge voire vers le jaune dans le cas d'un œil bleu.
Pour le cheval : Peu de réactivité face aux couleurs comme rouge, marron, gris, vert.
Pour le cheval :
Les couleurs les mieux distinguées, excitantes : jaune, blanc, noir, bleu. Peu de réactivité face aux couleurs comme rouge, marron, gris, vert. Le cheval reste très sensible aux contrastes et aux reflets.
Oui, les chevaux peuvent voir les couleurs, mais pas aussi bien que les êtres humains. Les cellules coniques de la rétine de l'œil sont responsables de la vision des couleurs.
Les bovins voient essentiel- lement les ondes bleu-vert. Ils voient moins bien que nous dans le spectre du rouge. Leur vision en couleurs peut donc être comparée au daltonisme rouge-vert chez l'être humain.
Posez votre main sur l'épaule puis sans jamais perdre le contact montez progressivement pour caresser l'encolure, puis la joue, puis, lentement, le chanfrein. L'acceptation de la caresse du chanfrein est très significative de la confiance du cheval car votre main est dans la zone aveugle, il ne la voit pas.
Ce qu'elle voit
La vision est le sens prédominant chez la vache. Celle-ci, tout comme le porc, a une vision panoramique de 300º, avec une zone de non-visibilité de seulement 60º (voir la figure 1). En comparaison, l'être humain a un champ de vision d'environ 180º.
Notre vision comporte trois couleurs, la leur seulement deux. Les chiens peuvent uniquement voir les couleurs jaune et bleu-violet, ainsi ils perçoivent le rouge et l'orange comme si c'étaient des tons de jaune, et ils ne différencient pas le vert du blanc ni le bleu-vert du gris.
Cela leur permet de bénéficier d'une excellente vision sur une grande largeur, idéale pour détecter leurs prédateurs. De plus, leurs globes oculaires ont la capacité de pivoter de 50° selon un axe vertical. Les pupilles restent donc parallèles au sol lorsque les chèvres broutent la tête penchée.
Il peut avoir peur car une odeur lui rappelle quelque chose de désagréable ou est associée à quelque chose de désagréable. Il peut avoir peur car il entend un bruit que le cavalier ne perçoit pas / voit quelque chose derrière lui ou sur les côtés que son cavalier ne voit pas.
Les chevaux très près du sang sont extrêmement sensibles. Ils ressentent toutes les émotions que vous pourrez leur transmettre. Ainsi, si vous êtes crispé(e) parce que vous avez du mal à maitriser votre monture, et que vous commencez à monter en pression, cela risque d'empirer les choses.
Restez calme quoi qu'il arrive, vous pouvez lui parler (« oh oh »), le caresser pour le rassurer, à la seconde où il se calme arrêtez-tout et récompensez fortement. Vous devez pouvoir faire cet exercice de chaque côté, devant, derrière (attention aux distances de sécurité), en dessous et au dessus de votre cheval.
Lorsque vous êtes ensemble, il est important de faire des choses qui sont bénéfiques à votre cheval et qu'il apprécie : l'emmener brouter, lui faire des gratouilles à ses endroits favoris. Une récente étude scientifique prouve effectivement que les gratouilles accentuent le lien social entre les individus.
Cela consiste à poser la main sur la ganache ou sur le côté du nez pour repousser le cheval qui vient vous fouiner dans les poches. La main sur l'encolure écarte un cheval qui se rapproche trop de vous en main ou qui vous coupe la route. La main sur le poitrail préserve vos orteils.
Essayez d'appliquer une pression sur le cheval tous les jours jusqu'à ce qu'il y réponde chaque fois que vous le faites. Même si cela peut prendre beaucoup de temps et demander beaucoup de patience, il est important d'utiliser la pression pour gagner la confiance et le respect de l'animal.
Regard éteint, fixe, oreilles tombantes. Interactions avec le cheval difficile, il semble insensible à votre présence. Comportement « borné » ou inapproprié aux circonstances.
L'acte de mordre chez le cheval, est un comportement naturel que l'on retrouve régulièrement dans son rapport avec ses congénères et avec son environnement, soit pendant « l'allo-grooming », qui est une action pour les équidés, de se toiletter, mordiller mutuellement, soit pour exprimer les différents stades ...
Si un cheval tire sa langue sur le côté, ce comportement témoigne d'un inconfort plus ou moins important. La bouche ouverte, il peut alors rouler ou tirer sa langue.