Faux. Il faut écrire : Les mois à venir seront déterminants pour le projet. « Avenir » est ici précédé d'un groupe nominal, « les mois ». On n'écrit donc pas « avenir », mais « à venir ».
La bonne réponse est : les années à venir, et non les années avenir. Erreur courante. Explication : ce sont les années qui vont venir (du verbe venir), même s'il s'agit bien d'avenir !
On n'écrit pas « fesant », mais « faisant ». « Faisant » est une forme du verbe « faire » et s'écrit comme lui avec « ai ».
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai fais » ? On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ».
Situation, sort de quelqu'un dans le temps à venir, évolution, destinée de quelque chose : Compromettre son avenir. L'avenir d'une entreprise.
Arriver, apparaître, se produire : La nuit vient.
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
Optez pour des stratégies de communication plus astucieuses. Car le « comment s'est passée ta journée ? » implique une réponse du type « bien/pas bien » ou encore le « ça a été ? » va être suivi (au mieux) d'un oui ou d'un non.
Au retour de l'école arrive invariablement la question : « Comment s'est passée ta journée ? ». La réponse qui en découle est le plus souvent sommaire. « Bien. » « J'ai travaillé. » « Rien de spécial. » Mais encore …
Même chose quand le sujet du verbe est un nom féminin singulier, comme dans la rentrée s'est bien passée , la réunion s'est bien passée , la reprise s'est bien passée .
Le verbe venir est un verbe du deuxième groupe qui se conjugue avec l'auxiliaire être.
Forme conjuguée du verbe venir à la troisième personne du singulier de l'indicatif présent, provenir d'un endroit, arriver, succéder.
à ce moment-là, en ce temps-là, à cette époque.
futur, lendemain, postérité, prospective. Contraire : passé, présent.
Personne qui prédit l'avenir. Synonyme : devin, oracle, prophète, visionnaire, voyant.
Nom commun
Futur, ce qui va arriver.
Hors-la-loi : Définition simple et facile du dictionnaire.
Présomptueux : Définition simple et facile du dictionnaire.
Le site du CNRTL définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
Réponse : Ce sont les deux seuls verbes qui présentent une conjugaison au passé simple en « ins ». Bien entendu, leurs composés (c'est-à-dire les verbes dérivés de ces deux verbes) suivent la même conjugaison au passé simple.
En effet, «la différence entre le son -ai [é] du futur et le son -ais [è] du conditionnel ne se fait plus guère entendre», note l'Académie. Ainsi on prendra garde à ne pas employer le futur simple et on dira, comme on écrira: «Je pensais que je viendrais.»
'venir' : ici le radical est 'ven' . La terminaison est 'ir'. 'viens' : ici le radical est 'vien'. La terminaison est 's'.
Si le mot sur lequel on s'interroge peut être remplacé par « lorsque » (ou par « à quel moment », « le moment où », etc.), il s'agit de « quand ». Sinon, il s'agit de « quant », qui signifie « en ce qui concerne ».
Une réunion s'est tenue ou s'est tenue une réunion. Accord du participe avec le sujet en raison de l'auxiliaire être. La réunion s'est terminée à l'heure et elle s'est bien passée.