Y a-t-il une différence entre le néerlandais et le flamand ? En théorie, non. La langue flamande ou le dialecte flamand n'existe pas, et il n'y a pas de dialecte qui prime en Belgique ou aux Pays-Bas. Comme l'allemand, le néerlandais est un « continuum dialecte-temps ».
Les hommes politiques flamands savent tous s'exprimer en français, alors que la plupart de leurs homologues francophones ne se risquent pas au néerlandais. En Flandre, l'apprentissage du français est obligatoire en première langue alors que les élèves wallons ont, eux, le choix entre l'anglais et le néerlandais.
Dire bonjour flamand ou néerlandais
« Hallo » est la manière de dire bonjour et saluer quelqu'un en néerlandais. Cela permet d'initier une conversation avec quelqu'un en Belgique et aux Pays-Bas. « Goedendag » est le bonjour le plus formel que l'on peut utiliser tout au long de la journée sans aucune variation.
Le néerlandais est la langue maternelle d'environ 23 millions de personnes dans le monde : aux Pays-Bas, mais aussi en Flandre et au Suriname. Le néerlandais est également l'une des langues officielles d'Aruba, de Curaçao et de Saint-Martin.
Le flamand (vlaams) ou néerlandais belge est, comme son nom l'indique, principalement parlé en Belgique, dans la partie nord du pays où la communauté flamande est principalement regroupée.
Pour l'Église flamande, le français était la langue d'un pays qui avait, lors de la Révolution de 1789, retiré son pouvoir à l'Église, et l'Église flamande ne voulait pas risquer de perdre le sien.
Y a-t-il une différence entre le néerlandais et le flamand ? En théorie, non. La langue flamande ou le dialecte flamand n'existe pas, et il n'y a pas de dialecte qui prime en Belgique ou aux Pays-Bas. Comme l'allemand, le néerlandais est un « continuum dialecte-temps ».
L'humiliation. Au fil du temps, les Flamands se sentent de plus en plus humiliés, d'autant que nombre d'épisodes dramatiques surviennent, qui contribuent à accroître la rupture entre les deux régions.
Voici la réponse avec leur nombre de locuteurs : Anglais (1,348 milliard) Mandarin (1,120 milliard) Hindi (600 millions)
Pourquoi les Néerlandais parlent-ils si fort ? Prenons l'exemple de nos voisins bataves qui ont la réputation de parler fort. Si c'est bel et bien le cas, cette mentalité est due à leur culture calviniste où on apprend à ne rien cacher avec comme corollaire une culture de la parole exacerbée.
Excuser. Si vous voulez vous excuser, vous pouvez dire "pardon" (prononciation : pahr-dohn).
Oui, sans doute !
Snif ! Ce serait l'équivalent en France de « oui, bien sûr », dit sur un ton ironique.
Les trois langues principales sont, par ordre d'importance, le français (75 % de la population belge), le néerlandais (70 %) et l'anglais (40 %). Il importe de remarquer que le français (maternel ou acquis) est parlé par un nombre plus grand de personnes que le néerlandais.
La Flandre a ainsi profité, en raison d'effets d'agglomération, de la vague de mondialisation depuis le début des années 1980 et est parvenue à attirer des entreprises étrangères dans des secteurs à forte intensité de connaissance tels que les industries chimique et pharmaceutique.
Le chinois mandarin
Dans l'imaginaire collectif, le chinois — ou plus précisément le mandarin — est considéré comme l'une des langues les plus dures à apprendre.
L'italien
Par rapport au français, c'est l'italien qui remporte la palme des langues les plus faciles à apprendre. En effet, la langue de Dante possède une similarité lexicale de 89 % avec la langue française.
La palme de la langue la plus difficile du monde : le Chinois ! Et l'Unesco rend à César ce qui appartient à César : c'est très officiellement que la palme de la langue la plus ardue est attribuée au chinois.
Historiquement, la Belgique, le royaume des Pays-Bas et le grand-duché de Luxembourg étaient connus, aux XV e – XVII e siècles, sous le nom de Pays-Bas, région qui correspondait à un territoire un peu plus vaste que l'actuel Benelux, puisque les régions de Lille, Arras, Douai, Valenciennes, Montmédy, ou encore ...
D'après Axel Tihon, professeur d'histoire à l'université de Namur interrogé par L'Avenir, cette rivalité s'explique d'abord par des raisons historiques, au moment de la formation du Royaume de France : “Les principautés belges sont alors perçues comme inférieures par les Français.
Bien qu'on recense plus de Flamands que de Wallons (francophones et germanophones réunis), le français est parlé par environ 75 % de la population, le néerlandais par 70 % et l'anglais par 40 % des Belges contre seulement 10 % de locuteurs parlant allemand.
Les Néerlandais sont très respectueux des autres (attachement au groupe et équité). Ils respectent leurs engagements (verbaux et écrits) et sont très ponctuels dans leur rendez-vous (pointilleux sur les horaires).
Le néerlandais, comme l'allemand, appartient au germanique occidental, tout comme l'anglais et le frison. Le néerlandais et l'allemand sont des langues étroitement apparentées, parlées et pratiquées comme langues de culture dans des espaces contigus.
Dès le 16 novembre 1830, le gouvernement provisoire avait proclamé le français langue officielle du pays. Sans doute, la Constitution belge votée le 7 février 1831 reconnaissait en son article 23 : « L'emploi des langues usitées en Belgique est facultatif ».