L'alsacien est le nom donné aux parlers germaniques traditionnels d'Alsace. C'est une langue régionale qui est qualifiée de « dialectes » dans le sens où sa grammaire n'a pas été codifiée. L'allemand standard est la langue normalisée utilisée pour la transcrire aujourd'hui.
S'étendant en Alsace, l'alsacien constitue un ensemble de dialectes issus du haut allemand.
L'Alsacien est un dialecte Alémanique certes, mais dont beaucoup de mots Français ont été intégré. C'est comme les Suisses, ils ne parlent pas Allemands, mais le Suisse-Allemand, notez la différence: il y a « Suisse » dans Suisse Allemand.
Aujourd'hui, l'Alsace se caractérise par son plurilinguisme : le français est désormais la langue courante et la langue officielle dans l'administration et l'éducation.
De 1940 à 1945. Après l'armistice, dans l'Alsace annexée de fait, l'allemand devient non seulement la langue officielle, mais la langue obligatoire. Parler français exposait à des sanctions, y compris pour les francophones des vallées. La « défrancisation » passait évidemment par l'école.
I.D. : C'est la langue du territoire, la langue vernaculaire de notre région. Elle est le vecteur de la culture alsacienne et fait partie intégrante de l'identité régionale. Après la Seconde guerre mondiale, on a arrêté de transmettre l'alsacien.
Toutes ces particularités proviennent du substrat alsacien, langue germanique, dont les formes archaïques se rapprochent parfois de l'ancien allemand. À noter également qu'en Alsace, le mot « oui » est parfois prononcé [ɥi].
« hopla » pour dire allez ! « ui » pour dire oui !
Les Français vus par les Allemands : - Les Allemands, pour beaucoup, considèrent que la France reste un pays culte pour l'art de vivre : « Leben wie Gott in Frankreich » (vivre comme Dieu en France). - Les Allemands considèrent le Français comme arrogant mais ils nous prêtent une image de bon vivant.
Entre 1871 et 1918, sous le Deuxième Empire allemand, la ville de Strasbourg est la capitale de l'Alsace-Lorraine, un territoire cédé à l'Allemagne par la France après sa défaite lors de la Guerre de 1870 et recouvré après sa victoire à l'issue de la Première Guerre mondiale.
La mentalité germanique est plus nordique et les salariés sont habitués à un management horizontal, participatif et collaboratif. Les dirigeants d'une entreprise allemande n'imposent pas leurs décisions de manière autoritaire mais les discutent avec les salariés.
L'alsacien a donc la même origine que l'allemand, et fait partie des dialectes germaniques. En effet l'alsacien appartient à la famille linguistique de L'allemand supérieur qui est un ensemble de dialectes germaniques qui sont parlés principalement dans le Sud de l'Allemagne, en Autriche, en Suisse.
Le dialecte alsacien est une langue germanique. Il comporte une multitude de variantes du sud au nord de l'Alsace. Mais c'est aussi, au moins depuis la Révolution, la langue de l'ennemi, soumise à des conditions historiques particulières.
de 1918 à 1945
Novembre 1918 : armistice : l'Alsace redevient française. 1940 -44 : occupation de l'Alsace par l'Allemagne nationale-socialiste. 1942 : incorporation de force de 130 000 Alsaciens et Mosellans dans l'armée allemande.
Schàtz — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Allez viens Hop komm. Allez, c'est bon Hop la, ìsch güet. Temps Zitt. Dehors Nüss.
schmutz n.m. En Alsace, baiser ; bisou.
halt den Mund! exp. ferme-la! ; tais-toi!
Güete-n-Owe ! Comment vas-tu ?
mignon (agréable à regarder):
niedlich.
Albanais : « Gezuar ! » Allemand : « Prost ! » (ou « Prosit ! »), (ou « Hau weg die scheisse ! » : vulgaire) Alsacien : « Gsunt heit ! » (ou « S'gelt ! ») Amharique (Dialecte éthiopien) : « Desta ! » (ou « Letenachen ! »)
La « Petite Venise » est le nom donné au cours de la Lauch à Colmar.
Pour les colmariens, l'instance la plus proche est l'Infobest Vogelgrun/Breisach, localisé sur l'Ile du Rhin.