Une terre argileuse destinée à la cuisson est souvent appelée « glaise » ou « terre glaise ». Suivant sa destination, on lui a donné des noms divers : terre à four, terre à brique, terre à pipe, terre à potier, terre à porcelaine (le kaolin), etc.
En français le mot terre est largement plus employé que le mot argile lorsqu'il est associé aux termes « architecture », « construction » ou « maison ». On remarque que, traditionnellement, les sculpteurs et potiers ont eu le même type de problème et emploient le mot composé « terre glaise ».
Si votre terre est collante et que vous arrivez en la roulant entre vos mains à faire un petit boudin comme avec de la pâte à modeler c'est qu'elle contient plus de 20% d'argile. Si avec ce boudin vous arrivez à former un anneau sans qu'il ne se casse c'est que cette proportion d'argile est > à 30%.
Terre argileuse, plastique et imperméable, servant à la fabrication des briques, des tuiles et des objets de poterie. (On dit aussi terre glaise.)
GLAISE, subst. fém. Terre argileuse, compacte, imperméable, utilisée notamment en poterie.
Des arbres tels que le peuplier et le bouleau. De nombreux fruitiers comme le poirier, le groseillier, le cassissier, le prunier, le framboisier et même le plaqueminier (arbre à kaki). Des arbustes décoratifs tels que le lilas, l'aubépine, le mahonia.
Les éléments jointifs à la construction tels que les garages, terrasses ou encore perrons peuvent aussi se détacher. Ces tassements peuvent également entraîner une distorsion des portes et fenêtres, une dislocation des dallages et des cloisons et, parfois, la rupture de canalisations enterrées.
Sol argileux, lourd
Aspect : compact, collant lorsqu'il est humide, très dur et fendillé lorsqu'il est sec. Avantages : retenant bien l'humidité et les minéraux. D'ailleurs, ce type de sol peut être productif s'il est correctement enrichi en éléments nutritifs.
Un sol argileux est le plus souvent riche en éléments fertilisants et retient l'eau, mais est lourd, peu drainé, et lent à se réchauffer. Il est dur à travailler. Un sol calcaire est filtrant, fertile si profond, mais alcalin (certains éléments nutritifs peu disponibles) et sec si peu profond.
e.s en beauté recommandent de ne pas laisser l'argile sécher sur le visage. Pourquoi ? Parce que cela risque d'encore plus assécher votre peau. En la laissant durcir sur votre visage, vous exposez votre peau à un risque d'irritations cutanées, telles que des rougeurs.
Faire sécher de l'argile autodurcissante. Laissez reposer l'argile 24 à 48 heures. Gardez le modèle dans une pièce sèche et bien aérée et n'y touchez pas. Toutes les quatre à six heures, vérifiez l'argile à la recherche de fissures ou d'éclats et assurez-vous qu'elle durcit.
De nombreux arbres peuvent s'épanouir dans un sol argileux. En première ligne figurent donc les bouleaux, les cyprès et les saules – pleureurs ou tortueux. Notons aussi dans la liste les cèdres et les eucalyptus. En ce qui concerne les arbustes, les cornouillers, buis, aubépines et camélias sont tout indiqués.
L'argile montmorillonite, quant à elle, est une argile très pure, riche en magnésium qui contient de 50 à 60 % de silice. Très utilisée à cause de ses propriétés absorbantes, c'est le type d'argile le plus utilisé.
Adaptez l'arrosage au sol argileux
En sol argileux, arrosez moins souvent mais abondamment et de préférence en deux temps, en laissant à la terre le temps d'absorber l'eau du premier arrosage.
– la texture du sol : l'argile et l'humus retiennent fortement l'eau du fait de la finesse des particules, de leur polarité et de leurs grandes surfaces d'échange. – le tassement du sol et sa porosité: l'eau est d'avantage retenue et circule lentement en sol tassé et/ou faiblement poreux.
Laitues, chicorées, poirées, poireaux, haricots, pois, épinards, menthe, tomates, aubergines, poivrons et autres cultures possédant des racines superficielles ou peu profondes bénéficient de la capacité des terres argileuses à retenir l'eau.
Ainsi, en contexte humide, un sol argileux se présente comme souple et malléable, tandis que ce même sol desséché sera dur et cassant. Des variations de volume plus ou moins conséquentes en fonction de la structure du sol et des minéraux en présence, accompagnent ces modifications de consistance.
Pour améliorer la structure du sol et assouplir la terre, la rendre plus perméable, il faut apporter de la matière organique, notamment du fumier de cheval, de vache ou de mouton par exemple et du compost, enfouis à faible profondeur. Le fumier composté a un pouvoir asséchant, il se répand tous les 3 ans (4 kg/m²).
Elle doit être de 0,4 mm ou un peu plus forte (0,2 ou 0,3 serait trop faible). On peut aussi utiliser un sable de maçonnerie s'il est grossier. Attention, le sable jaune est souvent trop fin et dans ce cas on obtient un résultat inverse à l'objectif visé, à savoir on alourdit une terre au lieu de l'alléger.
Je conseille souvent d'incorporer du sable dans les terreaux du commerce afin de les rendre plus drainants car beaucoup se compactent facilement.