Une autre drogue comme la cocaïne peut provoquer une augmentation des risques d'abcès ou d'éruption dont les boutons sont proches des boutons rouges à points blancs de l'acné (pustules) mais plus étendus sur le corps.
La désomorphine ou drogue "crocodile" : ce produit de synthèse qui abîme la peau. La drogue "crocodile" (ou "krokodil") est considérée comme "la drogue la plus dangereuse au monde" : elle réduit l'espérance de vie de ses consommateurs à trois ans.
11 L'utilisation prolongée de cocaïne peut développer un prurit particulier assez caractéristique de la substance, donnant l'impression que «des fourmis marchent sous la peau». Si le patient cocaïnomane présente, en plus de son addiction, une psychose, les hallucinations cénesthésiques peuvent être plus graves.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
On dit de quelqu'un qu'il est dépendant lorsqu'il consomme de la cocaïne entre 3 à 5 fois par semaine avec 2 à 3 jours de break entre les prises. Kelly: Pourquoi devient-on accro à la cocaïne dès la première prise?
Le toxicomane va se débrouiller pour trouver le désir et le plaisir dans un objet qui reste totalement contrôlable et à sa merci : ainsi croit-il qu'il n'en dépendra pas puisqu'il le contrôle : l'objet inerte, non désirant, sera la drogue. Le toxicomane se pense donc auto-suffisant avec son produit.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Ils se définissent, dans la grande majorité des cas, par des : – Troubles subjectifs : anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, cauchemars ; – Troubles neurovégétatifs : sueurs, tremblements, hyperthermie, tachycardie, hypertension artérielle ; – Troubles digestifs : anorexie, nausées, vomissements, diarrhée.
D'autre part, des usures au collet des dents peuvent découler de la consommation de cocaïne et particulièrement de crack soit par son application au contact des dents, soit par les brossages intempestifs très vigoureux décrits lors des situations de manque ou lors des hallucinations sensorielles de type fourmillement.
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
En ce qui concerne les soumissions chimiques, comme le montrent les enquêtes du réseau d'addictovigilance, les molécules les plus fréquemment rencontrées dans les cas avérés de soumission chimique sont les antihistaminiques et les benzodiazépines.Il est en effet plus facile de s'en procurer que du GHB ».
des nausées légères à fortes avec vomissements ; des maux de têtes ; une perte de repère ou une disparition des réflexes ; une perte de conscience, aussi appelé « G-hole », pouvant conduire jusqu'au coma (conséquences potentiellement mortelles).
Une prise en charge globale est essentielle, la consommation de drogue n'étant jamais un problème isolé dans la vie d'une personne. Prendre appui sur votre entourage peut être précieux. L'associer à votre décision peut vous aider à ne pas affronter seul les nombreux changements occasionnés par l'arrêt.
Il est difficile d'expliquer comment l'addiction aux substances s'installe au fil du temps. Pour beaucoup, cela s'apparente à une constante recherche du plaisir. Cependant, le plaisir que procurent les opiacés comme l'héroïne ou les stimulants comme la cocaïne diminue à mesure que l'usage se répète.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Le THC (tétrahydrocannabinol) présent dans la plante baisse la tension artérielle, provoquant une dilatation des vaisseaux sanguins et une augmentation de la circulation sanguine. Les vaisseaux sanguins du corps et des yeux gonflent alors et la rougeur apparaît.
La zone bucco-dentaire reflète en partie notre état de santé. Le délabrement de celle-ci est la conséquence d'une altération de l'état local de la bouche, impactée directement par le contact des produits toxiques, mais aussi d'un état général physique et psychologique dégradé.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
L'ecstasy est une drogue psychoactive, qui contient de la MDMA et d'autres substances comme de la caféine, du LSD ou des anabolisant. Elle se consomme essentiellement par voie orale, dans un contexte festif.
C'est du fait qu'il est mélangé et donc moins pur que la cocaïne base, que le crack est vendu dans la rue au tiers ou au quart du prix de la cocaïne (déjà elle-même coupée fortement), ce qui explique son succès dans les quartiers pauvres ou défavorisés.