Concrètement, sur le plat ou en côte, faites un sprint très court de 7 secondes environ, en démarrant avec un gros braquet à partir d'une vitesse très faible.
À l'instar de la course à pied, l'idéal est de travailler sur la vitesse et non sur la durée, c'est-à-dire de rouler le plus vite possible sur de courtes distances, et de répéter plusieurs fois ce schéma, afin de progresser en puissance. Pour améliorer le rendement du moteur.
Pour établir de «bons» CP20 et CP60, il faut posséder une bonne endurance aérobie. C'est généralement l'apanage du rouleur, qui doit maintenir un niveau de puissance relativement élevé pendant une longue durée. Le CP5 est plutôt l'affaire des gros moteurs; il reflète la consommation maximale d'oxygène, ou VO2max.
Commencez chaque poussée de puissance en tournant à une cadence et une vitesse très basses. Passez à la vitesse supérieure (par exemple, 50 x 11) et, en position assise, pédalez aussi fort que possible jusqu'à ce que vous atteigniez 80 tr/min. Cela devrait prendre environ 15 secondes.
Le compact 50/34
Le braquet que je vous recommande si vous débutez, c'est le plus facile à emmener, que ce soit sur du plat ou en montée (à condition d'avoir la cassette adaptée également). A grande vitesse vous serez forcément assez limités, mais rien de grave dans un premier temps cela sera largement suffisant.
Un 39×24 est un petit braquet, pour passer des côtes assis en tournant les jambes par exemple … Plus le braquet est grand, plus la distance parcourue en un tour de pédalier est importante. Ainsi un plateau de 53 et un pignon de 11 dents permet en un tour de pédalier de faire 10m10.
Tenez le guidon près du cintre. Baissez les coudes et gardez le haut de votre corps détendu. Cette position vous permet de respirer librement. Ne vous balancez pas d'un côté à l'autre sur la selle et ne serrez pas trop les poignées du guidon, cela vous fatiguera sans vous donner plus de force ou d'élan.
Nous sommes tous familiers avec le physique du grimpeur classique: mince, léger, petites épaules et petits bras. Les grimpeurs dans le peloton professionnel: Fabio Aru, Nairo Quintana et Kasia Niewiadoma. Les cyclistes qui se débrouillent sur tous les terrains sont appelés Rouleur.
Pour ce qui concerne la vitesse moyenne d'un cycliste sur route amateur, celle-ci se situe aux environs de 20-25 km/h s'il s'agit d'un débutant, et de 25-30 km/h pour un profil plus confirmé.
Tous les véhicules qui peuvent dépasser le 25 km/h doivent avoir une carte grise et une plaque d'immatriculation comme le précise l'Article R317-8 du Code de la Route. Pour obtenir cette carte grise, le certificat de conformité est souvent demandé. Il faudra alors mettre une plaque d'immatriculation sur les EDPM.
Dans la vitesse, cette sensation de pouvoir s'accentue car plus on va vite, plus les neurones travaillent et le cerveau aime être occupé tant qu'il n'est pas dépassé. On a alors un sentiment de domination, de réaliser quelque chose de fort et cela produit des endorphines, qui correspondent à un plaisir réel.
entre 7 et 7,6 W/kg : professionnel de très haut niveau. entre 5,6 et 6,4 W/kg : amateur de très bon niveau. entre 4,3 et 5 W/kg : amateur moyen. entre 3 et 3,7 W/kg : cycliste occasionnel.
Si vous ne faites pas régulièrement du vélo, commencez par rouler trois à cinq fois par semaine pendant 30 à 60 minutes à chaque sortie. Si vous roulez à des fins récréatives ou pour vous déplacer, calculez le temps approximatif (pas le kilométrage !) que vous avez parcouru chaque semaine et augmentez de 10 %.
Pour être efficace, la respiration doit être parfaitement coordonnée avec le pédalage. Pour cela, il convient de travailler votre gainage ; en effet, les abdominaux et les muscles du haut du corps ont un rôle important dans le processus respiratoire.
-La production de corps cétoniques (et/ou la consommation d'une boisson riche en précurseurs de corps cétoniques) a une action « coupe-faim », et donc le sportif mange moins et maigrit plus facilement.
Le puncheur est un cycliste au profil très spécifique, mettant en avant son explosivité (proche du sprinteur). Il a une très bonne puissance relative au poids du corps (proche du grimpeur) et une capacité à répéter des efforts courts et intenses, mais aussi de produire de très grandes accélérations.
Un baroudeur est, en cyclisme sur route, un coureur cycliste adepte des échappées, qui a pour habitude d'attaquer très tôt pour ensuite tenter de résister au retour du peloton. Les baroudeurs sont parfois récompensés par les prix de la combativité.
À l'inverse, si le pignon est 2 fois plus petit, pour un coup de pédale le pignon et la roue font 2 tours. Tu vois, plus tu choisis un pignon petit, et plus un coup de pédale fait tourner ta roue. Mais ça demande aussi plus de force à tes jambes ! Un conseil : quand la route est plate, choisis le pignon du milieu.
Les cassettes 11/28 et 11/30 sont adaptées aux parcours vallonnés et pour certains même aux parcours montagneux. Cependant, pour la plupart des cyclistes, les cassettes 11/32 et 11/34 sont les mieux adaptées à la haute montagne.
Les coureurs pros emploient désormais indépendamment du terrain des cassettes de 11-29, 11-32, 11-30 ou 10-30 toute l'année. Ils n'hésitent pas à grimper des cols grand plateau avec un 53/29 ou 53/32 pour les plus forts. C'est spectaculaire en termes de chiffres, mais cela reste l'équivalent d'un 39/21 et d'un 39/24.
Ne pas mettre le bon braquet
Vous risquez de ne pas monter jusqu'au sommet. Avec un braquet trop gros, vous allez appuyer trop fort sur les pédales, entamant votre autonomie. Si vous êtes un coureur confirmé, mettez un braquet 39/30. Vous avez un niveau moyen, optez pour un 36/30.
Les termes désignant les braquets de force
Quand on parle des gros développements, on entend couramment : Grand braquet / gros braquet : un grand rapport entre plateau et pignon qui permet de réaliser plus de distance en un tour de pédale (cf. mon exemple du 53×12 qui permet d'avancer de 9,30 m en un tour de pédalier).