De nombreuses espèces et sous-espèces bien connues – dont l'orang-outan de Sumatra (Pongo abelii), le léopard de l'Amour (Panthera pardus orientalis), l'éléphant de Sumatra (Elephas maximus sumatranus), le rhinocéros noir (Diceros bicornis), la tortue de mer à écailles (Eretmochelys imbricata), Le tigre de Sunda ( ...
Sous l'effet du réchauffement climatique, les espèces animales migrent en latitude et/ou altitude/profondeur pour trouver des environnements plus cléments.
La principale cause de la réduction de la biodiversité est l'exploitation massive et non raisonnée des ressources de notre planète. Dans une course à l'hyperconsommation, les sols sont surexploités, les surfaces naturelles régressent ou subissent une pollution massive aussi bien dans l'eau qu'en surface.
Si les tortues sont particulièrement concernées par cette hécatombe*, les lions de mer, les dauphins, les baleines, les phoques et les oiseaux marins sont eux aussi. Chaque année, ce sont plus d'un million d'oiseaux marins et plus de 100 000 mammifères marins qui meurent à cause des déchets plastiques.
La jeune entreprise américaine de biotechnologie Colossal Biosciences a annoncé, fin janvier 2023, travailler sur la « dé-extinction » du dodo. Une espèce d'oiseau autrefois présente sur l'île Maurice, qui est éteinte depuis le XVIIe siècle. Comment « ressusciter » un animal disparu ?
Apparu sur Terre il y a 60 millions d'années, le hérisson pourrait ne pas survivre plus longtemps à cause de l'activité humaine autour de lui.
Des tigres aux éléphants, en passant par les gorilles, voici les espèces les plus menacées de disparition.
Dans ce groupe figure notamment la fin du Permien, la plus grande extinction de tous les temps survenue il y a 252 millions d'années environ, responsable de la disparition de 95 % des espèces marines.
La Liste rouge de l'UICN comprend désormais 142 577 espèces : 40 084 d'entre elles sont menacées, soit plus de 28 % des espèces évaluées. Ainsi, 41 % des amphibiens, 26 % des mammifères ou encore 37 % des raies et requins de la liste sont aujourd'hui menacés.
5 des espèces les plus menacées au monde - YouTube. Tigre de Malaisie, rhinocéros de Java, léopard de l'Amour, Vaquita : ces 5 espèces sont parmi les plus menacées au monde.
Avec la hausse des températures, becs, oreilles, queues et pattes grossissent chez diverses espèces. C'est la conclusion d'une étude publiée par des chercheurs de l'université Deakin, en Australie, dans la revue Trends in ecology and evolution.
- Le Hutia nain, ou Mesocapromys nanus, une espèce de rongeur vivant à Cuba. - Le Glaucope cendré, ou Callaeas cinereus, une espèce d'oiseau vivant en Nouvelle-Zélande. - L'Eurycea robusta, une espèce de salamandre vivant au Texas. Cet animal totalement aveugle ne vit que dans des grottes remplies d'eau.
Le cœlacanthe est l'espèce animale vivante la plus ancienne : ce poisson primitif existait il y a 400 millions d'années, bien avant les dinosaures ! Avec ses grosses nageoires et ses écailles épineuses bleues ou brunes, il ressemble fort à ses ancêtres, dont on a retrouvé de nombreux fossiles.
Âge estimé de l'animal : 507 ans. Ming est un bivalve de l'espèce Arctica islandica (praire d'Islande ou cyprine), cousine de la palourde.
1 - Le dragon de Komodo
Ils sont donc associés au beau temps. Mais le dragon du Komodo nous fait pénétrer dans un tout autre univers. Ce géant mesure en moyenne 2,59 mètres de long et pèse entre 79 et 91 kg.
Le vaquita (Phocoena sinus) vit uniquement dans les eaux chaudes de la mer de Cortez, à l'abri dans le golf de Californie. Ce petit marsouin, réputé timide et insaisissable, mesure environ 1.50 m et pèse en moyenne 48 kg. On l'observe le plus souvent en couple nageant étroitement avec son ou sa partenaire.
Sans grande surprise, ce sont les États-Unis et la Chine qui sont les pays les plus pollueurs au monde.
Les trois pays les plus gros émetteurs de CO2 sont donc : La Chine responsable à hauteur de 32.9% des émissions de CO2, en grande partie dues à l'exportation de biens de consommation et à sa forte dépendance au charbon ; Les États-Unis responsables à hauteur de 12.6% ; L'Inde responsable à hauteur de 7.0%.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).