Alors qu'une fibrillation auriculaire non traitée peut nuire considérablement à la qualité de vie, la majorité des patients traités pour cette affection mène une vie active et normale.
Un traitement pour réguler le rythme cardiaque
Les médicaments les plus utilisés sont les bêtabloquants (métoprolol, propranolol). Ils diminuent la fréquence des battements de cœur. Plus rarement, d'autres médicaments sont utiles : la flécaïnide, la propafénone, l' amiodarone , la digoxine.
La fibrillation auriculaire survient rarement de manière isolée. Une consommation excessive d'alcool, une prise de drogues, un épisode de fièvre, une électrisation, une intervention chirurgicale ou une activité physique intensive en excès... peuvent la déclencher.
Les troubles peuvent disparaître lorsque les crises d'arythmie aiguës se transforment en fibrillation auriculaire permanente. Il se peut aussi qu'ils ne se manifestent que dans certaines situations. Mais une partie non négligeable des patients ne ressent aucun symptôme.
La fibrillation auriculaire (ou atriale) peut rester asymptomatique ou provoquer des palpitations cardiaques, des douleurs à la poitrine, une fatigue... Cette maladie est diagnostiquée par un électrocardiogramme.
Sans traitement, la fibrillation auriculaire multiplie le risque de subir un AVC ou de souffrir d'insuffisance cardiaque. Les personnes aux prises avec cette maladie courent de trois à cinq fois plus de risque d'avoir un AVC ischémique. En fibrillation auriculaire, les oreillettes se contractent de façon chaotique.
Vous pouvez savoir si vous êtes atteint de fibrillation auriculaire à l'aide d'un test qui enregistre l'activité électrique du cœur. Ce test est appelé un électrocardiogramme. L'examen est sans douleur. Vous devrez porter un petit moniteur avec lequel vous pouvez vous déplacer pendant 24 heures.
La complication principale de la fibrillation auriculaire est l'embolie. En effet, la fibrillation auriculaire, parce qu'elle diminue l'efficacité des oreillettes, peut entraîner une stagnation (une « stase ») du sang dans celles-ci.
Chez le patient de retour en rythme sinusal, toutes les activités sportives sont autorisées. Pour les patients en fibrillation auriculaire permanente, la participation à des activités sportives est conditionnée par la fonction ventriculaire et la fréquence cardiaque lors d'un effort.
L'examen de référence de cette pathologie est l'électrocardiogramme (ECG). Le traitement proposé dépend du type de fibrillation auriculaire et peut consister en des médicaments et/ou à de la chirurgie. Les principales complications de cette pathologie sont des AVC, et d'autres problèmes cardiovasculaires.
Un repos d'une dizaine de jour est conseillé dans les suites de l'intervention, un arrêt de travail pourra être prescrit si nécessaire. Le temps de cicatrisation au sein de l'oreillette est d'environ 1 mois, période durant laquelle des palpitations peuvent être ressenties ; ces dernières ne sont pas synonymes d'échec.
privilégiez une alimentation équilibrée et modérez votre consommation d'alcool et de café qui sont des excitants cardiaques ; pratiquez une activité physique régulière en éviter le sport excessif notamment d'endurance qui peut déclencher une fibrillation atriale ou auriculaire.
La fibrillation auriculaire est caractérisée par des battements cardiaques rapides et irréguliers qui empêchent le cœur de transporter efficacement le sang vers les autres organes du corps. Cette maladie cardiovasculaire affecte les cavités supérieures du cœur, soit les oreillettes.
Certains des risques comprennent les accidents vasculaires cérébraux, la tamponnade péricardique, le rétrécissement des veines pulmonaires et l'irritation.
La fibrillation atriale survient lorsque les cavités supérieures du cœur, aussi appelées oreillettes ou atriums, se contractent de façon désynchronisée et frémissent (on dit aussi qu'elles présentent des fibrillations). Cela signifie qu'elles battent très rapidement et à un rythme irrégulier.
Les béta- bloquants permettent en effet de diminuer les tremblements au niveau des mains en plus de faire baisser le rythme cardiaque (2). Leur usage a tendance à être un avantage dans les sports nécessitant stabilité et précision. On peut citer comme exemple le tir à l'arc ou le tir à la carabine (3).
Parmi les symptômes observés des extrasystoles, on note des palpitations, des sensations de battements irréguliers du cœur, voire de pauses. Mais aussi des douleurs dans la poitrine (sous les seins), de la tachycardie ou le sentiment d'un coup dans la poitrine. Ces symptômes peuvent être bénins.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
Plusieurs médicaments fréquemment consommés, dont l'ibuprofène (Advil, Motrin) et la naproxène (Aleve), augmentent le risque de crise cardiaque dès leur première semaine d'utilisation, selon une nouvelle étude québécoise.
Comment faire ? Inspirer par le nez ou par la bouche pendant 5 secondes pour remplir les poumons, puis expirer par la bouche à nouveau pendant 5 secondes pour les vider. À faire pendant 2 à 3 min pour calmer les palpitations (puis plusieurs fois par jour pendant une minute ou deux).
L'eau est la seule boisson indispensable ; il faudrait en boire au moins un litre et demi par jour, telle quelle ou sous forme de boissons chaudes. Limitez la consommation des graisses, surtout saturées (viennoiseries, pâtisseries, charcuteries, beurre, sauces, fromages, lait entier…).
Le stress intense et ses effets sur le cœur
Ces changements accélèrent le rythme cardiaque, provoquent des arythmies cardiaques sévères ou encore peuvent provoquer une contraction des artères coronaires.
En cas de fibrillation atriale, le pouls est toujours irrégulier et généralement rapide. En cas de flutter atrial, le pouls peut être régulier ou irrégulier et généralement rapide. La diminution de la capacité de pompage du cœur peut entraîner une faiblesse, des évanouissements ou un essoufflement.
Le premier symptôme ressenti lors de l'insuffisance cardiaque est l'essoufflement. Il est provoqué par un engorgement du sang dans les poumons. Autre symptôme évocateur, la fatigue provient d'un déficit d'irrigation des muscles, ainsi privés d'un apport suffisant en nutriments et en oxygène.
Est-ce que l'arythmie est dangereuse ? Certaines formes d'arythmie cardiaque peuvent être graves comme la fibrillation ventriculaire ou la fibrillation auriculaire atriale.