Que la 6ème extinction de masse c'est la perte de la biodiversité due aux activités humaines et seuls les êtres humains peuvent changer le court des choses.
Mais la 6e extinction de masse, elle, est très rapide. - Elle est due aux activités humaines. La déforestation, l'agriculture intensive, l'exploitation minière, les grands barrages…, détruisent et fragmentent les habitats. C'est la première cause de la perte de biodiversité selon les experts de l'IPBES.
L'extinction de l'Holocène (aussi nommée sixième extinction ou entrée dans l'Anthropocène) est le nom donné habituellement à l'extinction massive et étendue des espèces durant l'époque contemporaine, dite « moderne », de l'Holocène, qui continue actuellement.
Sixième extinction de masse : la disparition des espèces a été largement sous-estimée. Si l'on comptabilise les invertébrés, 170 à 300 fois plus d'espèces auraient déjà disparu. Les vertébrés représentent environ 3 % de la biodiversité connue.
Sont mis en cause la dégradation des habitats, sous l'effet notamment de l'agriculture, de l'exploitation forestière, de l'urbanisation ou de l'extraction minière, mais aussi la surexploitation des espèces, la pollution, les espèces invasives, les maladies et enfin, le changement climatique, lui-même accentué par l' ...
La sixième extinction de masse s'accélère et met en péril la survie de la population humaine : c'est ce qu'affirme une étude, publiée le 1 er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Nos activités irresponsables détruisent littéralement notre support de vie au point que nous sommes devenus la cause de la 6e extinction massive de la biodiversité que connait notre planète. Sur l'ensemble de la planète, 60 % de milieux naturels ont été dégradés au cours des 50 dernières années.
Réduire la croissance de la population et de sa consommation, stopper le commerce des espèces en voie de disparition, utiliser des technologies moins consommatrices, aider les pays en développement à préserver leurs habitats naturels sont les solutions préconisées par les scientifiques.
Les conséquences sur l'évolution biologique, ils les regroupaient en trois catégories : - une prolifération de maladies infectueuses et un déclin des grands mammifères - la fin des régions tropicales comme moteur de l'évolution de nouvelles espèces - une perte de la biodiversité s'étendant sur des millions d'années.
Selon les chercheurs, il faut réduire notre consommation, empêcher le commerce des espèces en voie de disparition ou encore aider les pays en développement à protéger leur biodiversité.
Dans la catégorie En danger, nous avons le tigre (Panthera tigris) ou le gorille des montagnes (Gorilla beringei). Parmi les espèces emblématiques classées Vulnérables figurent le panda géant (Ailuropoda melanoleuca), la girafe (Giraffa camelopardalis) ou le léopard des neiges (Panthera uncia).
Dans ce groupe figure notamment la fin du Permien, la plus grande extinction de tous les temps survenue il y a 252 millions d'années environ, responsable de la disparition de 95 % des espèces marines.
Le tigre du Bengale et quatre de ses sous-espèces sont les animaux les plus menacés d'extinction de la terre. Il ne reste sur terre qu'environ 3 000 à 4 500 individus.
La particularité de cette sixième extinction est qu'elle est due, pour la première fois, à l'impact d'une espèce : l'être humain.
- 65 MA (Crétacé-Paléogène ou extinction K-Pg, antérieurement extinction Crétacé-Tertiaire ou extinction K-T), 5e extinction massive : la fin des dinosaures. Tous règnes confondus, près de six à huit espèces sur dix disparurent, dont les grands sauriens tels les célèbres dinosaures.
Vers -252 millions d'années, À la limite entre l'ère primaire et secondaire (Paléozoïque-Mésozoïque) La troisième crise du Permien-Trias est la plus grande qu'ait jamais connue la Terre. Elle provoque la disparition de plus de 90% des espèces, terrestres comme marines.
Plus de 99 % de tous les organismes ayant vécu sur Terre sont aujourd'hui éteints. À mesure que de nouvelles espèces évoluent pour s'adapter aux changements perpétuels des niches écologiques, les plus anciennes disparaissent. Ce qui ne veut pas dire que le taux d'extinction est perpétuellement constant.
Pour de nombreux scientifiques, une nouvelle extinction de masse aurait commencée il y a environ 13 000 ans à la suite de la colonisation du monde par les êtres humains. On appelle cette période l'holocène. Ou encore 6ème extinction de masse.
Ces scientifiques considèrent que le taux d'extinction actuel est 8 à 100 fois supérieur au taux habituel. Dans des conditions normales, il aurait dû y avoir 9 extinctions d'espèces de vertébrés depuis 1900 ; or d'après les estimations basses de l'UICN, il y en a eu 468 pendant cette période.
On appelle crise biologique une période assez courte durant laquelle, à l'échelle du globe, un grand nombre d'espèces animales et végétales disparaissent simultanément. et qu'elles se localisent sur toute la planète.
Pour Michel Dobry, une crise se caractérise par un effacement des frontières organisationnelles. La situation devient “fluide”, la nature du problème comme le rôle des différentes organisations ne sont plus clairement établis et font l'objet de négociations, de stratégies isolées ou de conflits.