Capitale historique de la Bretagne, capitale de la pseudo-région des Pays de la Loire, chef-lieu de la Loire-Atlantique, Nantes et sa métropole jouissent depuis presque deux décennies d'une réputation qui en fait une des villes françaises les plus attirantes.
Breizh, le nom breton de la Bretagne, vient lui d'un ancien Brittia. Le terme Armorique est encore utilisé pour désigner la Bretagne et ce, même s'il désignait à l'origine un ensemble beaucoup plus vaste.
Le chef-lieu et la préfecture de la région Bretagne est Rennes. Le conseil régional (« l'assemblée de la région ») et le préfet de région de la Bretagne y siègent. Rennes est donc considérée, en raison de ce statut, comme la capitale de Bretagne. En effet, la capitale est généralement la ville où se siège le pouvoir.
La Loire-Atlantique a été séparée administrativement de la région Bretagne par un décret signé le 30 juin 1941 par le Maréchal Pétain... lequel aurait pourtant préféré une Bretagne historique à cinq départements.
L'histoire de la Bretagne commence avec un peuplement dont les traces remontent à la Préhistoire, dès 700 000 ans av. J. -C. La période néolithique, qui commence dans ces régions vers 5000 av.
Concarneau, Saint-Malo, Perros-Guirec, Erquy... de beaux lieux à découvrir si vous ne connaissez pas déjà.
C'est « l'édit d'union de Nantes », promulgué par François Ier le 13 août 1532. Le lendemain, le dauphin de France, âgé de 14 ans, est couronné duc de Bretagne sous le nom de François III dans la cathédrale de Rennes.
Comme le reste de la Gaule, la Bretagne (à l'époque appelée Armorique) est envahie par les Celtes (Gaulois).
NANTES NAONED (parf. an), Bro Naoned Loire-Atlantique (cf.
Le 4 août 1532, les délégués des états de Bretagne acceptent l'union de la Bretagne au royaume de France.
Historiquement, la ville de Nantes est bretonne avec ses 1200 ans d'histoire. En 1941, le Maréchal Pétain sépare la Loire-Atlantique de la Bretagne et c'est ainsi que la ville, administrativement ne fait plus partie de la Bretagne mais des Pays de la Loire.
Créé en 1925 par le militant breton Morvan Marchal, le Gwenn ha du s'affiche désormais comme le symbole incontesté de la Bretagne. Neuf bandes alternativement noires et blanches, accompagnées d'un semis d'hermines, neuf pays, neuf évêchés : tel est le Gwenn ha du, le drapeau de la Bretagne.
Un rattachement à la France qui date d'Anne de Bretagne
Sur le plan de l'histoire, Nantes – et la majeure partie de la Loire-Atlantique – appartient à la Bretagne. Comme son nom l'indique, le château devant lequel se passe la manifestation de dimanche était un de ceux des ducs de Bretagne.
En effet, tour à tour, Troyens, Romains, Gaulois et Celtes, Phéniciens, ont été désignés comme les lointains ancêtres des Bretons.
Pour certains, la présence des 11 hermines sur le drapeau breton symbolise le clergé dans cette région où le catholicisme était très présent, pour d'autres, elles représentent les saints de la région bretonne.
Ainsi, Vannes, Nantes, Rennes et Corseul doivent leur nom à un peuple gaulois. La Bretagne désignait à l'époque romaine, l'actuelle Grande-Bretagne. Et les Bretons désignent les habitants celtes de l'île de Bretagne.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants.
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Les prétendants sont, d'une part Jeanne de Penthièvre, fille de Guy de Penthièvre, lui-même frère du duc Jean III , mariée depuis 1337 à Charles de Blois, parent du roi de France, et, d'autre part, Jean de Montfort, comte de Montfort-l'Amaury, demi-frère du défunt duc, fils du second mariage d'Arthur II de Bretagne ...
François Ier (roi de France) — Wikipédia.
Son nouveau contrat de mariage (janvier 1499) avec Louis XII lui reconnaît tous ses droits sur la Bretagne. Y est également noté que le deuxième enfant de leur union, mâle ou femelle, obtiendrait tous les droits sur ce pays, continuant ainsi d'accorder une certaine indépendance aux Bretons.