Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
C'est certainement celle produite par les déchets de l'industrie nucléaire. Ces déchets sont produits par les centrales nucléaires qui fournissent la plus grande partie de notre électricité.
L'activité humaine est à la base du développement de la technologie, la déforestation, les produits chimiques et pesticides, les déchets industriels et ménagers, les combustibles fossiles, la production et accumulation de déchets; ce qui constituent les principales causes de la pollution de l'environnement.
Les causes principales de la pollution des eaux sont les nombreux rejets de produits chimiques générés par les usines, des rejets comme l'azote ou les phosphates. Des rejets de produits ménagers et d'entretien comme les aérosols, les engrais et les déchets de toutes sortes.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
La principale source de pollution ponctuelle de l'eau provient du traitement des eaux usées et des eaux d'égout, tandis que la pollution diffuse a pour sources principales l'agriculture et les centrales à combustible fossile (via la pollution de l'air).
Les sources de pollution de l'air extérieur sont diverses
Certaines d'entre elles sont naturelles : les pollens, les poussières du désert, et les poussières et gaz rejetés par les volcans lors des éruptions notamment. D'autres, appelées anthropiques, résultent de l'activité humaine.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Répartition sectorielle des émissions de CO2 dans le monde
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Autrement dit, la pollution du sol est comprise comme altération du biotope constitué par l'humus (ou tous autres types de sols) par l'introduction de substances toxiques, éventuellement radioactives ou d'organismes pathogènes entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème.
Selon le type de polluant, on peut classer la pollution en trois catégories : pollution physique, pollution chimique et pollution biologique.
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
Il existe deux sortes de pollutions : les pollutions organiques d'origine naturelle (gaz, substances minérales ou organiques, bactéries, virus, plancton, particules d'argile, déchets végétaux) et les pollutions chimiques ayant comme origine les activités humaines.
Privilégiez les vaporisateurs aux bombes aérosols (laque, désodorisants, etc produisent des polluants. Limitez l'utilisation des désodorisants d'intérieurs, les encens et les bougies qui produisent de nombreux composés. Aérez votre maison, renouvelez l'air. Pendant un pic d'Ozone préférez une aération le matin.
Après avoir analysé les données de 6 475 villes dans 117 pays selon leur taux de concentration en particules fines, il ressort que la Nouvelle-Calédonie est le territoire le moins pollué au monde (3,8 microgrammes de polluants/m³), rapportent les données relayées par Geo.
Parmi ces chiffres, l'activité la plus polluante est la production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné, précise Eurostat.
Au final, 2 % des rejets mondiaux de CO2 sont émis par les avions de ligne ! Mais les avions rejettent également d'autres gaz comme l'oxyde d'azote (NOx), le monoxyde de carbone (CO), les hydrocarbures (HC), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension PM10 et PM2,5.
Le vélo ne pollue pas, et, en ville, il permet de se déplacer plus vite qu'en voiture sur une distance de moins de cinq kilomètres. Un voyage en avion ruine tous les efforts que vous accomplissez par ailleurs pour vivre de façon écologique.
Avion vs voiture, qui est le plus polluant ? Selon le simulateur “Mon Impact Transport” de l'Ademe, sur un trajet de 500 km, la voiture individuelle émet plus de 50 % de CO2 que le même trajet en avion.
L'un des premiers exemples de pollution est celui de la salinisation des terres de Mésopotamie, entre - 2400 et - 1700 ans avant Jésus-Christ.
Les polluants présents dans l'air (composés organiques volatils, particules fines, pollens …) sont également des facteurs aggravants de l'asthme et des allergies respiratoires.
Les pesticides et les engrais engendrent une pollution chimique. L'utilisation massive d'engrais d'origine naturelle, tel que le fumier*, peut constituer une source de pollution bactériologique. Ces substances, par le biais du cycle de l'eau, s'infiltrent ou ruissellent polluant les milieux aquatiques.