Les connecteurs temporels, spatiaux et logiques sont le plus souvent : des adverbes de liaison, des conjonctions de coordination ou de subordination, des groupes nominaux en fonction de compléments circonstanciels.
Les connecteurs logiques sont des mots qui permettent de lier des idées entre elles dans une phrase. Ils sont également appelés « relations logiques ». Les connecteurs logiques ne sont qu'une partie de tous les connecteurs qui existent dans la langue française.
Les connecteurs logiques peuvent être de différents types : adverbes, conjonctions de coordination ou de subordination.
Les connecteurs logiques servent à établir des relations entre deux idées, deux faits et expriment la cause, la conséquence, l'opposition, etc. Connecteurs exprimant la cause : car, en effet, parce que, puisque, comme,... Connecteurs exprimant la conséquence : donc, ainsi, c'est pourquoi, si bien que, de sorte que,...
- ÉNUMERATION : D'abord , en premier lieu, enfin, ensuite... - ADDITION : Aussi, de même, de plus, encore, et, également... - LIAISON / RÉSUMÉ : Bref, d'ailleurs, donc, ensuite, en somme, en outre , or, par ailleurs, puis... - EXPLICATION : C'est-à-dire, en effet, effectivement, étant donné que, puisque...
1. Appareil ou composant passif relié à l'extrémité d'un ou plusieurs conducteurs afin de permettre de les relier électriquement à un autre appareil ou composant. 2. Élément mettant des unités linguistiques en relation de coordination ou de subordination.
Les connecteurs temporels les plus courants :
d'abord, premièrement, puis, ensuite, après, alors, et, enfin, quand, depuis, depuis que, pendant, avant que, après que, dès lors, comme, en même temps que, bientôt d'ailleurs, soudain, tout à coup, jamais, jusqu'au bout ...
Les connecteurs de temps situent les actions les unes par rapport aux autres. Ils donnent des informations sur : la succession : d'abord, puis, ensuite, enfin… Ces mots s'utilisent pour ordonner les phrases dans un texte ou leur donner une suite logique.
Addition ou gradation : et, de plus, en outre, par ailleurs, surtout, puis, d'abord, ensuite, enfin, d'une part, d'autre part, non seulement … mais encore, voire, de surcroît, d'ailleurs, avec, en plus de, outre, quant à, ou, outre que, sans compter que…
en conclusion, pour conclure, en guise de conclusion, en somme, bref, ainsi, donc, en résumé, en un mot, par conséquent, finalement, enfin, en définitive, au demeurant…
La classe grammaticale d'un mot en français est son identité. On peut également l'appeler nature d'un mot ou catégorie grammaticale d'un mot. La classe grammaticale permet de classe les mots en “familles”. Il existe neuf classes grammaticales.
On peut trouver la nature d'un mot en consultant un dictionnaire. La classe grammaticale (nature) d'un mot est fixe (un mot a toujours la même nature). Un mot peut posséder plusieurs classes grammaticales selon le contexte dans lequel on l'utilise. Ex : Le diner - Je vais diner -› diner peut être un nom ou un verbe.
Si, A condition que, A supposer que, Pourvu que, Au cas où, A moins que… Pour que, Afin que Quoique, Bien que, Il est vrai/certain que, Même si, Nul doute que, Encore que, Quand bien même, Alors que Soit que…, soit que…
Si vous avez le choix, préférez le connecteur DVI, de meilleure qualité.
Les connecteurs sont des mots qui permettent de relier des mots, des propositions, des phrases voire des paragraphes. Les connecteurs temporels permettent d'organiser un récit : ils situent les actions dans le temps ou les unes par rapport aux autres.
Un connecteur binaire est défini par la table de vérité qui lui est associée. La table de vérité d'un connecteur binaire est un tableau à trois colonnes et à cinq lignes. Les lettres P, Q… sont utilisées pour noter les propositions ; les lettres V (vrai) et F (faux) pour noter les valeurs de vérité.
Ils fonctionnent bien souvent comme des indices typologiques : les connecteurs temporels baliseront ainsi les différentes propositions narratives d'un texte, les connecteurs spatiaux interviendront dans un texte descriptif et les connecteurs argumentatifs marqueront les différentes étapes d'un raisonnement.
Utilisez des connecteurs logiques : « tout d'abord », « ensuite », « cependant », « du reste », « de plus », « en outre », etc. Faites une petite transition entre les sous-parties et une plus grande transition entre les grandes parties. Sautez une ligne entre les grandes parties mais pas entre les sous-parties.
On appelle « rapport logique » le lien qui unit deux éléments d'une phrase ou de plusieurs phrases. Exemple: [Il pleut] donc [je prends mon parapluie]. Le lien qui unit les propositions « il pleut » et « je prends mon parapluie » est un lien de CAUSE à CONSÉQUENCE.