Il respire par la peau ! Sur une grande partie de son corps, elle est extrêmement fine. On appelle cela une respiration cutanée. Cependant il faut que la peau reste humide pour que l'oxygène de l'air se mélange et puisse passer (on dit diffuser) à travers sa peau.
« Un lombric [l'autre nom du ver de terre] n'a pas de poumons mais respire directement par l'intermédiaire de sa peau très fine. Pour qu'elle puisse absorber l'oxygène, cette peau est gardée humide par des cellules qui sécrètent un mucus. Un ver sec est un ver mort !
La plus courante est que les vers de terre fuient leur galerie emplie d'eau pour éviter la noyade. Cependant les chercheurs ont repoussé cette idée en montrant que nos lombrics peuvent vivre plusieurs jours immergés dans l'eau.
Les lombrics n'ayant pas de poumons, les échanges gazeux entre l'air et le sang se font au niveau de leur peau, tout simplement, qui a donc la même fonction que la surface des alvéoles pulmonaires.
Le ver de terre n'a ni yeux ni dents, mais possède en revanche quatre cœurs et trois paires de reins ! Il respire à travers la peau. Son corps est constitué d'anneaux successifs nommés segments, tous entourés d'une musculature longitudinale et d'une musculature circulaire.
Les vers de terre perdent leur azote régulièrement sous forme d'ammoniac (urine) et cet azote perdu par les vers de terre passent très vite dans les plantes à faible dose du fait de la proximité des racines et des galeries.
Les vers ne dorment jamais. Les vers de terre n'ont pas d'yeux. Les œufs de vers de terre peuvent survivre dans des conditions climatiques très difficiles pendant de très longues périodes, hibernant quand toutes les conditions sont réunies.
Oui, le ver de terre possède à l'avant de son corps un collier de nerfs qui lui sert de cerveau ! Il est relié à une chaîne nerveuse qui se trouve dans sa face ventrale du ver. Et au niveau de chacun de ses anneaux, cette chaîne forme un renflement.
Il faut quelques semaines à plusieurs mois, selon l'espèce, pour que les jeunes vers de terre éclosent. Le ver de terre Lumbricus terrestris (le fameux lombric commun) s'accouple une fois par année en formant 5 à 10 cocons contenant chacun 1 œuf. Ils peuvent vivre entre 4 et 8 ans !
Est-ce que le ver de terre meurt si on le coupe en deux ? Ainsi, couper un ver de terre en deux va immanquablement blesser, voire tuer, l'animal. En effet, si l'on touche la partie de son corps abritant les organes vitaux, le ver de terre va mourir.
Un lombricide est un pesticide, de la famille des biocides, permettant de détruire les vers de terre (lombrics). Lombricide est aussi le nom donné à une famille taxonomique (celle des vers de terre).
Les lombrics se nourrissent de nombreuses formes de matières organiques, par exemple tontes de jardin, épluchures de légumes, des feuilles en décomposition, marc de café, coquilles d'oeuf et des organismes vivants tels que les nématodes, les protozoaires, les rotifères, les bactéries et les champignons.
Oui, la bouche du ver de terre est située à l'avant de son corps. Le 2ème segment, nommé périprostomium, porte un orifice cerclé d'un bourrelet : c'est la bouche du lombric.
La respiration cutanée dure toute leur vie, mais quand ils sont adultes, la libération de dioxyde de carbone devient importante. Pélobate à couteaux (Pelobates cultripes) Grenouille de Perez (Pelophylax perezi) Kokoï de Colombie (Phyllobates terribilis)
L'oxygène de l'air que nous inspirons par voie nasale ou buccale parvient jusqu'aux poumons par la trachée, ainsi que jusqu'aux alvéoles pulmonaires par de fines ramifications (bronches et bronchioles) et, enfin, jusqu'aux vaisseaux sanguins (capillaires).
L'abdomen ne se gonfle que parce que le diaphragme, en se tendant et s'abaissant, pousse les viscères, qui viennent appuyer sur la paroi abdominale. On parle donc de respiration abdominale par simplification, et pour éviter une respiration trop haute.
Il existe plusieurs techniques de respiration, mais si vous le voulez bien, contentons-nous de distinguer deux types de respiration, soit abdominale et thoracique.
Plusieurs facteurs influencent la teneur en dioxygène du milieu. - Des caractéristiques physiques (température et agitation). Une eau froide et agitée est plus riche en dioxygène qu'une eau chaude et stagnante. - Les végétaux chlorophylliens : à la lumière, ils rejettent du dioxygène dans le milieu.
L'information sensorielle perçut par une partie du corps se répercute sur le métamère et dans la chaine nerveuse centrale traversant le métamère. Comme de nombreux invertébrés, le ver de terre a des réactions qui s'apparentent à la nociception. Mais réagir mécaniquement à la douleur n'est pas souffrir.
Avec l'abaissement des températures hivernales, les vers de terre s'enfouissent dans les profondeurs du sol pour se protéger du froid. Ils hibernent quand la température approche le point de congélation. A la surface du sol, le lombric gèle et meurt.
La consommation de ver apporte donc assez de protéine à l'organisme qui en a besoin pour son bon fonctionnement. Bien sûr que les vers de terre sont comestibles. Le commerce offre les vers de terre qui peuvent être mangé crus, cuits, séchés et des jus de ver de terre.