Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a le Soleil, et sa lumière qui elle est… blanche, même si le Soleil est souvent représenté comme jaune quand on le dessine. Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a une atmosphère autour de la Terre : la couche de gaz qui entoure notre planète. Cette atmosphère diffuse la lumière.
De nuit, le ciel est noir. De jour, il est bleu. C'est le cas uniquement sur la planète Terre, dont l'atmosphère, aux propriétés optiques particulières, diffuse la lumière solaire principalement dans le bleu.
Au contact des molécules de gaz qui constituent l'atmosphère, la lumière se diffuse dans toutes les directions. La lumière bleue prédomine, elle est davantage diffusée que les autres. Par conséquent, en regardant le ciel dans une autre direction que le soleil, le ciel apparaît comme bleu.
Les rayons traversent l'atmosphère, rendant le ciel bleu et nos yeux perçoivent moins de bleu, mais plus de vert et de rouge. Vert et rouge, ça donne du jaune! La véritable couleur du Soleil est donc le blanc!
Bleu ciel est le nom d'une couleur du champ chromatique bleu. C'est « un bleu clair et lumineux » qui se réfère à la couleur du ciel, causée par la diffusion de la lumière, en fait très variable.
Le rayon vert est un phénomène atmosphérique rare provoqué par la réfraction à travers l'atmosphère des premiers ou derniers rayons du soleil.
La nuit, la lumière du soleil n'entre plus en collision avec les particules qui composent l'atmosphère. Même chose dans l'espace, où il n'y a pas d'atmosphère pour provoquer des collisions avec la lumière solaire. Le ciel n'a alors aucune couleur.
Malgré les teintes très variées des minéraux composant le sol lunaire, leur mélange sous forme de fine poussière confère à la planète sa couleur gris clair.
Le mélange des lumières rouge, vert et bleu donne de la lumière blanche. Si on mélange les couleurs primaires deux à deux ( synthèse additive), on obtient trois couleurs secondaires ; : le cyan, le magenta et le jaune. Le mélange d'une lumière verte avec une bleue donne du cyan.
En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
Mais quand le Soleil est près de l'horizon, la lumière traverse une plus grande couche d'air, et la totalité de la lumière bleue est déviée. La lumière qui nous atteint devient alors très rouge donnant ces teintes rosées aux couchers de Soleil.
Dans l'espace, ces cycles jour-nuit s'alternent très différemment. Sur la station spatiale internationale, située à 350-400 km en orbite autour de la Terre, les astronautes en mission font face à l'enchaînement de 16 périodes d'obscurité et de jour toutes les 24 heures.
Nuit tout court renvoie au noir. L'assimilation de la nuit à la couleur bleue est une référence naïve à ce que les savants appellent l'effet Purkinje, selon lequel toutes les couleurs paraissent plus bleues quand la lumière baisse, et qu'on passe de la vision photopique, diurne, à la vision mésopique (crépusculaire).
Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a une atmosphère autour de la Terre : la couche de gaz qui entoure notre planète. Cette atmosphère diffuse la lumière. Les rayons lumineux vont, généralement, en ligne droite.
Il arrive que le ciel soit gris car il est composé de nuages qui vont du blanc jusqu'au gris très foncé. Ces nuages sont constitués de milliards de gouttelettes d'eau, cristaux de glace et gouttes d'eau plus grosses. Ces gouttes restent en suspensions et barrent la lumière du soleil vers la terre.
Ces teintes inhabituelles sont liées à la présence de sable en quantité importante dans l'air.
En réalité, le vert d'eau est une teinte bien spécifique (ni chaude, ni froide) que l'on pourrait ranger entre le vert amande et le bleu clair. Autrement dit, ce coloris très doux est un vert clair qui rappelle la nature et permet de nombreuses associations de couleurs.
La lumière blanche est constituée d'un ensemble de couleurs différentes qui constituent le spectre lumi- neux. Ce spectre est polychromatique et continu : il contient toutes les nuances de couleurs entre le violet et le rouge. s'est décomposée et on peut observer les couleurs de l'arc-en-ciel à la sortie du prisme.
« Plus une couleur est sombre plus elle absorbe les rayons du soleil qui se transforment en chaleur, explique le spécialiste. Avec du noir, l'absorption est la plus importante. Le blanc, en revanche, réfléchit la lumière et n'accumule donc pas la chaleur. »
Lune de sang, de quoi parle-t-on ? Cette appellation n'a rien d'astronomique, certes. Mais elle est souvent utilisée pour désigner l'éclipse totale de Lune. Car sous l'effet de l'atmosphère de la terre, le Lune peut prendre une couleur rouge cuivrée plus ou moins prononcée.
Selon l'astrologie occidentale, la Lune noire, parfois appelée Lilith, est définie comme le point vide où se trouve le second foyer de l'ellipse de l'orbite lunaire autour de la Terre, le premier foyer étant occupé par cette dernière.
La belle histoire de la lune verte
Très rare, cet événement ne se produirait qu'une fois tous les 420 ans, offrant par la même occasion un spectacle astronomique unique en son genre. Sauf que voilà, dans les faits, cette histoire n'est qu'un gigantesque hoax en circulation depuis 2016.
Pourquoi la nuit est-elle noire ? par Hubert Reeves Pourquoi la nuit est-elle noire ? La question est en apparence très simple : la nuit est noire parce que le soleil n'est pas là pour l'éclairer. Certes sans soleil nos nuits sont faiblement illuminées par les étoiles.
Lorsque les vaisseaux sanguins éclatent sous l'effet d'un choc, le sang se répand sous l'épiderme, donnant une couleur bleutée à la peau qui ne laisse passer que les longueurs d'onde de la lumière correspondant au bleu.
La Lune. La Lune n'a pas d'atmosphère, de sorte que son ciel est toujours noir. Toutefois, le Soleil est tellement brillant qu'il est impossible de voir les étoiles pendant la journée, à moins que l'observateur ne soit bien à l'abri de la lumière du Soleil (directe ou réfléchie par le sol).