Bien que le blanc soit la couleur de deuil pour la famille, les amis portent souvent du noir. Les amis peuvent rendre visite à la famille à la maison après les funérailles, mais non avant.
le noir : la couleur la plus courante qui peut correspondre à tout type d'obsèques ; le gris : pour les personnes âgées ; le violet : qui correspond à la couleur liturgique de la messe des morts (il est aussi fréquemment utilisé entre le « grand deuil » et la fin du deuil).
Quant à la sépulture, elle est ornée par de nombreuses compositions florales comme les gerbes, les raquettes, les couronnes… Les bouddhistes privilégient les fleurs de deuil de couleur blanche sous forme de couronnes, gerbes ou raquettes.
Qui meurt ? Pour les bouddhistes, c'est l'agrégation des composants de la personne physique et le sentiment du « moi » dans cette vie qui meurent tandis que perdure le continuum d'impulsions instantanées de conscience. Le décès marque donc la fin de l'incarnation plutôt que la cessation de la vie.
Lors de la cérémonie, des mantras et des prières sont récités par la famille, des offrandes sous forme de fleurs et de fruits peuvent également être offertes par les invités. Des éloges funèbres sont pratiqués et le défunt sera désigné à la troisième personne au passé car la réincarnation a déjà débuté.
La célébration du Quarantième jour marque le début des retrouvailles et l'acceptation de la mort (le deuil). Cet article montre que la durée de quarante jours n'est pas choisie au hasard, elle correspond à des considérations psychologiques et médicales.
Le bouddhisme et la mort. Dans la philosophie bouddhiste, on considère l'esprit comme la partie la plus importante de l'Homme et comme la seule qui reste après la mort. Au moment du décès, l'esprit suit ce qu'on appelle le cycle karmique : son avenir dépend des actions que le défunt a entrepris de son vivant.
Pour les bouddhistes, la crémation est un moyen de purifier le karma du défunt grâce au feu. L'incinération peut être réalisée par des pompes funèbres bouddhistes. Toutefois, l'inhumation est autorisée. Il est intéressant de noter que le bouddhisme n'interdit pas la thanatopraxie et le don d'organes.
Durant 49 jours après le décès, soit le temps pour que le défunt puisse renaître sous une nouvelle forme, les bouddhistes font des rituels tous les sept jours, dont des prières et des offrandes. Les bouddhistes vont plutôt dans les stupas, qui sont les lieux de prière et de commémoration.
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt.
La saponaire : cette fleur exprime, elle, la tristesse. L'immortelle, la rose mauve, l'anémone violette : synonyme de regret, elles évoquent le décès et la perte d'un être cher.
L'Inde et le Vietnam privilégient le blanc. Au Japon, les personnes en deuil portent du noir et du blanc. En effet, les japonais considèrent que le défunt se transforme en corps de lumière. La Chine se revêt de blanc, qui symbolise la mort, et de rouge, pour rappeler le sang et la douleur.
À l'approche de la mort, bien des gens montrent des signes de confusion et d'agitation. Certains perdent connaissance ou cessent de réagir à ce qui se passe autour d'eux. La plupart des gens sont calmes lorsque la fin approche, peut-être parce qu'ils ont moins d'énergie ou qu'ils sont trop fatigués pour parler.
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Les ongles des doigts et des orteils peuvent prendre une couleur bleuâtre et le visage devient parfois cireux ou grisâtre. La température corporelle change aussi, elle peut varier de l'hyperthermie (ou fièvre) à l'hypothermie (peau froide et moite). La personne peut transpirer plus souvent.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l'empreinte de pied Bouddha.
Il s'agit du deuil des éléments conscientisés qui n'ont plus lieu d'être. C'est le signe de la rupture du rêveur d'avec ce qui appartient au passé. Si vous rêvez d'un défunt, c'est que vous rompez les liens non pas avec la personne, mais avec ce qu'elle peut représenter sur le plan conscient.
Pour envoyer de la lumière à un défunt vous pouvez : Visualisez la personne défunte, souriante, heureuse et entourée d'une belle lumière protectrice. Dites-lui que vous l'aimez. Dites lui comme vous souhaitez qu'il aille bien, qu'il soit heureux.
Il est possible de parler au défunt autrement que dans le souvenir et le chagrin. La mort n'a pas le pouvoir d'interrompre le dialogue. Elle peut seulement le forcer à muter, à trouver d'autres voix, à emprunter d'autres voies. Passée la stupeur et la sidération, le dialogue renaît car il doit renaître.