Les actes de capitulation du Troisième Reich sont constitués par les deux versions de l’Acte de reddition militaire — en anglais : Act of military surrender — qui constituent le texte légal de ...
À Reims, l'Allemagne signe la reddition sans condition de son armée face aux Alliés le 7 mai 1945, mettant ainsi fin à la Seconde Guerre mondiale et au Troisième Reich. Ou était-ce plutôt le 9 mai à Berlin ?
Timbre de 1945. À Berlin, le 8 mai , le maréchal Wilhelm Keitel signe l'acte de capitulation de la Wehrmacht. Le premier acte de capitulation, signé à Reims le 7 mai 1945 .
Le 7 mai 1945 fut signé en anglais à Reims l'Act of military surrender, c'est-à-dire un «acte de reddition». Le texte de seulement trente lignes signé le lendemain, le 8 mai 1945 à Berlin, est un «acte de capitulation militaire», qui implique le dépôt des armes et pas seulement la fin des combats, comme en 1918.
Elle a lieu le mardi 8 mai 1945 au quartier général de l'Administration militaire soviétique, à Karlshorst, dans la banlieue Est de Berlin en Allemagne. La délégation allemande est composée du maréchal Wilhelm Keitel, de l'amiral Hans Georg Von Friedebourg et du général Hans Juergen Stumpf.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
Victoire des forces alliées sur l'Allemagne nazie et fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, le 8 mai 1945 marque une date importante.
Le camp des Alliés a remporté la Seconde Guerre mondiale. Dès le mois de mars 1945, les Alliés pénètrent sur le territoire du IIIe Reich. Le 2 mai, Berlin est conquise par l'armée soviétique.
Le 22 juin 1940 est conclu l'armistice (dico) entre le IIIe Reich allemand et les représentants du gouvernement français de Philippe Pétain. Se méprenant sur Hitler, le maréchal Pétain croit pouvoir traiter avec celui-ci comme, soixante-dix ans plus tôt, Adolphe Thiers négocia avec Bismarck.
La capitulation n'arrête pas le conflit entre la France et l'Allemagne, mais marque la reconnaissance par les militaires de la perte d'une bataille. En revanche, l'armistice attribue la responsabilité de la défaite à la classe politique.
Il attend donc d'être en position de force pour que ses hommes montent au front. Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent…
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
L'acte de capitulation est contre-signé par le général américain Bedell-Smith et le général soviétique Sousloparov. Le représentant français, le général Sevez signe comme simple témoin.
Le 29 septembre 1918 , à Spa, Erich Ludendorff demande au gouvernement allemand de solliciter un armistice en raison d'une situation militaire tous les jours plus préoccupante, pouvant aboutir à une capitulation inconditionnelle.
L'armistice est signé le 11 novembre dans la clairière de Rethondes dans la forêt de Compiègne à 5h15 du matin dans un wagon aménagé en bureau pour Foch. Quelques heures plus tard, à 11h00, le « cessez-le-feu » sonne sur tout le front mettant un terme à plus de quatre années de guerre.
Mais c'est grâce à leur aide militaire que les Alliés remportent la guerre en anéantissant l'Allemagne, l'Italie et le Japon. Ce sont eux qui ont libéré l'Europe. Officiellement, les États-Unis, l'URSS, la Grande-Bretagne, la France et la Chine sont les vainqueurs de la seconde guerre mondiale.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Il y a 80 ans, les 18 et 22 juin 1940, au micro de la BBC à Londres, le général De Gaulle appelait les Français ainsi que toutes les forces militaires restantes à poursuivre le combat face à l'Allemagne Nazie.
La guerre la plus longue fut indubitablement la guerre des Espagnols contre les Arabes, qui dura huit siècles, exactement sept cent quatre-vingt-un ans, depuis le débarquement de Tarik à Djebel-Tarik (Gibraltar) en 711, jusqu'à la chute du royaume de Grenade au pouvoir des rois catholiques Ferdinand et Isabelle, en ...
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
En guerre depuis deux jours déjà contre la Russie, elle veut prévenir une attaque conjointe de la Russie et de la France contre son territoire et met en oeuvre sans attendre le plan ébauché vingt ans plus tôt par un officier d'état-major (le plan Schlieffen).
Il célèbre la victoire des armées françaises sur l'ennemi. L'hommage rendu le 11 novembre 1919 est discret. Une minute de silence est organisée en l'honneur des personnes tombées pendant la Grande Guerre. La cérémonie se déroule dans la chapelle des Invalides en présence du maréchal Foch.
Le 22 juin 1940, le gouvernement du maréchal Pétain signe l'armistice avec l'Allemagne nazie, dans le même wagon que celui utilisé en 1918. Mais, cette fois, la France occupe la place du vaincu. C'est un des jours les plus humiliants que la France ait eu à vivre.
En 1945, l'Allemagne est découpée en quatre zones d'occupation américaine, britannique, française et soviétique. La capitale, Berlin, au cœur de la zone soviétique, est elle-même divisée en quatre secteurs d'occupation. De 1949 à 1989, l'Allemagne est divisée en deux États: à l'Ouest la RFA, à l'Est la RDA.