La lettre Z n'a effectivement initialement pas été la dernière lettre de l'alphabet à avoir été ajoutée. La dernière à l'avoir été était en réalité la lettre W.
La lettre W est la dernière lettre conventionnellement entrée dans l'alphabet français. Le Grand Robert la reconnaît comme 23e lettre de l'alphabet en 1964, tandis que le Petit Larousse l'avait intégrée depuis 1948.
Jusqu'à la fin du XIXe siècle, une 27e lettre figurait dans notre alphabet, après le Z. Il s'agissait du signe typographique &, que l'on appelle aujourd'hui esperluette ou « et commercial ». Dans le langage courant, le & était désigné comme le « ète ».
Le w apparaît comme 23e lettre de l'alphabet dans le Larousse en 1951 et, en 1964, le Robert à son tour déclare le w comme la 23e lettre de l'alphabet français.
Initialement, l'alphabet français ne comptait que 23 lettres, tout comme l'alphabet latin. Les toutes premières éditions du dictionnaire de l'Académie française ne comptaient aucun mot contenant la lettre W.
- Entre 1539 et 1549, les lettres j et u sont créées, suite à l'imposition de l'usage du français dans les actes officiels, par François Ier .
C'est la vingt-quatrième et dernière lettre de l'alphabet grec, qui correspond au « o » de notre alphabet. Littéralement « ô méga » signifie « o grand ». Elle est utilisée, par exemple, pour symboliser l'ohm, unité de résistance électrique.
C'est la lettre o qui revient le plus souvent dans cette langue.
I.
L'alphabet français est composé au total de 26 lettres : a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, k, l, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, w, x, y et z. Ce dernier est issu de l'alphabet latin moderne et ces lettres sont rangées dans l'ordre dit alphabétique.
La perluète est le caractère typographique "&" qui signifie "et".
Les lettres « j » (i lunga), « k » (cappa), « w » (vi doppia), « x » (ics) et « y » (ipsilon) ne sont pas considérées comme faisant partie de l'alphabet italien standard, mais sont utilisées dans les mots empruntés à d'autres langues (par exemple : jeans, whisky et taxi, même si l'on trouve encore l'ancienne ...
L'origine de ce mot est floue. Si pour certains esperluette vient du latin sphaerula qui signifie « petite sphère », d'autres lui donnent une explication plus récente et pittoresque. Au XIXe siècle les écoliers apprenaient l'alphabet avec 27 lettres dont le &, prononcé « ète » en dernier.
D'ailleurs, c'est souvent ce qui différencie la prononciation du w. Lorsqu'il se dit comme un [v] («wisigoth», «wagnérien»), c'est, la plupart du temps, parce que le mot vient de l'allemand, et quand il sonne plutôt comme un [ou] («week-end», «western», «whisky»), c'est que l'origine est anglaise.
Une anecdote attribue au sénateur romain Appius Claudius la suppression dans l'alphabet latin du Z, 6e lettre de l'alphabet grec, car il la trouvait maléfique !
Dans l'écriture cursive de la lettre w, on voit au moins une fois la lettre v. Même si en écriture script il est clair que w est formé par deux v, en cursive, cela saute aux yeux que c'est plutôt un u accolé à un v.
Cyclopentanoperhydrophénanthrène. Un mot de 32 lettres qui permet de désigner « un type de noyau qui entre dans la composition d'éléments biochimiques comme le cholestérol par exemple« .
Le "z" dans ce cas est une ligature qui note le "ts". Ce digramme intervient à l'évidence dans la conjugaison française héritée du latin, à la 2e personne du pluriel, ou dans quelques mots comme "assez", etc.
Il s'agit de l'appellation chimique de la Titine, la plus grande protéine connue. Mais le mot le plus long du dictionnaire anglais serait en fait le mot « pneumonoultramicroscopicsilicovolcanoconiosis », de 45 lettres, qui désigne une maladie des poumons. Les médecins la surnomment « P45 ».
Alpha et oméga
Suivie de la lettre oméga, « alpha » entre dans l'expression « l'alpha et l'oméga » qui signifie « le commencement et la fin ».
Les origines de l'alphabet
Ce sont les phéniciens installés dans l'actuel Liban qui ont conçu les lettres du premier alphabet, au XIIIe siècle av. J. -C. Il comprenait 22 consonnes.
Dans ce sens strict, c'est l'alphabet grec, issu du phénicien, qui serait le premier alphabet. L'alphabet latin, le plus largement employé de nos jours, provient directement du grec (via Cumes et les étrusques).
La mise par écrit d'une langue vernaculaire
Les premières inscriptions en alphabet arabe, d'époque préislamique, ont été retrouvées en Syrie et de Jordanie et datent du Ve siècle. Elles furent réalisées sous la dynastie des Ghassanides, bien que ceux-ci aient utilisé la langue grecque dans des contextes officiels.