Ils s'en distinguent par leur électorat, essentiellement provincial pour les girondins tandis qu'il est parisien pour les montagnards, par leur position sur la guerre, voulue par eux pour affermir la Révolution, et par le sort à réserver au roi déchu, qu'ils souhaitent épargner.
La Montagne (ses membres étant appelés « les montagnards ») était un groupe politique de la Révolution française, à la Convention nationale, composé des révolutionnaires les plus radicaux et opposés aux girondins.
Après la disparition des Girondins, les Jacobins exercent une tutelle sur la Convention et ce sont eux qui gouvernent. Les membres du Comité de salut public sont Jacobins de même que tous les membres des comités de gouvernement. Un grand nombre de Montagnards fait aussi partie de la Société.
L'insurrection du 2 juin
Le dimanche 2 juin 1793 , une nouvelle insurrection éclata. Sur l'ordre du comité insurrectionnel, 80 000 citoyens et hommes de la garde nationale emmenés par Hanriot cernèrent la Convention, tandis qu'une députation allait demander à l'Assemblée l'arrestation immédiate des chefs girondins.
L'armée des émigrés s'agitant près des frontières françaises, donne l'occasion aux girondins de mettre en pratique leur idée d'étendre le message de la Révolution aux peuples d'Europe, soumis à « l'esclavage des tyrans ».
Mettre fin à l'influence de la noblesse, des royalistes et du clergé. « Sans-culottes » est le nom donné, au début de la Révolution française de 1789, par mépris, aux manifestants populaires qui portent des pantalons à rayures et non des culottes, symbole vestimentaire de l'aristocratie d'Ancien Régime.
Robespierre se prononce contre la guerre. Le duel qui l'oppose à Brissot a lieu au Club des jacobins. Robespierre y déclame cinq grands discours et une dizaine d'interventions, applaudis par plusieurs futurs députés montagnards.
Elle est partagée en 3 groupes : la Gironde, la Montagne et la Plaine. Les Montagnards vont alors voter une constitution, c'est la Constitution de l'an I.
Les ennemis du peuple, c'étaient les partisans du retour du pouvoir royal, les saboteurs qui empêchaient l'approvisionnement de Paris, ceux qui favorisaient la retraite et l'impunité des conspirateurs et des aristocrates, ceux qui calomniaient ou qui persécutaient les patriotes en abusant des lois de la révolution, ...
Dans les premiers mois de l'Assemblée constituante, Robespierre avait été l'un des premiers, avec Honoré-Gabriel Riquetti de Mirabeau, Pétion, l'abbé Grégoire, les frères Alexandre et Charles de Lameth, à adhérer au Club breton, qui se réunissait au café Amaury, à Versailles.
Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et Ansar Dine («Les partisans de la religion») : une même idéologie anime les trois groupes jihadistes maîtres du Nord-Mali.
Aux frontières, les armées européennes coalisées contre la France et soutenues par les émigrés royalistes, veulent abattre la République. À l'intérieur du territoire, le soulèvement de la Vendée et les tentatives fédéralistes constituent des menaces sérieuses.
Les bolcheviks prônent l'organisation d'un parti de cadres, formé de révolutionnaires professionnels, par opposition aux mencheviks qui, autour de Julius Martov, préconisent un parti de masse, où l'adhésion est ouverte au plus grand nombre.
La Convention nationale entre alors dans un processus de durcissement de son pouvoir, afin de contenir les contestations qui proviennent à la fois des royalistes, des girondins, des modérés, avant que les montagnards ne se déchirent entre eux et que soient à leur tour frappés les sans-culottes — aussi appelés les « ...
Les clubs de femmes
En mai 1793, la Société des citoyennes républicaines révolutionnaires est fondée, par Pauline Léon, chocolatière, et Claire Lacombe, actrice. Toutes ces sociétés sont dissoutes par la Convention le 30 octobre 1793.
La première allégorie de la République sous les traits d'une femme coiffée d'un bonnet phrygien remonte à la Révolution française : ce bonnet porté par les esclaves affranchis en Grèce et à Rome, apprécié des marins et des galériens de la Méditerranée, est fièrement repris par les révolutionnaires venus du Midi comme ...
Après le massacre du Champ-de-Mars en 1791, leur habit devient le symbole de leur lutte. Les « Sans-culottes » veulent la liberté, luttent contre la vie chère et contre les prêtres qui n'acceptent pas la Révolution. Ils veulent que l'argent des plus riches soit redistribué aux plus pauvres.
Formation économique et sociale caractérisée par la mise en commun des moyens de production et d'échange, par la répartition des biens produits suivant les besoins de chacun, par la suppression des classes sociales et l'extinction de l'État qui devient l'administration des choses.
Des tensions à l'intérieur du parti apparaissent déjà alors que Lénine est gravement malade et en retrait depuis 1922. Staline va s'employer à écarter du pouvoir Léon Trotski, son principal rival, accusé de « révisionnisme antibolchévik ».
Deux successeurs se présentent : Joseph Staline et Léon Trotski. Lénine ne voulait pas que le premier gouverne et préférait Trotski, mais Staline sort finalement vainqueur de cette rivalité.
La Terreur désigne une période de la Révolution française (1793-1794) qui a vu se radicaliser par la violence les mouvements républicains en France.
Napoléon Bonaparte s'empare du pouvoir politique par le coup d'État du 18 Brumaire An VIII (9 novembre 1799) et instaure un Consulat provisoire (composé de trois consuls) avec Sieyès et Roger-Ducos.
Résumé de la Terreur - La Terreur est un épisode violent et tragique de la Révolution française durant lequel tous les opposants au régime en place sont emprisonnés ou exécutés.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.