Quand on n' précède un verbe, il y a toujours une deuxième négation qui suit (rien, pas, jamais...) ou que pour exprimer une restriction (ne...que). Quand le pronom indéfini on se trouve devant un verbe qui commence par une voyelle, remplace-le par le pronom il pour savoir si tu dois écrire la négation n'.
On n' est un pronom indéfini ou personnel suivi de l'adverbe de négation n'. Il est utilisé dans une phrase de forme négative. En général, un autre adverbe de négation tel que pas ou rien est également présent dans la même phrase.
Les mots « ni » et « n'y » se distinguent par leur utilisation dans la phrase : la conjonction de coordination « ni » apparait dans la double négation : « ne… ni… ni… » ; la forme contractée « n'y » est toujours placée devant le verbe conjugué d'une phrase négative.
Avec un « n apostrophe »
Quand doit-il être là ? Et bien, tout simplement, quand il fait partie d'un ensemble indiquant une négation, ou une restriction (ne…pas, ne…peu, ne… jamais, ne…guère, ne…plus…).
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.
L'Académie précise par ailleurs, qu'il est préférable, selon le bon usage, d'éviter le redoublement du pronom, à l'oral, comme à l'écrit. On dira ainsi «nous sommes arrivés ou on est arrivés à l'heure» plutôt que «nous, on est arrivés à l'heure».
Dans la langue courante, l'on a été remplacé par on, sauf dans certains emplois pour des raisons d' euphonie. Fermer l'infobulle . Ainsi, après les mots et, ou, où, que, qui, quoi et si, on préférera. Fermer l'infobulle l'on à on pour éviter l'hiatus, c'est-à-dire la rencontre de deux voyelles.
C'est la même chose devant est, en ou y. On n'est pas là. On n'en a pas. On n'y va pas.
En revanche, “Elle n'est pas bien”, on entend le son N, donc en écrivant “on n'est pas bien”, il ne faudra pas oublier le n'. On peut aussi remplacer on par nous : "Nous sommes bien" (on n'entend pas de N) ; en revanche dans "nous ne sommes pas bien", il y a ne, donc on sait que "On n'est pas bien" nécessite un n'.
Cette "langue" qui n'en est pas une, c'est ce que nous avons appelé une "sous-langue" ou zone de discours. Cela signifie que l'auteur considère que ce n'est pas une langue, mais plutôt une "sous-langue".
La conjonction « ni» s'emploie généralement avec la particule de négation « ne », placée avant ou après « ni ». Elle est utilisée pour lier des propositions négatives ou différents termes d'une proposition négative.
ni : conjonction de coordination.
On peut le remplacer par ou, lorsqu'il n'y a qu'un seul ni, et par pas (de)… ou (de), lorsqu'il est répété.
Le doublement du « n » :
On double le « n » dans anneau, année, annoncer, annoter, annuaire, annulaire, enneiger, ennemi, ennoblir, ennui, inné, innocent, emprisonner, illusionniste, abstentionniste, rationnel, exceptionnel, personnel, etc.
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu'un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle.
Il existe deux types de négation : la négation totale (ou absolue) et la négation partielle (ou relative).
Quelques exemples : on ne s'est pas vus depuis longtemps (ou vu ), ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vus (ou vu ). Et s'il est question d'un groupe de femmes, on peut accorder au féminin pluriel : c'est dommage, on ne s'est pas vues .
Selon le dictionnaire de l'Académie française, la formule «ce midi» ne peut être condamnée car elle est «tout à fait analogue à ce matin et ce soir». Et de rappeler que même les meilleurs auteurs à l'instar de Gide, Genevoix ou Giono l'employaient.
On se conjugue au singulier (on est) mais peut être suivi d'un adjectif ou participe passé au pluriel. Pluriel quand on = nous : On en est sûrs (= nous en sommes sûrs).
Ce n'est rien.
Je n'ai rien fait.
C'est l'imparfait du verbe être. J'étais, tu étais, il était absent hier. été, prononcé deux fois avec un son é justement, c'est : Soit une saison : Le printemps, l'été, l'automne, l'hiver.
On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable, exprimant l'idée d'animé humain et fonctionnant toujours comme sujet.
L'on est préférable à on
a) Quand cela permet d'éviter un hiatus (suite de deux voyelles phonétiques). Le cas se présente notamment après ces mots : et, ou, où, qui, quoi, si. C'est un retour aux sources, si on veut. C'est un retour aux sources, si l'on veut.
L'adjectif ou le participe passé attribut de on prend le genre et le nombre du sujet que ce pronom représente. Quand on est employé comme indéfini (= quelqu'un, tout le monde, quiconque), l'accord se fait au masculin singulier : à quinze ans, on est encore naïf.