Le terme de suzeraineté a été utilisé pour décrire la relation entre l'Empire ottoman et ses régions environnantes. Il diffère de la souveraineté en cela que le tributaire a quelques autonomies de gouvernance limitées.
un gouvernement qui n'est subordonné à aucun autre ; une capacité d'entrer en relation avec les autres États.
La définition retenue aujourd'hui en droit est celle énoncée par Louis Le Fur à la fin du XIX e siècle : « La souveraineté est la qualité de l'État de n'être obligé ou déterminé que par sa propre volonté, dans les limites du principe supérieur du droit, et conformément au but collectif qu'il est appelé à réaliser ».
Seigneur qui avait concédé un fief à un vassal. (Le suzerain devait protection et justice à ses vassaux.
Seigneur supérieur. Dans le vocabulaire du droit féodo-vassalique, le suzerain est le seigneur du seigneur (antonyme : arrière-vassal). Ce terme désigne par excellence la personne qui se trouve au sommet d'une pyramide hiérarchique : l'empereur, le roi, dans la société féodale, sont des suzerains.
En cas de trahison de sa fidélité, le vassal est jugé et déclaré félon ou parjure : le suzerain peut alors récupérer le fief qu'il lui avait confié.
Feudataire : Personne qui possède un fief et doit foi et hommage au seigneur qui le lui a concédé. Fief : chose tenue (bien, droit ou revenu, le plus souvent une terre) concédée par un seigneur à son vassal à la suite de l'hommage de celui-ci, et en échange de services (le plus souvent militaires).
Chaque suzerain, qui possède souvent un château avec des terres, réunit autour de lui un groupe de fidèles, moins puissants, qui lui doivent des services en échange de sa protection : ce sont ses vassaux.
L'entité la plus puissante dans la relation de suzeraineté, ou à la tête de l'État de l'entité plus puissante, s'appelle le suzerain. Dans un système féodal, le suzerain est un seigneur qui octroie un fief à son vassal lors de la cérémonie de l'hommage.
Personne liée à un seigneur par l'obligation de foi et hommage.
Pouvoir supérieur. Synonyme : autorité, domination, empire, maîtrise, omnipotence, pouvoir, supériorité, suprématie, toute-puissance.
Au sens propre, la Martinique, la Guadeloupe, Saint-Martin et autres territoires d'outre-mer ne constituent pas réellement des «États non souverains», car ils n'ont pas suffisamment d'autonomie aux plans législatif et judiciaire; ce sont des entités territoriales distinctes, sans toutes les caractéristiques d'un État ...
un gouvernement. l'entité possède la souveraineté
La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice. Le suffrage peut être direct ou indirect dans les conditions prévues par la Constitution.
Selon les lieux et les époques, la démocratie directe désigne différentes formes de gouvernement ou d'association politique dans lesquels des citoyens sont désignés pour préparer et proposer des lois puis l'ensemble des citoyens sont appelés à décider de leur adoption et de leur application.
Dans le principe, de vassal en suzerain, si l'on remonte la pyramide, le roi est au sommet, suzerain des suzerains, il est le « seigneur suprême ».
En retour, le vassal jure fidélité à son seigneur. Il a également des devoirs envers lui: il lui doit l'ost, le conseil pour rendre la justice et l'ai- de financière lorsque le seigneur marie sa fille, quand il arme son fils chevalier, quand il part à la croisade et quand, prisonnier, il doit payer une rançon (doc. 4).
Qui est soumis, dépendant.
Contrat vassalique: Le contrat vassalique unissait seigneurs et vassaux. Ce serment consistait a placer ses mains jointes dans celles du souverain, exprimant ainsi sa volonté d'être à son service. Il engageait sa foi sur une bible ou sur une relique en prononçant un serment de fidélité.
Celui qui reçoit l'hommage est appelé «suzerain» (dérivé de souverain) ; celui qui prête l'hommage est appelé «commendé» ou «vassal» (du bas latin vassus, serviteur). En échange de l'hommage, le suzerain accorde à son vassal un fief.
a) Celui, celle qui relève d'un seigneur, à cause d'un fief qu'il lui a concédé en échange de foi et hommage. Dans le moyen âge et tant que la féodalité conserva son empire, tous ceux qui tenaient des terres du seigneur (ceux que la langue féodale nommait proprement des vassaux) (...)
Ce mot désignait la jeune fille noble. La « demoiselle » est d'abord un équivalent de « dame », il désigne une jeune femme noble, même si on lui préfère le mot « dame ». Le sens change, une « demoiselle » devient une jeune femme de rang inférieur à la « dame ».
La féodalité en France est un système politique qui a existé dans le royaume de France principalement entre le IX e et le XIII e siècle, même si on trouve du droit féodal jusqu'au XVI e siècle et que sa disparition est officielle avec la révolution française en 1789.
La seigneurie est une réalité distincte du fief, qui est l'un des modes d'exercice de la seigneurie, avec l'alleu. La seigneurie est un ensemble de terres, c'est-à-dire de propriétés foncières, de droits et de redevances.