Métaphore filée désigne une métaphore que l'auteur construit sur plusieurs lignes sur un même thème ; la métaphore étant une figure de style qui consiste à mettre un mot à la place d'un autre par analogie, ressemblance.
La métaphore filée commence souvent par une comparaison : « L'empereur était là, debout, qui regardait. Il était comme un arbre en proie à la cognée. La métaphore filée rapprochant l'empereur Napoléon avec un arbre abattu débute par une comparaison introduite par l'outil de comparaison comme.
[…] la Métaphore physique, c'est-à-dire, celle où deux objets physiques, animés ou inanimée, sont comparés entre eux ; la Métaphore morale, c'est-à-dire celle où quelque chose d'abstrait, de métaphysique, quelque chose de l'ordre moral se trouve comparé avec quelque chose de physique, et qui affecte les sens, soit que ...
1. Emploi d'un terme concret pour exprimer une notion abstraite par substitution analogique, sans qu'il y ait d'élément introduisant formellement une comparaison. 2. Chez Lacan, processus qui consiste à substituer un signifiant à un autre, qui en devient refoulé.
Définition linguistique
La métaphore filée commence souvent par une comparaison : « L'empereur était là, debout, qui regardait. Il était comme un arbre en proie à la cognée. La métaphore filée rapprochant l'empereur Napoléon avec un arbre abattu débute par une comparaison introduite par l'outil de comparaison comme.
Très employée dans le langage publicitaire, la métaphore filée permet de capter l'attention des récepteurs, afin de le conduire vers une impression d'ensemble et donc à l'adhésion.
La métaphore filée commence souvent par une comparaison : « L'empereur était là, debout, qui regardait. Il était comme un arbre en proie à la cognée. La métaphore filée rapprochant l'empereur Napoléon avec un arbre abattu débute par une comparaison introduite par l'outil de comparaison comme.
Le mot « euphémisme » vient du grec phêmi (« je parle »), et du préfixe eu ( « bien »), et désigne une figure de style dont le but est d'atténuer le caractère désagréable ou brutal d'une idée. Une manière de « bien parler » qui permet d'évoquer un sujet déplaisant ou tabou sans que cela en ait l'air.
On trouve ainsi des métaphores dans des expressions du langage courant (« Mon patron est un vrai requin », « Il m'a fait un cadeau royal », « C'est une tête brûlée », « Je suis souvent dans la lune », etc.) ou dans la poésie (Les Fleurs du mal de Baudelaire, par exemple).
Les plus communes sont sans doute la comparaison, la métaphore, la périphrase, la métonymie et la personnification.
Il existe de nombreuses figures de style, chacune avec ses propres caractéristiques et effets, mais quelques exemples courants incluent la métaphore, la comparaison, l'anaphore, l'antithèse, l'hyperbole, la litote, la personnification, l'allitération, l'assonance et la répétition.
Contrairement à la comparaison proprement dite, la métaphore ne comporte aucun outil de comparaison, c'est-à-dire aucun élément grammatical, par exemple comme, ainsi que, tel, semblable à, explicitant le rapport comparatif.
b- La métaphore: comme la comparaison, elle établit une assimilation entre 2 termes, mais sans les relier par un comparatif. Elle produit un effet souvent plus poétique que la comparaison. c- L'allégorie: elle représente de façon imagée les divers aspects d'une idée. Elle donne vie à une idée abstraite.
Métaphore filée désigne une métaphore que l'auteur construit sur plusieurs lignes sur un même thème ; la métaphore étant une figure de style qui consiste à mettre un mot à la place d'un autre par analogie, ressemblance.
- La métaphore est une comparaison implicite sans outil de comparaison. Il arrive que le comparé ne soit même pas exprimé. Elle peut se présenter : - comme un attribut : Cet homme est un rat de bibliothèque.
La métaphore est constituée de deux éléments : le comparé et le comparant. Le premier est l'objet, la personne ou la chose que l'on compare et le second est ce à quoi on le rapproche. Par exemple, si l'on dit : « Cette femme est une véritable déesse », « femme » est le comparé et « déesse » le comparant.
oxymore n.m. Figure de style qui réunit deux mots en apparence contradictoires.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
Concrètement, la métaphore est un moyen de comparer une idée, une personne, une chose ou un concept à une autre sans utiliser un mot de comparaison. Vous comme moi utilisons la métaphore tous les jours sans en avoir nécessairement conscience. Ce procédé stylistique permet de recadrer une certaine perspective.
(2,5) Le champ lexical du bateau : barque, prendre de l'eau, gouvernail, équipage, balloter, piller la cale, officiers, radeau, mât, vague, vent, pont, voile, cramponné à la barre. C'est une métaphore. Créon se compare à un capitaine de bateau.
Il existe plusieurs termes comparatifs, aussi appelés outils de comparaison, qui permettent de lier le comparé et le comparant. comme, pareil à, semblable à, tel, tel que, de même que, avoir l'air de, faire l'effet de, ressembler à, autant… que, aussi… que, plus… que, moins… que…
La comparaison est une figure de style qui établit un rapport d'analogie (ressemblance, similitude) entre deux éléments, le comparé et le comparant, à l'aide d'un outil de comparaison.
Métaphore repose sur un rapport de ressemblance entre deux réalités, or la métonymie se fonde sur un rapport de voisinage et sur un rapport de relation logique entre ces deux réalités. Par exemple, une « bouteille » ne ressemble pas à du « vin », « Paris » ne ressemble pas à ses « habitants », etc.
Une figure de style est un procédé qui agit sur la langue et crée un effet de sens ou de sonorité. ♥ La personnification : elle attribue des caractéristiques humaines à un objet, un animal...