L'homme cherche le bonheur, mais il est plus raisonnable de chercher la justice. Le bonheur est difficile à appréhender et est subjectif. L'homme doit plutôt chercher à faire son devoir que chercher le bonheur.
Extrait de l'Energie spirituelle, qui affirme que la finalité de l'existence réside dans le fait de créer, compléter la réflexion sur la question du sens de l'existence.
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
I-LES FONCTIONS DE LA PENSÉE PHILOSOPHIQUE
Au regard de sa nature, la philosophie se donne pour mission essentielle la recherche de la vérité. Cette quête de la vérité est traduite assez souvent comme la quête de l'être qui est aussi la quête du sens, de l'origine ou du fondement de toute chose.
Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L'être humain heureux accomplit les objectifs qu'il s'est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même. Le bonheur est donc ancré dans l'individu, dans ses projets et ses représentations.
Chaque communauté humaine a la force intérieure d'envisager son propre avenir, d'agir pour le réaliser, de partager ses apprentissages et de cultiver sa solidarité.
Autonomie et vulnérabilité L'idéal humain auquel renvoie la morale sociale est celui de l'autonomie, celle de l'individu responsable et autosuffisant – autonomie vient de auto (soi-même) et nomos (la loi) et signifie littéralement : être capable de se donner à soi-même ses propres lois.
Pour vivre, l'homme doit s'alimenter, se vêtir, se loger ou trouver un abri. Cela ne le distingue pas de l'animal. Mais l'homme est doué de conscience : à ce titre, il doit s'efforcer de l'employer. S'il n'utilisait pas sa pensée, l'homme ne serait pas véritablement humain.
Quelle est la finalité de l'existence ? Difficile de se dérober à cette question vertigineuse. Les réponses possibles sont légion : le sens de la vie, c'est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d'atteindre 50 ans…
Autrui, l'alter-ego, est omniprésent dans notre vie sociale et professionnelle, et nous avons besoin de lui, que nous soyons homme ou médecin. La coopération et l'entraide sont des éléments indispensables dans notre vie. Cela implique nécessairement l'autre auprès de nous. De même, autrui est au coeur de nos jugements.
Ce qui nous rend vraiment heureux, c'est d'abord la relation à autrui, c'est valoriser et être valorisé, écouter et être écouté, bref, aimer et être aimé. Et surtout ne pas nous comparer aux autres.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Métaphoriquement, le bonheur devient le point culminant de notre existence. Aristote explique que le bonheur est une fin en soi : c'est un but final, un état de satisfaction totale et durable.
Lorsqu'on évoque la finalité du vivant, la première finalité qui s'impose, c'est la reproduction ou la persistance dans l'être, voire la volonté de puissance (ou volonté de la volonté!) mais aussi, à l'opposé, l'homéostasie, le retour à l'équilibre, le repos voire la pulsion de mort...
La pensée a comme but général d'établir les prémisses pour mieux comprendre. Nous avons plusieurs choix à faire. Nous avons donc besoin de la meilleure information qui rendra possible la meilleure décision. Qu'est-ce qui se passe vraiment dans telle ou telle situation?
C'est en ce sens que la philosophie est éminemment utile : elle nous apprend à utiliser tous les savoirs dont nous pouvons par ailleurs disposer, et qui seraient, sans cela, des connaissances qui ne nous apprendraient rien.
Les limites de l'homme sont nombreuses. Si la longévité en est la première, on peut citer des limites de types physique, psychique, cognitive, sexuelle, communication ... La société a aussi défini des limites par la loi, car sans la loi, la vie en société serait une jungle.
La science a parlé : Regé-Jean Page est l'homme le plus beau du monde. Selon les critères établis, il a obtenu un résultat nettement supérieur à la moyenne. En obtenant 93,65% au test de la perfection, il succède à Robert Pattinson au titre du plus bel homme du monde.
L'approche de l' "homo sociologicus" possède également des traits extrêmes. L' "acteur sociologique" est piloté par des normes et des valeurs qui définissent des attentes pour un comportement de rôle. Dans ce contexte de recherche, les valeurs, les normes et les rôles sont par définition externes à l'individu.
L'objectif est le moyen d'atteindre le but, d'arriver à la finalité. La finalité est un ensemble de déclarations, issues d'une ou plusieurs idées, qui va se décliner sous la forme d'un but à atteindre. L'objectif sera ce qui a été retenu pour parvenir à atteindre ce but.
C'est au-delà. Exister c'est avoir la conscience de sa propre vie, incarner sa vie. C'est avoir conscience que l'on vit. C'est aussi vivre sa vie, avoir des projets, pouvoir se projeter dans le futur, envisager ses actions, les diriger.
La 5e dimension serait une dimension enroulée en cercle. Cette nouvelle dimension est invisible à nos yeux, sa taille vaut la longueur de Planck, c'est-à-dire 10-33 cm.