La structure générale du morceau est celle d'une chanson, composée de l'alternance couplet/refrain, le refrain reprenant deux fois les mêmes paroles et la même mélodie. On compte six parties « introduction/couplet/refrain ».
Il faut savoir que La Marseillaise n'est pas son vrai nom. L'auteur à l'origine de cette chanson, Rouget de Lisle, l'avait appelée Chant de guerre pour l'armée du Rhin, sur demande du maire de Strasbourg.
La Marseillaise, chant de guerre de l'armée du Rhin, Claude Joseph Rouget de Lisle [orchestration H. Berlioz, 1830].
L'aspect martial de ce chant est conféré par le détachement des syllabes et des notes instrumentales, l'intensité (souvent fortissimo), l'utilisation des cuivres et des timbales présents dans les fanfares militaires. Cependant, la présence de passages nuancés et liés permet de trouver un aspect romantique.
Réponse. POUR TA QUESTION C'EST:la révolution et la guerre ( mondiale).
Les combattants sont appelés "citoyens" "défenseurs". La liberté et l'amour sacré de la patrie soutiennent leur combat. ce qui soutient leur combat est L'amour sacré de la patrie, de la liberté, et la lutte contre la tyrannie.
Le chant a une forme de rondeau, c'est-à-dire qu'il alterne couplets et refrain. La mesure est à quatre temps. C'est une marche dont le tempo est celui préconisé dans les manuels militaires pour la « marche serrée » dont la cadence normale est « de 120 pas à la minute », ce qui donne un tempo de 120 noires à la minute.
Ce chant est officialisé sous la IIIe République qui en fait l'hymne national le 14 février 1879. La Marseillaise illustre la liberté, les citoyens se battant pour la liberté.
Un chant de guerre révolutionnaire pour galvaniser les soldats. Le 25 avril 1792, lors d'une soirée où il reçoit des militaires, le baron Philippe-Frédéric de Dietrich, maire de Strasbourg, regrette l'absence d'hymne de guerre pour galvaniser les soldats français.
Si ce statut ne lui a été reconnu qu'en 1932, le Wilhelmus est tout de même considéré comme le plus vieil hymne national du monde : il a été écrit entre 1569 et 1572.
Dans ce contexte originel, La Marseillaise est un chant de guerre révolutionnaire, un hymne à la liberté, un appel patriotique à la mobilisation générale et une exhortation au combat contre la tyrannie et l'invasion étrangère.
Les féroces soldats sont les soldats des armée européennes qui viennent " égorger nos fils et nos compagnes ".
(Couplet souvent seul retenu aujourd'hui après le premier) Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! (bis) Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents, Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire !
« Liberté, démocratie, égalité ». « Liberté, égalité, fraternité ». « Liberté, égalité, fraternité » est la devise de la République française. C'est un héritage de la Révolution ; elle est proposée pour la première fois par Robespierre en 1790 mais n'est pas adoptée.
C'est alors un chant de guerre révolutionnaire, une marche pour la liberté, un appel patriotique à la mobilisation générale et une exhortation au combat contre l'invasion des monarchies européennes coalisées.
Ce chant prend des particularités poétiques (rimes, vers, octosyllabes…). Dans chacun des sept couplets, alternance entre rimes croisées et embrassées.
La première est La Marseillaise de la Paix, écrite en 1892 par des jeunes de l'orphelinat expérimental de Cempuis (Oise), dirigé par le pédagogue libertaire Paul Robin (1837-1912).
Son premier nom était « chant de guerre pour l'armée du Rhin dédié au Maréchal Luckner ». La France était en guerre contre l'Autriche depuis le 20 avril 1792.
Les combattants sont qualifiés "d'enfants de la patrie" et ce qui soutient leur combat est "amour sacré de la patrie" et la liberté "liberté , liberté chérie".
Marchons, marchons ! Abreuve nos sillons ! Allons ! Enfants de la Patrie !
Un moyen de pacifier les rencontres ? D'une part, cela donnerait une dimension importante à la rencontre qui s'ensuivrait. Chanter la Marseillaise provoquerait une solennité chez bon nombre de femmes et d'hommes qui n'auront probablement jamais la chance de participer à une compétition européenne ou internationale.
Ensuite, le danger est politiquement identifié: c'est la tyrannie, illustrée par une image: «Contre nous de la tyrannie l'étendard sanglant est levé» (5). Puis vient une image rurale: «Entendez-vous dans les campagnes mugir ces féroces soldats?» «Mugir», «féroces»: ils sont comme des bêtes.